Les contributions

Contribution n°15 (Web)

Par THOBY, Jean-Yves
Déposée le 11 septembre 2024 à 18h12
Je suis contre le renouvellement et l’extension de la carrière de la Grande Garde.

Contribution n°14 (Web)

Par THOBY Jean-Yves
Déposée le 11 septembre 2024 à 18h11
Je suis contre le renouvellement et l’extension de la carrière de la Grande Garde.

Contribution n°13 (Web)

Par Vallais Laurent
Déposée le 11 septembre 2024 à 17h29
Laissez le sable où il est, moins de transports routiers et plus d'agriculture locale et pérenne.
Protégeons nos ressources en eau, [...]
Laissez le sable où il est, moins de transports routiers et plus d'agriculture locale et pérenne.
Protégeons nos ressources en eau, notre bocage et ses habitants, sa faune et sa flore.

Contribution n°12 (Web)

Par MALINGE Natacha
Déposée le 11 septembre 2024 à 12h08
Je suis contre ce projet d'extension de la carrière GSM pour d'évidentes raisons écologiques !
Merci de prendre en compte le futur [...]
Je suis contre ce projet d'extension de la carrière GSM pour d'évidentes raisons écologiques !
Merci de prendre en compte le futur de tous en stoppant ce projet délétère.
Le vivre ensemble avec intelligence est possible !

Contribution n°11 (Web)

Par Christine Dechartre
Déposée le 10 septembre 2024 à 20h47
Bonjour Monsieur le Commissaire Enquêteur,
En tant que riveraine de la future extension de la carrière GSM, particulièrement sensibilisée [...]
Bonjour Monsieur le Commissaire Enquêteur,
En tant que riveraine de la future extension de la carrière GSM, particulièrement sensibilisée à l'impact des poussières sur nos villages, impact déjà perceptible malgré l'éloignement actuel de la zone d'exploitation, je souhaite rebondir sur la contribution n°7 concernant la gestion de la carrière en fonction du niveau de sécheresse.

Il est mentionné à la page 223 de l’étude d’impact de GSM qu'en cas de niveau 2 (alerte), la mesure adoptée par la carrière serait :
• l’arrêt de l’arrosage des pistes, des installations et des engins

Cependant, il est également précisé dans plusieurs pages du document que l'une des mesures de réduction des nuisances liées à la poussière (mesure ERC R2.2b : Limitation des nuisances pour les populations humaines/réduction technique en phase d'exploitation) inclut :
• En période sèche et venteuse, l’arrosage des pistes est réalisé pour éviter l’envol des poussières (p. 193) ;
• En cas de sécheresse, les pistes sont arrosées par des asperseurs pour limiter les envols de poussière (p. 20, p. 181) ;
• La circulation des camions acheminant les remblais est identifiée comme la principale source de poussière (p. 25).

D'après les données historiques sur les niveaux de sécheresse disponibles sur vigieau.gouv.fr, en 2023, le niveau d'alerte a été atteint dès le 1er juin, suivi par le niveau de crise à partir du 1er juillet, qui s'est prolongé jusqu’en octobre. Cela correspond à une période de cinq mois sans possibilité d'arrosage.

Cette année encore, le niveau d’alerte ou d’alerte renforcée est en vigueur depuis juin et reste d'actualité, entraînant déjà quatre mois sans possibilité d'arrosage.

Pouvez-vous m'indiquer comment GSM prévoit de gérer cette contradiction ? Doit-on cesser l’arrosage des pistes pour respecter les restrictions d’eau au détriment des riverains, ou continuer à arroser pour limiter la dispersion des poussières au détriment des règles environnementales ?

Je suis fermement opposée à ce projet, qui menace de dégrader significativement le cadre de vie des riverains.

Contribution n°10 (Web)

Anonyme
Déposée le 10 septembre 2024 à 19h46
Madame, Monsieur,
Je regardais dans le dossier d'étude d'impact ce qui pouvait justifier les besoins de sable dont parle GSM. J'arrive [...]
Madame, Monsieur,
Je regardais dans le dossier d'étude d'impact ce qui pouvait justifier les besoins de sable dont parle GSM. J'arrive donc sur les pages 226-227 et voit des tableaux qui parlent plus de production que de consommation (les consommations sont données pour l'année 2012 seulement - pourquoi pas par la suite ?), pour 2017, la consommation n'est renseignée pour aucun des départements, mais on a quand même la consommation régionale, et il est malgré tout dit : "on note une augmentation de la consommation régionale, qui se retrouve sur les échelles départementales et territoriales". Je ne trouve pas cela bien sérieux.
Pourquoi le bureau d'étude ne s'appuie-t-il pas sur des chiffres plus récents ?
Je crains qu'effectivement les chiffres plus récents ne soient pas aussi bons que les anciens...
Pour ce manque de clarté et sur le principe de précaution, je m'oppose à ce projet d'extension des sablières et à la remise en cause des terres jugées pérennes par le dernier PLU.

Contribution n°9 (Web)

Par Didier Barreau
Déposée le 10 septembre 2024 à 19h00
Bonsoir,
Je suis suis contre ce projet d'extension.
Nous sommes aujourd'hui en restrictions d'eau, malgré le temps particulièrement [...]
Bonsoir,
Je suis suis contre ce projet d'extension.
Nous sommes aujourd'hui en restrictions d'eau, malgré le temps particulièrement pluvieux que nous avons eu toute l'année, et les maraîchers et les agriculteurs n'ont pas le droit de pomper dans les cours d'eau pour arroser. Pourquoi voudrait-on, dans ces conditions, autoriser les sablières à s'étendre et à continuer de détériorer la qualité et la quantité d'eau sur le territoire ?
Cette année, nous étions en restrictions d'eau sur l'Ognon, la Logne et la Boulogne, mais ce sera tous les ans que nous serons désormais en restriction d'eau par arrêté préfectoral...

Contribution n°8 (Web)

Anonyme
Déposée le 10 septembre 2024 à 11h32
La destruction des écosystèmes engendrée par le projet en question n'est pas acceptable. La nécessité de réduire notre impacte sur [...]
La destruction des écosystèmes engendrée par le projet en question n'est pas acceptable. La nécessité de réduire notre impacte sur notre environnement est connue et aucun agent ni aucun élu ne peut ignorer que ce projet est incompatible avec la nécessaire transition que l'on doit opérer.
La quête éperdue de croissance démographique encombre les esprits des élus et structure les stratégies territoriales. Et si désormais la croissance de la population n'était plus l'objectif premier ? Et si on s'occupait d'abord de celles et ceux qui sont déjà là ?
Il faut avoir le courage d'abandonner les projets lancés avant notre prise de conscience de l'ampleur des enjeux, dont la durée de vie nous engage pour longtemps.

Contribution n°7 (Web)

Par Sylvain Jallot
Déposée le 10 septembre 2024 à 10h30
Bonjour Monsieur le Commissaire Enquêteur,

Malgré un épisode de pluies conséquent et inédit depuis fin 2023, un renforcement des [...]
Bonjour Monsieur le Commissaire Enquêteur,

Malgré un épisode de pluies conséquent et inédit depuis fin 2023, un renforcement des restrictions d'eau du 29/08/2024 a placé le sud du département et donc en particulier la commune de Saint-Colomban, en niveau de gestion "crise", qui est le plus critique (AP N°2024/SEE/0193) :
https://www.loire-atlantique.gouv.fr/contenu/telechargement/64310/467052/file/Arr%C3%AAt%C3%A9%20de%20restriction%20du%2029%20aout%202024.pdf

Compte-tenu de la configurations de nos cours d'eau, ce niveau est très fréquent, y compris donc dans des situations de pluies abondantes.
Les évolutions liées au changement climatique vont accentuer cette tendance.
La page 223 de l'étude d'impact GSM montre que ce seuil de "crise" place les usages de l'eau de la carrière en possible arrêt de production, sur décision du préfet.

A ma connaissance, sur les nombreuses séquences "crise" passées, y compris lors des périodes très récentes de fortes sécheresses (2022 ou 2023 par exemple), aucune décision du préfet n'a entrainé l'arrêt des installations.
=> Pouvez-vous me le confirmer afin de cerner comment le préfet arbitre et, le cas échéant, priorise cette installation par rapport à d'autres usages?

Aussi, dans le contexte :
- de notre territoire composé de cours d'eau particulièrement sensibles puisque très régulièrement en situation de crise et qui ont donc besoin de nappes d’accompagnement qui ne soient pas une nouvelle fois fragilisées
- du changement climatique qui augmentera l'impact sur la ressource (rapport GIEC Pays de La Loire).
Je suis opposé à ce projet qui accentuerait l'accélération du "grand cycle de l'eau" et donc la fragilisation de cette ressource. Elle doit être notre première priorité à tous, aujourd'hui et demain. Ce projet engage tout un territoire pour des décennies. Les décisions prises aujourd'hui vont engager les générations futures.

Contribution n°6 (Web)

Anonyme
Déposée le 9 septembre 2024 à 18h20
Bonjour,

Dans le cadre de la demande de l'extension de la carrière GSM, je tiens à exprimer mon opposition à ce projet car ce dernier [...]
Bonjour,

Dans le cadre de la demande de l'extension de la carrière GSM, je tiens à exprimer mon opposition à ce projet car ce dernier risque d'impacter ressources locales en eau notamment sur le lac de Grand Lieu.
Je regrette également que l'absence de régulation des activités agricoles en lien avec la carrière notamment l'activité maraîchère qui appauvrie considérablement nos sols et la qualité de vie de nos habitants.

Ainsi, je demande que soit inscrit dans le PLU des mesures de protections de l'environnement (par exemple, le développement de zones naturelles protéger) et de mesures de protection de la population (par exemple, l'interdiction de l'utilisation de produits phytosanitaire sur nos communes).

Bien cordialement.

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