Les contributions

Contribution n°89 (Web)

Par Patrick
Déposée le 22 septembre 2024 à 20h18
Bonjour

Je suis favorable au projet d’extension de la sablière. Le territoire est dynamique avec des besoins importants, le maintien [...]
Bonjour

Je suis favorable au projet d’extension de la sablière. Le territoire est dynamique avec des besoins importants, le maintien d’une sablière est indispensable à l’activité du territoire, d’autant plus avec le possible arrêt de la sablière Lafarge. Une production locale de matériaux limite les distances de transports. La fermeture de la sablière entrainera une augmentation des distances de transport et donc une hausse importante des émissions de gaz à effet de serre.

Par ailleurs, le projet a fait l’objet d’un vote des colombanais en janvier 2022 dont le résultat a été favorable au projet d’extension de la sablière. Le résultat de cet exercice démocratique doit être respecté.

Je suis propriétaire voisin de la Sablière actuelle, avec des locataires qui sur place ne ne mentionnent pas de nuisances, alors que de gens bien plus éloignés en "inventent" sans être concernés.

Cdt

Contribution n°88 (Web)

Par Beauvais Sarah
Déposée le 22 septembre 2024 à 17h47
Je suis contre le projet d'extension des sablières.
Plus que jamais, il est important de préserver les terres agricoles. "Depuis [...]
Je suis contre le projet d'extension des sablières.
Plus que jamais, il est important de préserver les terres agricoles. "Depuis 1982, en France métropolitaine, les sols artificialisés augmentent en moyenne chaque année de 57 600 hectares (ha), les sols naturels de 8 300 ha au détriment des terres agricoles qui perdent 65 900 ha ». Ce n'est pas moi qui le dit, mais le ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation dans un dossier intitulé "L’occupation du sol entre 1982 et 2018" (https://agreste.agriculture.gouv.fr/agreste-web/download/publication/publie/Dos2103/Dossiers%202021-3_TERUTI.pdf).
Pourquoi continuer à aller droit dans le mur ? Nous n'avons pas besoin de grands projets inutiles comme l'extension de ces carrières, nous avons besoin de protéger notre agriculture paysanne respectueuse de la nature.

Contribution n°87 (Web)

Par Lebossé Christian
Déposée le 22 septembre 2024 à 12h51
Je suis contre l'extension de la sablière GSM
Nous devrions attendre une prochaine équipe municipale afin que l'extension de la sablière [...]
Je suis contre l'extension de la sablière GSM
Nous devrions attendre une prochaine équipe municipale afin que l'extension de la sablière et du maraîchage industriel ne repose pas uniquement sur les épaules de notre Maire présent depuis trois mandats

Contribution n°86 (Web)

Par Lebossé Christian
Déposée le 22 septembre 2024 à 12h41
Je suis contre l'extension de la sablière GSM et contre la révision du PLU
L'arrêt de GSM va permettre de bloquer l'extension du [...]
Je suis contre l'extension de la sablière GSM et contre la révision du PLU
L'arrêt de GSM va permettre de bloquer l'extension du maraîchage industriel et tous ses aspects négatifs et aussi de préserver la nappe phréatique de Grand lieu bien commun le plus précieux dans le sud 44

Contribution n°85 (Web)

Anonyme
Déposée le 22 septembre 2024 à 10h57
Petite explication sur la compensation des ressources naturelles en dessin...
(je doute très franchement de la nécessité de ce projet... [...]
Petite explication sur la compensation des ressources naturelles en dessin...
(je doute très franchement de la nécessité de ce projet... aussi... je suis contre !)

Document joint


Contribution n°84 (Web)

Anonyme
Déposée le 22 septembre 2024 à 10h37
Ce projet est contraire à l'intérêt général.
Il détruit les possibilités pour un avenir viable et durable.
Cette enquête publique [...]
Ce projet est contraire à l'intérêt général.
Il détruit les possibilités pour un avenir viable et durable.
Cette enquête publique doit être le reflet clair, honnête et loyal des dégâts qui seraient commis si ce projet se mettait en place.

Contribution n°83 (Web)

Par Jean Luc
Déposée le 21 septembre 2024 à 16h35
Il y a un seuil critique à l'acceptabilité des projets, ici il y a deux exploitations de sablière et qui sont amenés à faire des extensions [...]
Il y a un seuil critique à l'acceptabilité des projets, ici il y a deux exploitations de sablière et qui sont amenés à faire des extensions et des renouvellements . L' inacceptabilité n'est pas le seul fait d'une population mais aussi d'un système écologique, jusqu'où les sols, les circuits hydrologiques, la biodiversité, faunes et flores pourront souffrir de cette activité. L'étude d'impact ne tient pas assez compte de cet ensemble, un projet ne peut pas être jugé, évalué que de manière intrinsèque. Il est remarquable qu'en France, on remarque de plus en plus de projets, quels que soient leurs objets qui sont d'abord unitaires et d'ampleur importantes mais répondant aux critères maximaux, puis sont étendus ou parfois voisinent avec de nouveaux projets du même acabit. Et quand bien même, il y aurait une fin d'exploitation, les réouvertures sont aussi monnaie courante ( exemple : carrière du Tahun à Guémené Penfao ) . C'est un cercle sans fin. Les dérogations , les contournements, les interprétations des lois à l'encontre de leur intention sont aux principes de tels projets. Pourvu que ça passe, à moins que cela casse ! A ne plus mettre de limite ou à la contourner ainsi, la limite arrivera d'une autre manière par les effets du réel, accidents, dégradations qui impacteront le vivant et ses conditions. Nous en voyons les premiers effets alarmants.

Il manque aussi des précisions sur le plan économique, à quel besoin réel correspond cette demande, quel est l'état de la concurrence . Le schéma régional des carrières n'étant en rien une étude économique mais un outil de planification et , de fait, il ne répond pas au présent, à l'urgence et n'intègre pas les nouvelles lois . Aussi d'autres questions et réponses doivent être intégrées dans le dossier : Quelle est la demande sociétale ? Quels sont les nouveaux idéaux et surtout quelle est l'urgence face à la perte de la biodiversité, au réchauffement climatique et à la santé environnementale ? . Des nouvelles lois comme la loi Zan doivent être vues dans leur intention, il s'agit bien de réduire l'artificialisation des sols et par conséquent de réduire la production de granulats qui la permettent. De même. La loi anti-gaspillage pour une économie circulaire tend à ce que les déchets du BTP ne soient plus enfouis mais recyclés.

Il y aurait donc un paradoxe à autoriser ce qui n'est plus autorisable, c'est à dire autoriser une production de sable pour augmenter l'artificialisation des sols et un enfouissement de déchets du BTP pour ne pas à avoir à les recycler. Le recyclage, hormis qu'il évite la pollution des sols par l'enfouissement, devrait réduire à environ 36% la production de granulat naturel. Autoriser ce projet, c'est aussi ne pas favoriser cette nouvelle filière du recyclage bénéfique pour tous, sauf pour les carriers. Il est bien évident que la production de granulats et l'enfouissement de gravats font un double revenu . Ce flux de gravats- granulats vient aussi consolider le modèle démolition-construction, autre double revenu pour ces entreprises du BTP. Il faut donc aider ces entreprises à la réhabilitation, au recyclage, cette aide pourrait être financière mais surtout doit en passer par un refus de ces projets d'extensions - enfouissements .

Le recyclage des déchets du BTP a tout son intérêt quand il s'opère sur place, sur les sites où ces déchets seront réemployés, évitant ainsi les cohortes de camions dans un sens comme de l'autre ( moins d'enfouissement, moins d'extraction ) . Ces gains de trajets sont colossaux, puisque chaque camion de 44 tonnes use un million de fois plus la route qu'une automobile classique . Ainsi ces entreprises, ont comme principale activité de réparer ce qu'elles détruisent. Ces boucles, projets d'extensions - enfouissements, flux de gravats- granulats, soutien à la démolition-construction, participation à l'usure-réparation, constituent un capitalisme circulaire, des cercles vicieux qui s'opposent à l'économie circulaire. Est cela qui doit être encouragé ? Cette activité rentable pour ces entreprises est coûteuse pour le contribuable, et bien sûr coûteuse sur le plan environnemental et pour la santé publique.

Ces trajets de camions créent une pollution atmosphérique et une insécurité routière. L'extraction a des conséquences sur l'hydrologie du lieu, sur la biodiversité, sur l'économie agricole, sur la santé et la sécurité des personnes qu'y travaillent, sur les conditions de vies des personnes qui travaillent, habitent, passent aux alentours. L'enfouissement des déchets du BTP a aussi des conséquences, pollutions des eaux par les substances contenues dans ces déchets . Le traitement de ces déchets par le symbolique, c'est à dire leur qualification en "déchet inerte" n'est pas suffisant, ils contiennent de nombreux polluants ( Pfas, métaux lourds, bactéries ) et un contrôle par le regard de ce qui n'est pas visible est aussi dommageable. Concernant les poussières, s'il est reconnu qu'elles sont dangereuses au sein de l'exploitation, elles le sont inévitablement aussi pour les proches même si pour l'instant en France aucune étude a été entreprise pour mesurer les conséquences sur le voisinage, contrairement aux Etats unis. En 2025, enfin une étude sur ce sujet devrait être publiée.
Nous sommes donc dans une situation où les déchets sont déclarés et perçus comme inertes visuellement et la poussière comme ne se déplaçant pas malgré les vents. Chercher à ne pas voir, pourrions nous changer d'attitude ?

Il y a donc à regarder et parfois plus loin que ce qui nous est donné à voir. Le sable qui est extrait de St Colomban est utilisé en petite partie pour le maraichage aux alentours. On pourrait parler de circuit-court, mais si on regarde les camions qui partent de ces serres, ils vont vers des destinations très lointaines, hors de France. Ce sable favorise l'export, pas le circuit court.

L'étude d'impact est réalisée par des cabinets d'études qui ne peuvent pas être indépendants puisqu'un lien commercial existe entre eux et le demandeur. Les résultats à obtenir prédéterminent l'étude d'impact . C'est la règle du jeu . Cependant l'enquête publique devrait être ce moment où un équilibre est rétabli . Pour avoir rencontré à plusieurs reprises les membres de l'association La Tête dans le Sable et les scientifiques qui y participent, j'ai pris connaissance de leurs arguments très élaborés contre ce projet. L'éthique qui les préside a une valeur aussi estimable que la recherche de gain du pétitionnaire. Nous savons malheureusement que la composition du CDNPS ne peut faire advenir une décision défavorable à ce projet ( 3 voix pour les services instructeurs, 3 voix pour les représentants des carriers, et en cas d'égalité une voix prépondérante pour la préfecture ), nous savons aussi que le préfet donnera, comme pour les autres dossiers de carrières, son avis favorable , cependant l'enquête publique reste un moment où quelque chose de la vérité peut émerger même si la sentence ne répond pas à cet enjeu. Malgré qu'environ 97% des enquêtes publiques finissent par un avis favorable, il est remarquable qu'il y ait encore tant de personnes à y participer ? Est ce sain ou pure folie ? Probablement, il y a encore quelques espoirs que l'enquête publique devienne un outil démocratique majeur et que les
problématiques environnementales soient mieux prises en compte. La société ne tiendra pas par du sable mélangé à du béton. Défendre la démocratie, les conditions de vie, les vivants, la science, la parole, les lois, tels sont aussi les enjeux de cette enquête . Dans chaque point, le global y est contenu. Chaque grain de sable représente l'histoire du monde.

Aussi Messieurs les commissaires, je vous prie de donner aux prochains, aux prochaines, non une carrière mais un avenir.

Contribution n°82 (Web)

Par Guillaume M
Déposée le 21 septembre 2024 à 16h02
Dans le contexte actuel de réchauffement climatique pas forcément palpable mais dont les effets antropiques sont déjà prouvés, ce [...]
Dans le contexte actuel de réchauffement climatique pas forcément palpable mais dont les effets antropiques sont déjà prouvés, ce genre d'initiative privée impactant le domaine public doit être soumis à referendum a minima.
De plus, toutes les organisations écologiques ou même simplement le GIEC recommandent de limiter l'emprise non naturelle au sol, pourquoi ne pas continuer dans cette voie et figurer parmi les premiers à refuser ces cas ? Là encore il y a peut-être d'autres solutions techniques (plus onéreuses sûrement pour l'entreprise et un peu la collectivité) pour minimiser l'impact ?

Contribution n°81 (Web)

Par Lecointre Marc
Déposée le 21 septembre 2024 à 15h37
Puiser du sable à grande profondeur : c'est détourner l'eau des rivières et des nappes phréatiques alors qu'on parle que d'aménagements [...]
Puiser du sable à grande profondeur : c'est détourner l'eau des rivières et des nappes phréatiques alors qu'on parle que d'aménagements des cours d'eaux pour la diversité des espèces et la préservation de l'environnement .
Donc autoriser l'agrandissement des carrières c'est aller à l'encontre des démarches écologiques gouvernementales aux profits des grosses entreprises.
Et cela sans nous demander notre avis

Contribution n°80 (Web)

Par juvin nelly
Déposée le 21 septembre 2024 à 15h26
Notre habitation est proche des carrières moins de 1kilometre, nous constatons une nette diminution du flue d'eau du Redour et des [...]
Notre habitation est proche des carrières moins de 1kilometre, nous constatons une nette diminution du flue d'eau du Redour et des nappes phréatiques. Et nous subissons le bruit incessant des engins de chantier et de leurs alarmes de recul . Nous trouvons regrettable qu'étant proche de toutes ces nuisances , nous n'avons pas été invité à donner notre avis par la mairie de Geneston et de Saint Colomban. Il est inadmissible d'appauvrir nos sols et de détourner l'eau qui est de plus en plus précieuse pour notre écosystème et cela pour le profit

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