Contribution n°97 (Web)
Anonyme
Déposée le 23 novembre 2024 à 18h30
Déposée le 23 novembre 2024 à 18h30
PNR=ENEMI DU BIEN - PISCICULTURE EN DANGER
Absolument pas normal que le PNR s'abroge le droit de mener une politique volontariste visant à éradiquer l'élevage de la carpe. Contre l'intérêt des pisciculteurs, des propriétaires et de La Brenne.
Les étangs et la pisciculture sont LA RAISON d'ETRE de ce PNR
Au prétexte que le WWF a dit
Au prétexte de la biodiversité, mot derrière lequel on peut raconter n'importe quoi.
Allant même jusqu'à faciliter la distribution d incitations financières pour détruire des étangs ou stopper leur exploitation.
Allant jusqu'à crier en réunion publique qu'il y a trop d'étangs en Brenne
Tout en reconnaissant que le PNR ne dispose d'aucune étude probante.
Etudes d'ailleurs derrière lesquelles il serait trop facile de choisir les critères discriminants permettant de justifier telle ou telle politique.
Tout en démontrant son incompétence au travers du manuel de préconisation concernant la pisciculture, inexact et sans valeur ajoutée par rapport à ce qui est déjà pratiqué ( ah mouche du coche si tu savais !)
Par ailleurs il est faux d'écrire que de la pisciculture intensive est pratiquée en Brenne. Combien même cela resterait légal et ne serait pas un crime. Nourrir la population reste un objectif souverain.
Politique parlons en! En fait ce qui gène c'est l'idée que des gens puissent posséder , puissent faire des profits. 2 gros mots à maintes fois entonnés de la part de membre de l'équipe du PNR, en grinçant des dents, en grimaçant avec une voix qui rappelle trop bien celle de syndicalistes virulents. Leur stratégie étant au final de déposséder les propriétaires et de tuer l'économie.
Quand on écrit "certains propriétaires", "certaines pratiques", sans nommer clairement les choses, cela démontre bien du grand n'importe quoi .
La pisciculture c'est la garantie que les étangs vont continuer à être entretenus.
10% des étangs sont sous convention, c'est déjà trop. Il faut arrêter là.
Quel est le bilan des étangs gérés directement par le parc en terme de rendement? Rien n'est publié! pas de transparence!
Pourquoi ne pas plutôt proposer de servir du poisson local dans toutes les cantines du département. Privilégier les circuits courts. Préfère t-on importer? préfère t-on manger de la viande?
Pourquoi ne pas documenter l'impact désastreux des cormorans et faire pression de manière volontariste sur les instances européennes et internationales, pour favoriser sa régulation plutôt que de servir de cheval de Troie de ces dernières au détriment des propriétaires et des pisciculteurs locaux?
Pourquoi ne pas favoriser au contraire la création de nouveaux plans d'eau ou faciliter la transformation, l'entretien des étangs existants? Pour plus de pisciculture.
Notre territoire se meure sans cela, développons le plutôt positivement.
Absolument pas normal que le PNR s'abroge le droit de mener une politique volontariste visant à éradiquer l'élevage de la carpe. Contre l'intérêt des pisciculteurs, des propriétaires et de La Brenne.
Les étangs et la pisciculture sont LA RAISON d'ETRE de ce PNR
Au prétexte que le WWF a dit
Au prétexte de la biodiversité, mot derrière lequel on peut raconter n'importe quoi.
Allant même jusqu'à faciliter la distribution d incitations financières pour détruire des étangs ou stopper leur exploitation.
Allant jusqu'à crier en réunion publique qu'il y a trop d'étangs en Brenne
Tout en reconnaissant que le PNR ne dispose d'aucune étude probante.
Etudes d'ailleurs derrière lesquelles il serait trop facile de choisir les critères discriminants permettant de justifier telle ou telle politique.
Tout en démontrant son incompétence au travers du manuel de préconisation concernant la pisciculture, inexact et sans valeur ajoutée par rapport à ce qui est déjà pratiqué ( ah mouche du coche si tu savais !)
Par ailleurs il est faux d'écrire que de la pisciculture intensive est pratiquée en Brenne. Combien même cela resterait légal et ne serait pas un crime. Nourrir la population reste un objectif souverain.
Politique parlons en! En fait ce qui gène c'est l'idée que des gens puissent posséder , puissent faire des profits. 2 gros mots à maintes fois entonnés de la part de membre de l'équipe du PNR, en grinçant des dents, en grimaçant avec une voix qui rappelle trop bien celle de syndicalistes virulents. Leur stratégie étant au final de déposséder les propriétaires et de tuer l'économie.
Quand on écrit "certains propriétaires", "certaines pratiques", sans nommer clairement les choses, cela démontre bien du grand n'importe quoi .
La pisciculture c'est la garantie que les étangs vont continuer à être entretenus.
10% des étangs sont sous convention, c'est déjà trop. Il faut arrêter là.
Quel est le bilan des étangs gérés directement par le parc en terme de rendement? Rien n'est publié! pas de transparence!
Pourquoi ne pas plutôt proposer de servir du poisson local dans toutes les cantines du département. Privilégier les circuits courts. Préfère t-on importer? préfère t-on manger de la viande?
Pourquoi ne pas documenter l'impact désastreux des cormorans et faire pression de manière volontariste sur les instances européennes et internationales, pour favoriser sa régulation plutôt que de servir de cheval de Troie de ces dernières au détriment des propriétaires et des pisciculteurs locaux?
Pourquoi ne pas favoriser au contraire la création de nouveaux plans d'eau ou faciliter la transformation, l'entretien des étangs existants? Pour plus de pisciculture.
Notre territoire se meure sans cela, développons le plutôt positivement.
Contribution n°96 (Web)
Anonyme
Déposée le 23 novembre 2024 à 18h17
Déposée le 23 novembre 2024 à 18h17
Pour un territoire avec un BILAN ENERGETIQUE POSITIF
Au écolos de trouver des solutions et de favoriser toutes les initiatives, de les accompagner mais sans s'y opposer. Juste en participant proactivement en donnant des préconisations.
Y'en a marre
-des oppositions partisanes qui n'intègrent qu'un paramètre, la soit disant BIODIVERSITE,
-de cette volonté de détruite en définitive notre société
-et de faire de la Brenne un territoire dépourvu à terme d'habitants.
Il y a tout de même des endroits ou il est possible de construire des éoliennes, des parcs photovoltaïques, des retenues d'eau,.... que les écolos nous disent lesquels . On ne peut toujours tout rejeter sur l'ensemble du territoire, botter en touche chez les autres
Ne pas agir c'est pire que le statu quo basé essentiellement sur l énergie fossile.
Au écolos de trouver des solutions et de favoriser toutes les initiatives, de les accompagner mais sans s'y opposer. Juste en participant proactivement en donnant des préconisations.
Y'en a marre
-des oppositions partisanes qui n'intègrent qu'un paramètre, la soit disant BIODIVERSITE,
-de cette volonté de détruite en définitive notre société
-et de faire de la Brenne un territoire dépourvu à terme d'habitants.
Il y a tout de même des endroits ou il est possible de construire des éoliennes, des parcs photovoltaïques, des retenues d'eau,.... que les écolos nous disent lesquels . On ne peut toujours tout rejeter sur l'ensemble du territoire, botter en touche chez les autres
Ne pas agir c'est pire que le statu quo basé essentiellement sur l énergie fossile.
Contribution n°95 (Courrier)
Par M-F PREVOST
Déposée le 23 novembre 2024 à 18h09
Déposée le 23 novembre 2024 à 18h09
Voir la contribution en pièce jointe
Document joint
Contribution n°94 (Web)
Par Corinne
Déposée le 23 novembre 2024 à 14h58
Déposée le 23 novembre 2024 à 14h58
Soulas Corinne
Le Breuil
36310 Chaillac
Le 23 Novembre 2024
Le parc naturel régional de la Brenne, à quoi ressemble-t-il ?
On l’appelle également le pays des milles étangs. Terme bien définit, la zone concernée par cette appellation est formée de terres déjà humides, très humides, et des points d’eau petits et grands.
La commune de Lignac, Tilly, appendice de cette dénomination géographique n’ont que peu de points communs avec ce territoire. Le bâti ne ressemble pas aux constructions typiques de la Brenne.
Pour ma part exploitante et résidente sur la commune de Chaillac je ne vois pas la raison d’un accouplement avec cette zone.
Les terres, les bâtis, les vallons ne peuvent convenir à l’image de la Brenne. Mais du boischaud sud.
Faire une extension ressemblerai vulgairement à du pique et du carreaux, une addition de surfaces qui ne ressembleraient plus à l’image réelle de la Brenne.
Quand on l’appelait « la plaie de l’Indre et même du Centre de la France » selon le préfet Dalphonse publié en 1804. Cette zone doit restée telle qu’elle est, comme elle était dessinée qui représentait le pays des milles étangs, obtenir une superficie XXL, arrêtons de casser les contours, de briser l’existentiel, d’échapper aux vraies valeurs.
Corinne Soulas
Le Breuil
36310 Chaillac
Le 23 Novembre 2024
Le parc naturel régional de la Brenne, à quoi ressemble-t-il ?
On l’appelle également le pays des milles étangs. Terme bien définit, la zone concernée par cette appellation est formée de terres déjà humides, très humides, et des points d’eau petits et grands.
La commune de Lignac, Tilly, appendice de cette dénomination géographique n’ont que peu de points communs avec ce territoire. Le bâti ne ressemble pas aux constructions typiques de la Brenne.
Pour ma part exploitante et résidente sur la commune de Chaillac je ne vois pas la raison d’un accouplement avec cette zone.
Les terres, les bâtis, les vallons ne peuvent convenir à l’image de la Brenne. Mais du boischaud sud.
Faire une extension ressemblerai vulgairement à du pique et du carreaux, une addition de surfaces qui ne ressembleraient plus à l’image réelle de la Brenne.
Quand on l’appelait « la plaie de l’Indre et même du Centre de la France » selon le préfet Dalphonse publié en 1804. Cette zone doit restée telle qu’elle est, comme elle était dessinée qui représentait le pays des milles étangs, obtenir une superficie XXL, arrêtons de casser les contours, de briser l’existentiel, d’échapper aux vraies valeurs.
Corinne Soulas
Document joint
Contribution n°93 (Web)
Par AUBIN Marie-Eve
Déposée le 23 novembre 2024 à 13h06
Déposée le 23 novembre 2024 à 13h06
Créé dans une optique de protection de l’environnement et de la biodiversité, le Parc naturel régional de la Brenne, zone humide d’importance internationale au titre de la convention RAMSAR, a vu se développer, pour le plus grand profit de ses habitants un tourisme “vert” au bénéfice de personnes désireuses de calme, de beauté et d’harmonie et a ainsi contribué au développement économique d’une région peu favorisée.
Alors que se multiplient les initiatives d’entreprises étrangères qui tentent de convaincre, aides financières à l’appui, des communes situées à l’intérieur ou aux abords immédiats du Parc, d’accepter l'implantation sur leurs territoires d’éoliennes gigantesques (200 mères de hauteur soit les 2/3 de la Tour Eiffel !) qui au mieux produiraient une électricité rare et intermittente, la charte du Parc doit prévoir l’interdiction absolue et définitive de telles constructions.
Outre l’atteinte irrémédiable qu’ils apporteraient à la beauté et à l’harmonie des paysages et à de nombreux monuments historiques, et par voie de conséquence aux activités touristiques qui se sont développées dans la région, aux nuisances sonores et à la bétonnisation d’espaces naturels qu’ils entrainent, ces engins sont gravement préjudiciables à des espèces protégées (chiroptères, oiseaux migrateurs) et à la sauvegarde de milieux naturels fragiles.
De plus, comme on le voit dans d’autres parties du département devenu une “poubelle éolienne”, la première autorisation donnée en entraîne automatiquement des dizaines d'autres.
Pour la protection et le développement harmonieux de la Brenne, l’implantation d’éoliennes dans le parc et ses abords doit être définitivement interdité
Alors que se multiplient les initiatives d’entreprises étrangères qui tentent de convaincre, aides financières à l’appui, des communes situées à l’intérieur ou aux abords immédiats du Parc, d’accepter l'implantation sur leurs territoires d’éoliennes gigantesques (200 mères de hauteur soit les 2/3 de la Tour Eiffel !) qui au mieux produiraient une électricité rare et intermittente, la charte du Parc doit prévoir l’interdiction absolue et définitive de telles constructions.
Outre l’atteinte irrémédiable qu’ils apporteraient à la beauté et à l’harmonie des paysages et à de nombreux monuments historiques, et par voie de conséquence aux activités touristiques qui se sont développées dans la région, aux nuisances sonores et à la bétonnisation d’espaces naturels qu’ils entrainent, ces engins sont gravement préjudiciables à des espèces protégées (chiroptères, oiseaux migrateurs) et à la sauvegarde de milieux naturels fragiles.
De plus, comme on le voit dans d’autres parties du département devenu une “poubelle éolienne”, la première autorisation donnée en entraîne automatiquement des dizaines d'autres.
Pour la protection et le développement harmonieux de la Brenne, l’implantation d’éoliennes dans le parc et ses abords doit être définitivement interdité
Contribution n°92 (Web)
Anonyme
Déposée le 22 novembre 2024 à 19h32
Déposée le 22 novembre 2024 à 19h32
Il n'est pas envisageable au jour d'aujourd'hui, de pouvoir dégrader ce milieu naturel qui est la Brenne. Réputé pour sa diversification animal et végétal.
J'ai vue passer devant mes yeux , il y a quelques temps , des études de la LPO concernant les flux migratoires de certains volatiles d'intérêt internationale passer non loin d'ici.
Compromettre la vie de tout ces animaux me paraît catastrophique.
Abîmer cette espace naturel me paraît inhumain. Nous nous devons d'apprendre à nos enfants de maintenir cette biodiversité, non de leur inculquer comment la camoufler ou la déstabiliser et même la détruire. Je trouve cela regrettable d'en être encore à prendre ce genre de décision. Quand on sait bien ,que le nucléaire sera et restera notre source d'énergie.
J'ai vue passer devant mes yeux , il y a quelques temps , des études de la LPO concernant les flux migratoires de certains volatiles d'intérêt internationale passer non loin d'ici.
Compromettre la vie de tout ces animaux me paraît catastrophique.
Abîmer cette espace naturel me paraît inhumain. Nous nous devons d'apprendre à nos enfants de maintenir cette biodiversité, non de leur inculquer comment la camoufler ou la déstabiliser et même la détruire. Je trouve cela regrettable d'en être encore à prendre ce genre de décision. Quand on sait bien ,que le nucléaire sera et restera notre source d'énergie.
Contribution n°91 (Web)
Anonyme
Déposée le 22 novembre 2024 à 19h20
Déposée le 22 novembre 2024 à 19h20
Je note avec plaisir les fortes réserves déjà formulées dans la charte concernant le déploiement des parcs éoliens, j'espère qu'elles seront suivies d'effet et que le PNR n'accueillera pas de ces projets gigantesques qui viendraient le défigurer définitivement. Les autres pistes évoquées paraissent beaucoup plus constructives, en particulier parce que leur installation paraît réversible, moins encombrante, moins sujette à la spéculation et beaucoup moins nocive pour le paysage comme pour la faune.
Contribution n°90 (Web)
Par Lambert Nathalie
Déposée le 22 novembre 2024 à 18h35
Déposée le 22 novembre 2024 à 18h35
Comment est-il possible d'envisager des parcs éoliens, des champs de panneaux photovoltaïques, au milieu de couloirs migratoires ? Comment nuir autant à ce lieu de biodiversité indispensable à la faune et flore sauvage locales et de passage ? Quels tribus doivent encore payer les milieux préservés au nom d'une énergie tout sauf verte ?
Il est plus que temps de sanctuariser ce qui peut l'être encore, de lutter contre les lobbies qui prônent une véritable industrie en pleine campagne, qui dénaturent, qui détruisent au nom d'une (non) rentabilité.
Membre lpo, possédant un refuge, il me paraît indispensable de protéger à mon petit niveau, les oiseaux, les chauves-souris (du barreau traumatique), les zones humides indispensables à de nombreuses espèces, la nature tout simplement.
Commençons tous par économiser l'électricité, créons de petites structures locales adaptées à notre environnement, arrêtons la course à la consommation effrénée, devenons raisonnables et pour des choix raisonnés.
Donc non à ce projet démesuré !
Il est plus que temps de sanctuariser ce qui peut l'être encore, de lutter contre les lobbies qui prônent une véritable industrie en pleine campagne, qui dénaturent, qui détruisent au nom d'une (non) rentabilité.
Membre lpo, possédant un refuge, il me paraît indispensable de protéger à mon petit niveau, les oiseaux, les chauves-souris (du barreau traumatique), les zones humides indispensables à de nombreuses espèces, la nature tout simplement.
Commençons tous par économiser l'électricité, créons de petites structures locales adaptées à notre environnement, arrêtons la course à la consommation effrénée, devenons raisonnables et pour des choix raisonnés.
Donc non à ce projet démesuré !
Contribution n°89 (Web)
Par Tellier Francine
Déposée le 22 novembre 2024 à 18h31
Déposée le 22 novembre 2024 à 18h31
Bonjour,
Je joins une photo prise avec une focale de 43 mm depuis le Button de la promenade de Rosnay aux étangs Foucault, sur le site éolien de St Genou avec ses 6 éoliennes de 140 m. Ceci est en dessous de la vue humaine et en réalité paraît plus garnd. Comme il a été écrit, les éoliennes feront 100 m de plus demain.
La Brenne est comme une "cuvette" et cette photo distante de 20 km, montre bien le problème. Il est facile d'imaginer les paysages meurtris, les barrières de déplacement des oiseaux migrateurs, si nous laissons construire en périphérie d'un PNR, des projets éoliens comme à St Genou (refusé par le préfet), Martizay/ Azay le Ferron (accepté), Pouligny St Pierre, ... En dehors de nos lois, de notre démocratie, les projets éoliens sont prévus sur des trajets écologiques, que sont les couloirs migratoires ?
Le pire dans ces projets, est que si nous les acceptions, nous nous mettrions en retard sur le progrès. Economiquement, le progrès n'a de sens que si il développe un intérêt (non financier) pour les humains. Hors les éoliennes ne faisaient que rapporter à ses investisseurs ?
Aujourd'hui des découvertes et recherches sur le vibratoire (plus rentable énergétiquement), sur l'hydro-énergie en mer (non intermittent), sur les rentabilités financières des entreprises de l'énergie (information de novembre) montrent une rentabilité en hausse des entreprises des énergies fossiles et une baisse vertigineuses des entreprises développant les énergies vertes (solaire et éolien)...
Les français, nous sommes très souvent en "retard d'un ou plusieurs wagons" : il nous a fallu 20 ans pour interdir l'amiante après que les USA l'ait interdite !
Restons en retard "comme avant", "ignares" comme souvent et mettons en place des énergies coûteuses pour le contribuable en taxes et en réseaux de transport de l'énergie, inutiles puisque le nucléaire a repris la main, dépassées par le savoir des experts et des chercheurs, puisque d'autres productions sont découvertes aujourd'hui. Et, refusons de protéger notre patrimoine collectif, qu'est la biodiversité, le paysage, la quiétude du Parc et notre bien-être à y vivre.
Nous pourrions ajouter que des procès seront à venir pour conflits de voisinages, destruction d'espèces protégées et inscrites sir l'Annexe Il européenne, ... ???
Concernant l'agrandissement du PNR, je suis persuadée que cela est une opportunité de s'ouvrir et agrandir des territoires, de mettre en place des obligations environnementales, plutôt que figer un périmètre géographique; en effet, un organisme vivant, comme le PNR, s'il reste figé, et n'évolue pas est voué à disparaître ?
Enfin, il convient d'aller observer les étangs dortoirs pour comprendre le danger, lorsque,
9800 grues sont observées à l'étang de la Mer Rouge en novembre 2024 par un ornithologue, 5000 les semaines précédentes, nous pouvons imaginer les risques encourus, les plaintes à venir, si nous laissons des engins mortifères être installés... pour payer... les fonds de pension nord-américain ???
Osons, osons défendre notre bien publique et collectif, ne croyons plus que la nature nous appartient, que les oiseaux ne nous servent à rien... Ne soyons pas schizophrènes en demandant de préserver la biodiversité et en mettant en place ce qui va la détruire !
Il y a 35 ans des personnes ont eu la vision du PNR et grâce à elles, ce territoire a prospéré et demande à grandir plus; il a pu le faire par son tourisme vert et le développement d'infrastructures qui l'accompagnent. Les touristes n'iront pas dans un secteur industrialisé de toute part ? Prenez votre exemple lorsque vous voyagez ?
Nous savons la responsabilité qui incombe aux décideurs aujourd'hui et qu'ils porteront pour demain. Ne tremblez pas et dites non aux projets éoliens et solaires dans le PNR Brenne, faites vivre et grandir ce magnifique endroit reconnu zone humide mondialement.
Je vous remercie, bien cordialement,
Francine Tellier
Je joins une photo prise avec une focale de 43 mm depuis le Button de la promenade de Rosnay aux étangs Foucault, sur le site éolien de St Genou avec ses 6 éoliennes de 140 m. Ceci est en dessous de la vue humaine et en réalité paraît plus garnd. Comme il a été écrit, les éoliennes feront 100 m de plus demain.
La Brenne est comme une "cuvette" et cette photo distante de 20 km, montre bien le problème. Il est facile d'imaginer les paysages meurtris, les barrières de déplacement des oiseaux migrateurs, si nous laissons construire en périphérie d'un PNR, des projets éoliens comme à St Genou (refusé par le préfet), Martizay/ Azay le Ferron (accepté), Pouligny St Pierre, ... En dehors de nos lois, de notre démocratie, les projets éoliens sont prévus sur des trajets écologiques, que sont les couloirs migratoires ?
Le pire dans ces projets, est que si nous les acceptions, nous nous mettrions en retard sur le progrès. Economiquement, le progrès n'a de sens que si il développe un intérêt (non financier) pour les humains. Hors les éoliennes ne faisaient que rapporter à ses investisseurs ?
Aujourd'hui des découvertes et recherches sur le vibratoire (plus rentable énergétiquement), sur l'hydro-énergie en mer (non intermittent), sur les rentabilités financières des entreprises de l'énergie (information de novembre) montrent une rentabilité en hausse des entreprises des énergies fossiles et une baisse vertigineuses des entreprises développant les énergies vertes (solaire et éolien)...
Les français, nous sommes très souvent en "retard d'un ou plusieurs wagons" : il nous a fallu 20 ans pour interdir l'amiante après que les USA l'ait interdite !
Restons en retard "comme avant", "ignares" comme souvent et mettons en place des énergies coûteuses pour le contribuable en taxes et en réseaux de transport de l'énergie, inutiles puisque le nucléaire a repris la main, dépassées par le savoir des experts et des chercheurs, puisque d'autres productions sont découvertes aujourd'hui. Et, refusons de protéger notre patrimoine collectif, qu'est la biodiversité, le paysage, la quiétude du Parc et notre bien-être à y vivre.
Nous pourrions ajouter que des procès seront à venir pour conflits de voisinages, destruction d'espèces protégées et inscrites sir l'Annexe Il européenne, ... ???
Concernant l'agrandissement du PNR, je suis persuadée que cela est une opportunité de s'ouvrir et agrandir des territoires, de mettre en place des obligations environnementales, plutôt que figer un périmètre géographique; en effet, un organisme vivant, comme le PNR, s'il reste figé, et n'évolue pas est voué à disparaître ?
Enfin, il convient d'aller observer les étangs dortoirs pour comprendre le danger, lorsque,
9800 grues sont observées à l'étang de la Mer Rouge en novembre 2024 par un ornithologue, 5000 les semaines précédentes, nous pouvons imaginer les risques encourus, les plaintes à venir, si nous laissons des engins mortifères être installés... pour payer... les fonds de pension nord-américain ???
Osons, osons défendre notre bien publique et collectif, ne croyons plus que la nature nous appartient, que les oiseaux ne nous servent à rien... Ne soyons pas schizophrènes en demandant de préserver la biodiversité et en mettant en place ce qui va la détruire !
Il y a 35 ans des personnes ont eu la vision du PNR et grâce à elles, ce territoire a prospéré et demande à grandir plus; il a pu le faire par son tourisme vert et le développement d'infrastructures qui l'accompagnent. Les touristes n'iront pas dans un secteur industrialisé de toute part ? Prenez votre exemple lorsque vous voyagez ?
Nous savons la responsabilité qui incombe aux décideurs aujourd'hui et qu'ils porteront pour demain. Ne tremblez pas et dites non aux projets éoliens et solaires dans le PNR Brenne, faites vivre et grandir ce magnifique endroit reconnu zone humide mondialement.
Je vous remercie, bien cordialement,
Francine Tellier
Document joint
Contribution n°88 (Email)
Par SMABCAC
Déposée le 21 novembre 2024 à 14h09
Déposée le 21 novembre 2024 à 14h09
Objet : Avis charte du PNR Brenne
Monsieur le Commissaire Enquêteur,
Je vous communique en pièce jointe l'avis du Syndicat Mixte d'Aménagement de
la Brenne, de la Creuse, de l'Anglin et de la Claise.
Cordialement
Monsieur le Commissaire Enquêteur,
Je vous communique en pièce jointe l'avis du Syndicat Mixte d'Aménagement de
la Brenne, de la Creuse, de l'Anglin et de la Claise.
Cordialement
Documents joints
Apportez votre contribution à cette enquête publique :
Déposer une contribution