Contribution n°9 (Web)
Déposée le 7 janvier 2025 à 11h10
Document joint
Contribution n°8 (Web)
Déposée le 16 novembre 2024 à 18h19
Il est absolument primordial de poursuivre les réflexions afin d'améliorer l'offre de transports en commun (avec des horaires adaptées aux besoins actuels) notamment pour la deuxième couronne de Le Mans Métropole non dotée de ligne ferroviaire.
La présence de lignes de transports en commun est un atout majeur pour l'attractivité d'une commune et d'un territoire. Ce type d'infrastructure de transport offre de nombreux avantages, à la fois économiques, sociaux, et environnementaux, qui renforcent l'attrait d'une région pour les résidents, les entreprises, et les visiteurs.
Accessibilité et mobilité améliorées : Une ligne de transport en commun facilite les déplacements vers les centres urbains, les zones d’emploi, les institutions éducatives et les lieux de loisir. Les habitants des communes bénéficient ainsi d’une alternative aux déplacements en voiture, réduisant ainsi le stress et les coûts associés au transport individuel. Cela contribue à attirer de nouveaux résidents, notamment les jeunes actifs et les familles, qui recherchent des solutions de transport pratique et économique.
Dynamisme économique et création d’emplois : La présence d’une ligne de transport en commun favorise le développement économique local. Les entreprises y voient un moyen de recruter une main-d’œuvre plus large grâce à une accessibilité accrue, et cela contribue indirectement à la création d’emplois et à l’augmentation des revenus fiscaux de la commune.
Réduction de l'empreinte écologique : Les transports en commun sont des moyens de transport bien moins polluants que la voiture. En proposant une alternative au transport individuel, ceci contribue à la réduction des émissions de gaz à effet de serre et des embouteillages, et participe aux objectifs de transition écologique que poursuivent de nombreuses collectivités.
En somme, une ligne de transport en commun est un levier essentiel de développement et d’attractivité pour une commune et son territoire. Elle améliore la qualité de vie des habitants, soutient l'économie locale, attire les visiteurs, et contribue à des pratiques de mobilité durable, renforçant ainsi l’ensemble de la communauté.
Contribution n°7 (Web)
Déposée le 17 octobre 2024 à 10h19
2- dans les zones à proximités de la rivière , zone non pas en bordure mais éloignée de 50 metres et plus ou le niveau d eau a été de moins d un mètre lors des inondations , pourquoi ne pas autoriser la mise en place de terrain de sport ou de terrains de boules ou de creer des jardins pour particuliers avec des locaux sur pilotis ou de construire des locaux où des bureaux sur pilotis , avec la raréfaction des surfaces constructibles, cela serait une solution pour avoir plus de surface et utiliser des surfaces qui ne servent à rien actuellement
Contribution n°6 (Web)
Déposée le 7 octobre 2024 à 21h54
Façonner un urbanisme sain :
-préserver les arbres dans les villes en toute circonstance (remplacer des arbres de 50 ans par des jeunes est un non-sens en matière de CO2)
-valoriser les espaces verts
-limiter les enrobés et les revêtements imperméables au profit de surfaces drainantes quand c'est possible ( parking)
-développer les trottoirs vivants
-valoriser les entretiens raisonnés ( bernes et jardins)
-penser à l'accessibilité des PMR
-favoriser l'accès des villages en mobilités douces
Un territoire rural répondant aux enjeux écologiques :
-favoriser réellement les mobilités douces en zone rurale par la création de voies sécurisées pour les vélos ( pistes cyclables Ruaudin Le Mans / Parigné Le Mans / Mulsanne Antarès )
-préserver les haies en campagne. Inciter à leur entretien. Poursuivre les incitations à la plantation. Favoriser les fruitiers, les haies bocagères et interdire la plantation de l'érable sycomore dans les haies en zone rurale
-préserver les environnements boisés par des mesures de prévention (ex : interdire par exemple l'accès des voitures dans les chemins de forêt ( sauf propriétaires et exploitants))
-préserver nos chemins tout en conservant la nature des sols et leur structure initiale
-proscrire l'utilisation des gravats (et des déchets ! ) issus du concassage de la déchèterie dans les chemins boisés au prétexte de les entretenir ou de faire des économies.
-penser le cheval comme mobilité écologique quand on aménage une voie verte ...certains départements y arrivent....pourquoi pas la Sarthe !
Documents joints
Contribution n°5 (Web)
Déposée le 28 septembre 2024 à 11h03
depuis des années, je demande avec d'autres utilisateurs, de déchetterie de Conlie, de modifier l'accès à la borne d'entée, qui est vraiment pas pratique du tout,
M.Méténier ainsi que Mme Radou m'avaient promis de faire le nécessaire, et toujours rien,
j'espère que bientôt elle sera modifiée,
merci
Contribution n°4 (Web)
Déposée le 28 septembre 2024 à 10h14
Contribution n°3 (Web)
Déposée le 26 juin 2024 à 11h05
" l'agrivoltaique"
Contribution n°2 (Web)
Déposée le 14 juin 2024 à 23h26
L'agrivoltaïsme est une ineptie et va à l'encontre de la préservation de l'environnement. Au lieu de mettre des panneaux dans des champs, pourquoi ne pas les installer sur des toits de bâtiments industriels. Autant utiliser des surfaces déjà urbanisées au lieu d'installer des plots bétons dans des terres arables....
Contribution n°1 (Web)
Déposée le 28 mai 2024 à 13h51
L’enjeu est crucial, car la France a pour l’instant échoué dans la réalisation effective de ses ambitions. Alors que nous étions censés couvrir 23 % de notre consommation énergétique grâce à des énergies renouvelables en 2020 en respect de nos engagements européens, cette part ne s'est élevée qu’à 19,1 %, faisant de la France le seul pays de l’Union européenne à ne pas avoir atteint ses objectifs. Cela a coûté 500 millions d’euros d'amende à la France et a privé notre pays de 64 TWh d’énergie supplémentaire, soit l’équivalent de 20 % de la consommation énergétique du secteur industriel.
Aujourd'hui plus que jamais, les énergies renouvelables s'imposent comme un puissant levier d'action face à l'urgence climatique, mais aussi comme un investissement durable et un amortisseur de crises. Le solaire photovoltaïque constitue l'une des composantes essentielles de la transition énergétique dans laquelle est engagé notre pays.
Particulièrement bien répartie, la production d'électricité solaire est en effet possible partout en France : anciens sites industriels, sites pollués ou remblais miniers peuvent accueillir des projets, tout comme les friches naturelles et les plans d'eau.
L'agrivoltaïsme, technologie récemment encadrée par voie réglementaire avec la publication de l'arrêté du 8 avril 2024, permet quant à lui de répondre à des problématiques agricoles en couplant sur une même parcelle une production agricole principale à une production d'énergie solaire secondaire. Les structures agrivoltaïques représentent une solution adaptée aux contraintes et enjeux agricoles sur les territoires. Dans un premier temps, le projet peut être expérimenté sur une surface de taille réduite afin de confirmer sa faisabilité. Les atouts de l'agrivoltaïsme sont nombreux : pérennisation de l'activité agricole, optimisation de la consommation d'eau, protection contre les aléas climatiques, promotion de l'agriculture locale via des circuits courts, etc. Vous trouverez dans le document en pièce jointe plus d'informations sur les synergies agrivoltaïques pouvant être mises en œuvre.
Du fait de sa grande modularité et de sa pertinence économique, le photovoltaïque constitue ainsi une énergie de proximité, un outil de transition local, déclinable en une multitude d'applications dédiées.
Nous proposons donc de modifier le SCOT afin d'intégrer des objectifs de développement des énergies renouvelables dans le SCOT et d'alléger les contraintes réglementaires pour les projets photovoltaïques.
Nous sommes à votre disposition pour toute concertation ou réunion nécessaire à la mise en œuvre de cette modification, afin de vous fournir si nécessaire davantage d'informations réglementaires ou techniques sur le sujet.
En vous remerciant pour l'attention que vous porterez à cette contribution, nous vous prions d'agréer, Madame, Monsieur, l'expression de nos salutations distinguées.