Les contributions

Contribution n°6 (Web)

Par BARGEON Yoann
Déposée le 2 octobre 2024 à 23h08
Je refuse de vivre au milieu de ces éoliennes de plus en plus hautes c’est une vrai pollution visuel , sonore . Je souhaite protéger [...]
Je refuse de vivre au milieu de ces éoliennes de plus en plus hautes c’est une vrai pollution visuel , sonore . Je souhaite protéger la nature autour de mon lieu de vie et je dit non à la construction d’éoliennes sur la commune de Maron.

Contribution n°5 (Web)

Par BARGEON Yoann
Déposée le 2 octobre 2024 à 23h06
Je refuse de vivre au milieu de ces éoliennes de plus en plus hautes c’est une vrai pollution visuel , sonore . Je souhaite protéger [...]
Je refuse de vivre au milieu de ces éoliennes de plus en plus hautes c’est une vrai pollution visuel , sonore . Je souhaite protéger la nature autour de mon lieu de vie et je dit non à la construction d’éoliennes sur la commune de Maron.

Contribution n°4 (Web)

Par Gilbert
Déposée le 2 octobre 2024 à 21h44
M. le commissaire enquêteur, vous trouverez en PJ l'Avis de la cour d'appel de Toulouse

Document joint


Contribution n°3 (Web)

Par Gilbert Blanc
Déposée le 2 octobre 2024 à 21h41
Monsieur le commissaire enquêteur je suis formellement contre l’implantation d’éolienne sur la commune de Mâron.
Trop de doutes sur [...]
Monsieur le commissaire enquêteur je suis formellement contre l’implantation d’éolienne sur la commune de Mâron.
Trop de doutes sur le « syndrome éolien » provoqué par les infrasons, volontairement caché en France par des déclarations complaisantes non fondées, sans aucune recherche scientifique ni médicale. Les impacts sur la santé des habitants sont visiblement importants, nous ne sommes pas des cobayes. Les infrasons courent sur 40 à 60 km, alors les 500 m de distance nous laissent septiques et inquiets.
Gilbert Blanc Maire de Mâron en Berry

Contribution n°2 (Web)

Par Bauthamy Gilbert
Déposée le 2 octobre 2024 à 14h59
A l’attention de Monsieur le président de la Commission d’enquête publique commune de MÂRON

NON AUX ÉOLIENNES A MÂRON EN BERRY

Voici [...]
A l’attention de Monsieur le président de la Commission d’enquête publique commune de MÂRON

NON AUX ÉOLIENNES A MÂRON EN BERRY

Voici des raisons qui me poussent à ne pas accepter des éoliennes à quelques centaines de mètres de mon habitation sur la commune de Mâron en Berry.

Source « éoliennes un scandale d’état de Alban d'Arguin »
De nombreux rapports et études montrent l’apparition de symptômes identiques, survenant toujours après la mise en service des éoliennes, mais sans simultanéité temporelle. Ceux-ci se caractérisent par :
.des troubles du sommeil,
.des maux de tête,
.des acouphènes (bourdonnement ou tintements dans les oreilles)
.une sensation d’augmentation de la pression sanguine à l’intérieur de l’oreille,
.des vertiges avec étourdissements et sensations d’évanouissement,
.des vertiges avec sensation que soit le corps soit la pièce où l’on se trouve se mettent à tourner,
.des nausées,
.des troubles de la vue,
.des accès de tachycardie (accélération des battements du cœur ou arythmie),
.des effets d’irritabilités sur le comportement,
.des problèmes de concentration et de perte de mémoire,
.des angoisses associées à des sensations de palpitations ou de frémissements internes surgissant pendant l’éveil ou le sommeil.

Un autre point que l’on peut développer ce sont les infrasons

Source « Santé public, Sécurité de la chaine alimentaire, environnement ».

Est-ce audible ?

Les infrasons sont des sons qui ont une fréquence de 20 Hz et moins. Par bruits de basse fréquence, on entend des sons dont la fréquence se situe sous les 125 Hz. Infrasons et bruits de basse fréquence sont difficilement audibles, mais on ne peut pas dire qu'ils sont totalement inaudibles. On parle plutôt de niveaux sonores qui peuvent être audibles ou non : on peut les entendre lorsque le niveau sonore est suffisamment élevé.

Outre les sources naturelles d'infrasons et de bruits de basse fréquence, tels les volcans, l'orage et les tremblements de terre, il existe aussi des sources artificielles : le trafic ferroviaire, aérien et routier, ainsi que l'industrie. Les ventilateurs, les climatiseurs, les compresseurs et les enceintes acoustiques sont des sources connues d'infrasons et de sons de basse fréquence.

Gêne provoquée par les infrasons et les bruits de basse fréquence

Les infrasons et les bruits de basse fréquence peuvent provoquer de la gêne, même lorsqu'ils sont inaudibles. Cela s'explique par la sensibilité de certaines cellules nerveuses auditives, les cellules cillées extérieures, à ce type de vibrations acoustiques. Des niveaux inaudibles d'infrasons et de bruits de basse fréquence peuvent alors être perçus comme une pression dans les oreilles.

L'impossibilité d'identifier ou de localiser la source d'un bourdonnement de basse fréquence peut aussi contribuer à une sensation d'inconfort. Cela est dû au fait qu'un bruit de basse fréquence peut porter plus loin qu'un bruit de fréquence plus élevée. La source sonore est alors difficile à identifier : on n'entend plus que le bruit de basse.

Normes pour les infrasons et les bruits de basse fréquence

Il n'existe pas de réglementation spécifique concernant les infrasons et les bruits de basse fréquence. Le bruit de basse fréquence doit répondre aux mêmes lois que les autres bruits. L'infrason n'est en général pas pris en considération. Une solution éventuelle est de maintenir les niveaux sonores sous le seuil d'audition (comme cela est décrit dans la norme ISO 226 ou ISO 389) de l'infrason, même si cela n'est pas toujours possible. Lors de la mesure d'un bruit de basse fréquence, il est préférable d'appliquer la pondération G, conformément à la norme ISO 7196.

En cas de plaintes pour gêne due à des infrasons ou des bruits de basse fréquence dans votre environnement, contactez votre administration régionale responsable de la lutte contre les nuisances sonores. Une enquête sur place pourra éventuellement aider à localiser la source de cette gêne.

Le bruit représente un problème majeur pour la santé publique. Il constitue selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS) le deuxième facteur de risque environnemental en Europe en termes de morbidité, derrière la pollution de l’air.

Enquête « sauvons le climat »

Une énergie « intermittente »
Les éoliennes donnent de l’énergie seulement quand il y a du vent : cette vérité de La Palice ne présente qu’une partie de la réalité de leur fonctionnement. Globalement la production annuelle française, avec ses trois zones climatiques, est relativement stable, la puissance moyenne délivrée oscillant entre 22 et 24% de la puissance installée, soit un écart de 8 %2. Il y a par ailleurs un peu plus de vent en France en hiver qu’en été, avec un écart d’environ 25 % entre les 4 mois d’hiver et les 4 mois d’été. Par contre les écarts peuvent être sensiblement supérieurs d’une année à une autre : les écarts peuvent atteindre le facteur 2 quand on examine les mêmes semaines, ou de 30 à 40 % pour les mêmes mois. Ce point est majeur quand on tient compte de la nécessité d’ajuster finement la production et la consommation d’électricité et, en conséquence, de l’obligation de prévoir la puissance mobilisable à chaque instant de l’année.

Une énergie extrêmement « variable » au jour le jour
En effet la puissance d’une éolienne varie selon une fonction complexe dans laquelle les vitesses amont et aval du vent interviennent à la puissance 3 (loi de Betz):
P= (Constante) x (surface couverte par les pales) x (Vamont2-Vaval2) x (Vamont+Vaval)
Il en résulte des variations de puissance extrêmement rapides en fonction de la vitesse du vent (voir figure 1). Une éolienne atteint son maximum de puissance, la puissance nominale, pour des vitesses de vent élevées, voisines de 65 à 70 km/h, et s’arrête pour des vents inférieurs à 10 à 15 km/h. Elle doit être mise hors service pour éviter une casse au-delà de la vitesse de mise en sécurité, typiquement 90 km/h. Une éolienne seule montre donc un profil de production extrêmement variable en fonction de la vitesse du vent, très difficile à gérer par un opérateur de réseau.
Un parc d’éoliennes complet, comme celui de la France, avec environ 6 000 éoliennes, bénéficie d’un foisonnement3 lié à la dispersion géographique des parcs et à la capacité que possède une zone climatique de compenser une pénurie de vent dans une autre zone. On obtient cependant une production globale de l’éolien en France (figure 2) qui démontre que la production est très aléatoire et extraordinairement variable. Et il n’y a aucune corrélation entre le niveau de production éolienne à un instant donné et le besoin simultané d’électricité.

Le droit des habitants de Mâron à être entendu

Les habitants de Mâron se sont prononcés à la majorité absolue lors des élections municipales du 15 mars 2020 contre l’implantation d’éoliennes sur leur commune. Le conseil municipal à voté l’abandon du projet le 13/06/2020

Le conseil municipal actuel a voté à l’unanimité contre l’implantions d’éoliennes sur la commune favorisant l’énergie solaire (capteur photovoltaïques, l’agrivoltaisme, géothermie, biomasse, etc…
En date du 27 novembre 2023 le conseil a voté à l’unanimité la DCM 2023-46 (voir procès-verbal 01jpg -02jpg -03jpg documents associés)

Questions sur l’avenir de la filière éolienne

Qui financera le démantèlement de ces parcs éoliens dans 20 ans une fois que les promoteurs et sociétés se seront gavées de profits et qu’ils auront vendu et revendu leurs poules aux œufs d’or ??? Rien d'écologique, plutôt mercantile... avec l’existence de contrat avec un prix garanti en moyenne 2 à 3 fois supérieur au prix d’achat de l’électricité dont l’éolien prend la place….
L’énergie verte à quel prix ????? C’est bien le consommateur qui paye l’addition.

Sur les conséquences

Nous ne parlons pas de la disparition des oiseaux, de la bio diversification, des courants induits des effets stroboscopiques des pales, de la perte la valeur de nos maisons, de notre qualité de vie dans nos campagnes et paysages. L’énergie éolienne : cause de pollution visuelle et sonore.

Nous ne voulons pas :

D’une France défigurée,
D’une France contaminée,
D’une France spoliée.

Impartialité des commissaires enquêteurs ?

Une autre question et aussi une interrogation ? Comment ce fait-il que les commissaires enquêteurs soient indemnisés par la société qui demande le projet. Ne deviennent t’ils pas directement « salariés du demandeur du projet » et donc seraient tenus d’émettre un avis favorable même si l’ensemble du dossier et des personnes participantes à l’enquête public y sont défavorables (exemple sur la commune de Luant 36)

Info prise sur internet
Qui paye l'enquête publique ? L’indemnisation des commissaires enquêteurs, ainsi que l'ensemble des frais de l'enquête sont pris en charge par le maître d'ouvrage.


Pour toutes ces raisons je suis opposé à l’implantation d’éoliennes sur la commune de Mâron en Berry

Monsieur le Président de la commission d’enquête, je vous demande donc de donner un avis totalement défavorable à ce dossier.
Sincères salutations.
Gilbert Bauthamy
36120 Mâron

Contribution n°1 (Web)

Par ALBIN
Déposée le 1 octobre 2024 à 19h44
A l’attention de Monsieur le président de la Commission d’enquête publique commune de MARON

Sur la commune de Mâron (source INPN) [...]
A l’attention de Monsieur le président de la Commission d’enquête publique commune de MARON

Sur la commune de Mâron (source INPN) (Inventaire National du Patrimoine Naturel )
Présence d’un inventaire national du patrimoine géologique, de 656 espèces recensées dont 92 protégées et 24 taxons
18 espèces de chiroptères sont mentionnées et des éoliennes sont situées à moins 200 m d’un boisement ou d’une haie (en contradiction avec les préconisations EUROBATS qui mentionnent une distance minimale de 200 mètres en bout de pâle). Or tous les éoliennes, même présentant des dispositifs anti-collision et des plans de bridage sont source de mortalités importantes de chiroptères et d’autres espèces protégées .
Dans le dossier ( chiroptères ) est mentionné les espèces suivantes de chauve-souris.
( France . 1 espèce VULNÉRABLE , la Noctule commune et 5 espèces quasi menacées ). Région Centre val de Loire. 7 espèces quasi menacées ).
6 espèces sensibles à l’éolien donc la Noctule commune .
Atteintes très grave à la biodiversité voir chiffres mentionnés ci dessus.Une demande de dérogation pour destruction « d’espèces protégées » DOIT donc être effectuée. Comment cette situation pourrait-elle être acceptable pour une énergie qui se dit « verte » ?
Monsieur le Président de la commission d’enquête, je vous demande donc de donner un avis totalement défavorable à ce dossier.
Sincères salutations .
Daniel ALBIN
36340 Maillet

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