Contribution n°287 (Web)
Anonyme
Déposée le 1 avril 2025 à 13h37
Déposée le 1 avril 2025 à 13h37
Les immeubles de la Côte 2000 et des Glovettes sont glauques et n'attirent plus personne. Ils sont vides la plupart du temps. Ce projet redonnerait lieu à des investissements pour l'ensemble du domaine dont et surtout la réhabilitation de l'existant.
Favorable
Favorable
Contribution n°286 (Web)
Anonyme
Déposée le 1 avril 2025 à 13h36
Déposée le 1 avril 2025 à 13h36
Villard de Lans que je fréquente depuis 40 ans n’ a pas besoin de ce projet , la ville propose suffisamment d’activité aussi bien en été qu’en hiver .
Quel esthétique pour ce projet en béton si la neige se fait rare dans les années qui viennent ?
Aucun intérêt si ce n’est financier pour me Parker !
Quel esthétique pour ce projet en béton si la neige se fait rare dans les années qui viennent ?
Aucun intérêt si ce n’est financier pour me Parker !
Contribution n°285 (Web)
Anonyme
Déposée le 1 avril 2025 à 13h31
Déposée le 1 avril 2025 à 13h31
Contre . Ça n'a aucun sens sauf le profit économique immédiat et pas pérenne étant donné le réchauffement climatique.
Contribution n°284 (Web)
Anonyme
Déposée le 1 avril 2025 à 13h30
Déposée le 1 avril 2025 à 13h30
Je suis contre ce projet
Contribution n°283 (Web)
Anonyme
Déposée le 1 avril 2025 à 13h29
Déposée le 1 avril 2025 à 13h29
Bonjour,
En ces temps de réchauffement climatique il serait opportun de stopper tout betonnage des sites naturels et penser plutot à déconstruire les édifices inutilisés et laissés à l'abandon.
Je suis donc contre ce projet.
En ces temps de réchauffement climatique il serait opportun de stopper tout betonnage des sites naturels et penser plutot à déconstruire les édifices inutilisés et laissés à l'abandon.
Je suis donc contre ce projet.
Contribution n°282 (Web)
Anonyme
Déposée le 1 avril 2025 à 13h27
Déposée le 1 avril 2025 à 13h27
pour le projet parker
Contribution n°281 (Web)
Par Tardif Francois
Déposée le 1 avril 2025 à 13h24
Déposée le 1 avril 2025 à 13h24
Je suis a 100% pour ce beau projet qui va permettre a ce que la station ne disparaisse pas suite au réchauffement climatique. Il y va de nombreux emplois et du dynamisme de Villard et plus largement du plateau du Vercors. De plus, la mort de la station induirait pour de longues années des installations et des bâtiments fantômes.
Contribution n°280 (Web)
Par DOMINIQUE BOCQUET
Déposée le 1 avril 2025 à 13h14
Déposée le 1 avril 2025 à 13h14
Natif de Villard de Lans, ce projet va dans la continuité des investissements de nos prédécesseurs (ce qui a fait la notoriété de notre village), il est indispensable pour l'avenir de notre station, nous devons aller de l'avant afin de ne pas être dépassés et de rester compétitifs.
Contribution n°279 (Web)
Anonyme
Déposée le 1 avril 2025 à 13h13
Déposée le 1 avril 2025 à 13h13
Je m'oppose fermement au projet dit "Parker" et je copie une partie de l'article du journal "mon séjour en montagne" ci-dessous.
Des griefs qui n’en finissent plus.
Un scénario réunissant tout cela « aurait permis de s’assurer de la prise en compte de l’environnement à la bonne échelle, celle de la station ». Rappelant que le secteur de la Côte 2000 est actuellement composé à 100 % de résidences secondaires, l’autorité recommande de repositionner l’opération immobilière en mettant la priorité sur « la réhabilitation des logements existants » mais aussi « de justifier l’absence d’UTN à l’échelle de la station et, à défaut, de reconsidérer l’UTN projetée ».
Ce manque de vision d’ensemble, c’est le plus gros reproche de l’autorité environnementale, mais ce n’est pas le seul : « Que les dépôts de matériaux sur le domaine skiable, la création de parkings temporaires et d’un parking supplémentaire pour les résidences secondaires induits par la présente opération immobilière ne soient pas évalués n’est pas compréhensible »
Des griefs qui n’en finissent plus.
Un scénario réunissant tout cela « aurait permis de s’assurer de la prise en compte de l’environnement à la bonne échelle, celle de la station ». Rappelant que le secteur de la Côte 2000 est actuellement composé à 100 % de résidences secondaires, l’autorité recommande de repositionner l’opération immobilière en mettant la priorité sur « la réhabilitation des logements existants » mais aussi « de justifier l’absence d’UTN à l’échelle de la station et, à défaut, de reconsidérer l’UTN projetée ».
Ce manque de vision d’ensemble, c’est le plus gros reproche de l’autorité environnementale, mais ce n’est pas le seul : « Que les dépôts de matériaux sur le domaine skiable, la création de parkings temporaires et d’un parking supplémentaire pour les résidences secondaires induits par la présente opération immobilière ne soient pas évalués n’est pas compréhensible »
Contribution n°278 (Web)
Anonyme
Déposée le 1 avril 2025 à 13h11
Déposée le 1 avril 2025 à 13h11
En tant que habitant et socioprofessionnel du Vercors, je suis extrêmement défavorable à ce projet qui impacte l'environnement naturel ainsi que l'environnement au sens large du Vercors et de ses habitants. Impact sur les ressources notamment l'eau notzmment et impacts pontuels en termes de travaux, impact en terme de fréquentation nombre de véhicules sur une zone déjà saturée par la pollution sur certaines périodes (noel.notamment) alors que nous sommes en pleine montagne, impact sur certains socioprofessionnels notamment de Villard-de-Lans puisque ce projet est all inclusive et donc ne bénéficiera pas à l'ensemble des acteurs sociaux professionnels proximité, impact en terme d'immobilier car sur le plateau du Vercors déjà difficilement accessible financièrement à la plupart des bourses, mettre un coup de projecteur avec une personne aussi connue sur ce lieu entraînera de manière évidente comme ça a pu l'être en 2019 à l'annonce du projet Tony Parker puis avec le covid, une augmentation du foncier et donc de la capacité à accéder au logement a des tarifs abordables pour la plupart des bourses notamment de toutes les professions essentielles mais dont es salaires ne sont pas ceux de CSP++. aujourd'hui le prix moyen au mètre carré avoisinant les 5000 €, cela n'est pas tolérable dans l'objectif d'un maintien d'une population diverses, équilibrée, avec un renouvellement minimum pour que puisse vivre les écoles, les villages.de maintenir ces niveaux de.prix, voire de les augmenter.
Impact également en terme de cohérence sur ce qu'est le Vercors, lieu d'histoire, de diversité d'activité, lieu de fréquentation familiale abordable financièrement point le grand parking P1 certes peut-être disgracieux, et aussi le symbole de l'accessibilité au ski de piste, pour des familles au revenu restant modestes.ce parking est gratuit aujourd'huu, il deviendra payant. En termes symbolique c'est important.
Enfin, et c'est probablement les 2 points les plus importants : l'implantation de ce projet verrouille complètement l'accès au front de neige, c'est-à-dire qu'il privatise complètement cet accès, le rendant moins facile voire impossible sans passer dans cette partie privée. C'est donc donner une forme d'exclusivité de fait à cette du TNS pour gérer l'accès au ski. La machine arrière sera impossible et le renouvellement de la DSP de la sevlc se verra biaiser de manière extrêmement préjudiciable.
Enfin, deuxième point définitif -car présentant la vision long terme- un tel projet se construit sur des espoirs de développement encore plus important de la station de ski, en tout cas il est bâti sur l'idée de la consommation de la neige comme sport de glisse. Or ceci dans un contexte de réchauffement climatique est absolument absurde notamment contenu de l'altitude à laquelle se trouve la station. Le côté Quatre Saisons du projet est extrêmement limité, et il ne saura existé de toute façon une activité aussi rentable et importante que celle du ski en dehors de la période hivernale, cette même période devenant de plus en plus courte. Il est donc à parier que, avec les années, la fréquentation diminue le projet soit de moins en moins viable et probablement, alors qu'il en sera encore temps, vendu à la découpe. L'exemple situé à quelques mètres de la, du balcon de Villard vide environ 10 mois sur 12 voir 11 mois sur 12 devrait raisonner dans les têtes point c'est au final exactement le même modèle que dans les années 70-80 mais avec 40 ans de retard sur la situation. Il y a de très très nombreux exemples de vallées relativement peu enneiger notamment en Italie ou de très nombreuses constructions ont été abandonnés en plein milieu par défaut de rentabilité d'exploitation de la station, rendant les paysages hideux, et ces endroits fantomatiques, et l'argent engagé gâché alors qu'il aurait pu être investi dans des choses plus intelligentes et plus actuelle, répondant à de véritables besoins. Investir sur la base d'une faiblesse dont on sait pertinemment qu'elle va s'accentuer est, passez-moi l'expression, d'une cretinerie absolue. Ce projet ne fera pas qu'il y aura plus de neige, il ne fera pas qu'il y aura plus de travail pour les moniteurs de l'ESF, ne sera pas fonctionner plus les sociaux professionnels de locaux, etc. ce projet est au mieux une betise, au pire une prédation. Sans doute les 2.
Impact également en terme de cohérence sur ce qu'est le Vercors, lieu d'histoire, de diversité d'activité, lieu de fréquentation familiale abordable financièrement point le grand parking P1 certes peut-être disgracieux, et aussi le symbole de l'accessibilité au ski de piste, pour des familles au revenu restant modestes.ce parking est gratuit aujourd'huu, il deviendra payant. En termes symbolique c'est important.
Enfin, et c'est probablement les 2 points les plus importants : l'implantation de ce projet verrouille complètement l'accès au front de neige, c'est-à-dire qu'il privatise complètement cet accès, le rendant moins facile voire impossible sans passer dans cette partie privée. C'est donc donner une forme d'exclusivité de fait à cette du TNS pour gérer l'accès au ski. La machine arrière sera impossible et le renouvellement de la DSP de la sevlc se verra biaiser de manière extrêmement préjudiciable.
Enfin, deuxième point définitif -car présentant la vision long terme- un tel projet se construit sur des espoirs de développement encore plus important de la station de ski, en tout cas il est bâti sur l'idée de la consommation de la neige comme sport de glisse. Or ceci dans un contexte de réchauffement climatique est absolument absurde notamment contenu de l'altitude à laquelle se trouve la station. Le côté Quatre Saisons du projet est extrêmement limité, et il ne saura existé de toute façon une activité aussi rentable et importante que celle du ski en dehors de la période hivernale, cette même période devenant de plus en plus courte. Il est donc à parier que, avec les années, la fréquentation diminue le projet soit de moins en moins viable et probablement, alors qu'il en sera encore temps, vendu à la découpe. L'exemple situé à quelques mètres de la, du balcon de Villard vide environ 10 mois sur 12 voir 11 mois sur 12 devrait raisonner dans les têtes point c'est au final exactement le même modèle que dans les années 70-80 mais avec 40 ans de retard sur la situation. Il y a de très très nombreux exemples de vallées relativement peu enneiger notamment en Italie ou de très nombreuses constructions ont été abandonnés en plein milieu par défaut de rentabilité d'exploitation de la station, rendant les paysages hideux, et ces endroits fantomatiques, et l'argent engagé gâché alors qu'il aurait pu être investi dans des choses plus intelligentes et plus actuelle, répondant à de véritables besoins. Investir sur la base d'une faiblesse dont on sait pertinemment qu'elle va s'accentuer est, passez-moi l'expression, d'une cretinerie absolue. Ce projet ne fera pas qu'il y aura plus de neige, il ne fera pas qu'il y aura plus de travail pour les moniteurs de l'ESF, ne sera pas fonctionner plus les sociaux professionnels de locaux, etc. ce projet est au mieux une betise, au pire une prédation. Sans doute les 2.
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