Contribution n°168 (Web)
Anonyme
Déposée le 3 mars 2025 à 17h31
Déposée le 3 mars 2025 à 17h31
Je suis pour les éoliennes à Audes...
Contribution n°167 (Web)
Par BICHONNET lionel
Déposée le 3 mars 2025 à 17h24
Déposée le 3 mars 2025 à 17h24
je suis contre ce projet éolien
Contribution n°166 (Web)
Par Nawel ABDELHAK
Déposée le 3 mars 2025 à 13h02
Déposée le 3 mars 2025 à 13h02
Messieurs les commissaires enquêteurs,
Je m’adresse à vous pour exprimer à nouveau mon opposition à l’implantation de trois aérogénérateurs sur la commune de Audes dans le cadre du projet Solvéo et apporter des arguments supplémentaires.
Je me suis efforcée de lire au moins une partie des centaines de pages qui constituent le dossier du projet Solvéo. J’ai constaté au moins deux problèmes sur lesquels je veux revenir.
1) Les nuisances sonores sont trop peu prises en compte, en particulier en ce qui concerne les infrasons et les sons basse fréquence, aussi bien pour les animaux domestiques et les animaux sauvages que pour les humains.
Du reste, pour ce qui concerne les humains, l’avis de l’ANSES de février 2017 avait constaté les déficiences des mesures notamment pour les basses fréquences et les infrasons, ce que la Direction générale de la Santé a reconnu (voir pièce jointe). Une étude épidémiologique a été lancée pour apporter des éléments scientifiques supplémentaires concernant les effets du bruit des éoliennes sur la santé humaine. Il s’agit du projet RIBEolh (Recherche des Impacts du Bruit des Éoliennes sur la Santé Humaine), dont la présentation rappelle que « l'inaudibilité des IF n'exclut pas la possibilité d'une action de leur part sur l'oreille interne ou le système nerveux central » ( https://ribeolh.univ-gustave-eiffel.fr/). Les conclusions de l’étude sont espérées en 2025.
Pourtant, on sait déjà que « Réputées inaudibles par l’humain, les ondes infrasonores sont bel et bien perceptibles par chacun d’entre nous, à condition d’atteindre des niveaux d’intensité suffisamment forts » comme l’explique le journal du CNRS (Centre National de la Recherche Scientifique), dans son article « Infrasons, ces ondes sonores que rien n'arrête », publié le 03.10.2024 (https://lejournal.cnrs.fr/articles/infrasons-ces-ondes-sonores-que-rien-narrete, les citations suivantes sont issues de la même source).
« Problème : les infrasons sont aujourd’hui l’angle mort de la réglementation sur le bruit dans de nombreux pays, dont la France. » « En France, le bruit environnemental est essentiellement mesuré en décibels “pondérés” A (dB A). Ce système de pondération permet de tenir compte de la plus grande sensibilité de l’oreille à certaines fréquences, en leur donnant un plus grand poids, afin d’évaluer la gêne réelle occasionnée par des bruits comme le trafic routier, la circulation des trains, un concert… Or cette pondération A n’est pas adaptée aux fréquences situées au-dessous de 125 Hz, car elle applique un filtre qui les atténue fortement », explique David Ecotière, directeur adjoint de l’Unité mixte de recherche en acoustique environnementale (Umrae) et spécialiste de la propagation du son en milieu extérieur. « Généralement, quand nous, chercheurs, faisons des mesures d’infrasons, nous présentons nos résultats en décibels non pondérés. » Le scientifique pointe également le matériel souvent inadapté des bureaux d’étude sollicités pour réaliser les études de bruit environnemental, qui n’a pas la sensibilité requise dans les très basses fréquences. »
Qu’en est-il du matériel utilisé et de la fiabilité de l’étude présentée par le projet Solvéo ?
De plus les infrasons ont la capacité de se déplacer sur de longues distances et bien sûr la sensibilité à ces infrasons est variable d’une personne à l’autre. Et les nuisances ne sont pas forcément dues aux bruits proprement dits : « Partie prenante du projet RIBEolh, Paul Avan cherche, lui, à comprendre la réaction du système auditif lorsqu’il est exposé aux infrasons. « Je vais mesurer les changements physiologiques qui pourraient se produire dans l’oreille interne après une exposition aux infrasons. » (Journal du CNRS, Ibid.).
Il serait nettement préférable d’attendre les résultats d’une telle étude avant de multiplier les implantations d’éoliennes sur les territoires en niant purement et simplement l’existence du « syndrome des éoliennes » et son cortège de symptômes décrits par les riverains plus ou moins proches (maux de têtes, acouphènes, nausées, vertiges, perte du sommeil...).
Surtout que la justice a déjà statué à ce sujet : « La cour d'appel de Toulouse a reconnu [en 2021] l'existence d'un syndrome éolien, en condamnant les exploitants d'un parc éolien à indemniser un couple qui résidait à proximité du parc et se plaignait de différents troubles. Maux de tête persistants, fatigue, nausées, troubles du sommeil, tachycardie, oppression au niveau des oreilles… » (https://www.ledauphine.com/sante/2021/11/08/qu-est-ce-que-le-syndrome-de-l-eolien-reconnu-pour-la-premiere-fois-par-un-tribunal).
En mai 2017, l'Académie nationale de médecine avait déjà publié un rapport sur les nuisances sanitaires des éoliennes terrestres (https://www.academie-medecine.fr/wp-content/uploads/2017/05/Rapport-sur-les-%C3%A9oliennes-M-Tran-ba-huy-version-3-mai-2017.pdf. ou pièce jointe). Ce rapport reconnaissait l’existence de véritables atteintes à la santé humaine, même si, comme toujours, tout le monde n’est pas touché de la même manière et que les connaissances scientifiques disponibles à cette date ne permettaient pas toujours de comprendre les phénomènes observés. Mais ce que la science ne sait pas encore expliquer ne cesse pas pour autant d’exister.
Étant moi-même gravement électrohypersensible (EHS), et officiellement reconnue en situation de handicap (RQTH) du fait de ce syndrome, et de son corollaire le syndrome de sensibilité chimique multiple (SCM/MCS), je suis déjà très sensibles aux bruits, y compris les basses fréquences, y compris quand les autres ne les entendent pas. Et je suis déjà aussi fortement sujette aux maux de tête, acouphènes, nausées, vertiges, oppression thoracique, tachycardie… Je suis particulièrement inquiète de ce qu’il adviendra de moi si le projet se réalise.
En effet, j’ai dû quitter Montluçon pour échapper aux pollutions électromagnétiques (et chimiques) trop lourdes et pour tenter de survivre mieux. J’ai trouvé ma maison à Audes ,dans un environnement relativement préservé dans ce beau bocage bourbonnais. J’ai investi mes petites économies et je me suis endettée pour longtemps afin de rénover cette maison de manière compatible avec ma situation de handicap. J’y vis et y travaille car le handicap m’a fait perdre la capacité d’exercer mon métier de professeur que j’adorais. J’ai la chance d’avoir pu garder une activité professionnelle de chez moi car ma maison est adaptée à mon handicap. J’ai perdu plus de 90 % de ma vie sociale. J’arrive à aller à peu près bien à condition de ne pas trop sortir de ma maison et mon terrain. Je suis à à peine plus de 2 kilomètres du site prévu pour les éoliennes. Si ce projet se réalisait, du fait des infrasons ma maison pourrait devenir inhabitable pour moi. Que me resterait-il comme solution ? Il est extrêmement difficile de trouver un lieu vivable pour une personne dans ma situation de handicap et je n’ai plus d’argent.
Bien sûr on peut se dire que cela ne concerne qu’une seule personne alors cela ne fait pas le poids. Mais je ne suis pas la seule personne électrohypersensible dans le secteur. Et, surtout, ce que certains ressentent déjà est un indice fort de ce que d’autres pourraient avoir à vivre si ce projet se réalisait.
2) Un autre élément potentiellement très négatif n’a pas été abordé du tout : les courants électriques qui peuvent impacter le sol et les habitations aux alentours. Ces courants sont issus des câbles électriques et des câbles de mise à la terre, qui circulent dans le sol entre les éoliennes et les différentes installations de traitement et acheminement de l’électricité produite. Ils représentent des flux dont l’impact peut être très négatif quand on y est soumis en continu. Autrement dit les bâtiments d’habitation ou autres installations mais aussi les animaux et les êtres humains peuvent capter ces courants qui auront un impact potentiellement très négatif sur leur santé.
Quelles garanties sont données par Solvéo sur l’étanchéité des câbles et l’absence de courants de fuite et courants vagabonds ? Surtout que des activités impliquant humains et animaux domestiques ont lieu de manière constante ou au moins très régulière à proximité des éoliennes prévues. Et on ne parle pas des effets sur la faune sauvage qui sont difficilement évaluables.
Tous ces impacts négatifs s’ajoutent à ceux que j’ai évoqués dans une précédente contribution et confirment donc mon opposition à ce projet d’éoliennes, malgré l’avantage certain qu’il présenterait pour les finances de la commune.
Je vous remercie à nouveau d’avoir pris le temps de me lire et vous prie d’agréer, Messieurs les commissaires enquêteurs, mes cordiales salutations.
Mme Nawel ABDELHAK (Audes)
Je m’adresse à vous pour exprimer à nouveau mon opposition à l’implantation de trois aérogénérateurs sur la commune de Audes dans le cadre du projet Solvéo et apporter des arguments supplémentaires.
Je me suis efforcée de lire au moins une partie des centaines de pages qui constituent le dossier du projet Solvéo. J’ai constaté au moins deux problèmes sur lesquels je veux revenir.
1) Les nuisances sonores sont trop peu prises en compte, en particulier en ce qui concerne les infrasons et les sons basse fréquence, aussi bien pour les animaux domestiques et les animaux sauvages que pour les humains.
Du reste, pour ce qui concerne les humains, l’avis de l’ANSES de février 2017 avait constaté les déficiences des mesures notamment pour les basses fréquences et les infrasons, ce que la Direction générale de la Santé a reconnu (voir pièce jointe). Une étude épidémiologique a été lancée pour apporter des éléments scientifiques supplémentaires concernant les effets du bruit des éoliennes sur la santé humaine. Il s’agit du projet RIBEolh (Recherche des Impacts du Bruit des Éoliennes sur la Santé Humaine), dont la présentation rappelle que « l'inaudibilité des IF n'exclut pas la possibilité d'une action de leur part sur l'oreille interne ou le système nerveux central » ( https://ribeolh.univ-gustave-eiffel.fr/). Les conclusions de l’étude sont espérées en 2025.
Pourtant, on sait déjà que « Réputées inaudibles par l’humain, les ondes infrasonores sont bel et bien perceptibles par chacun d’entre nous, à condition d’atteindre des niveaux d’intensité suffisamment forts » comme l’explique le journal du CNRS (Centre National de la Recherche Scientifique), dans son article « Infrasons, ces ondes sonores que rien n'arrête », publié le 03.10.2024 (https://lejournal.cnrs.fr/articles/infrasons-ces-ondes-sonores-que-rien-narrete, les citations suivantes sont issues de la même source).
« Problème : les infrasons sont aujourd’hui l’angle mort de la réglementation sur le bruit dans de nombreux pays, dont la France. » « En France, le bruit environnemental est essentiellement mesuré en décibels “pondérés” A (dB A). Ce système de pondération permet de tenir compte de la plus grande sensibilité de l’oreille à certaines fréquences, en leur donnant un plus grand poids, afin d’évaluer la gêne réelle occasionnée par des bruits comme le trafic routier, la circulation des trains, un concert… Or cette pondération A n’est pas adaptée aux fréquences situées au-dessous de 125 Hz, car elle applique un filtre qui les atténue fortement », explique David Ecotière, directeur adjoint de l’Unité mixte de recherche en acoustique environnementale (Umrae) et spécialiste de la propagation du son en milieu extérieur. « Généralement, quand nous, chercheurs, faisons des mesures d’infrasons, nous présentons nos résultats en décibels non pondérés. » Le scientifique pointe également le matériel souvent inadapté des bureaux d’étude sollicités pour réaliser les études de bruit environnemental, qui n’a pas la sensibilité requise dans les très basses fréquences. »
Qu’en est-il du matériel utilisé et de la fiabilité de l’étude présentée par le projet Solvéo ?
De plus les infrasons ont la capacité de se déplacer sur de longues distances et bien sûr la sensibilité à ces infrasons est variable d’une personne à l’autre. Et les nuisances ne sont pas forcément dues aux bruits proprement dits : « Partie prenante du projet RIBEolh, Paul Avan cherche, lui, à comprendre la réaction du système auditif lorsqu’il est exposé aux infrasons. « Je vais mesurer les changements physiologiques qui pourraient se produire dans l’oreille interne après une exposition aux infrasons. » (Journal du CNRS, Ibid.).
Il serait nettement préférable d’attendre les résultats d’une telle étude avant de multiplier les implantations d’éoliennes sur les territoires en niant purement et simplement l’existence du « syndrome des éoliennes » et son cortège de symptômes décrits par les riverains plus ou moins proches (maux de têtes, acouphènes, nausées, vertiges, perte du sommeil...).
Surtout que la justice a déjà statué à ce sujet : « La cour d'appel de Toulouse a reconnu [en 2021] l'existence d'un syndrome éolien, en condamnant les exploitants d'un parc éolien à indemniser un couple qui résidait à proximité du parc et se plaignait de différents troubles. Maux de tête persistants, fatigue, nausées, troubles du sommeil, tachycardie, oppression au niveau des oreilles… » (https://www.ledauphine.com/sante/2021/11/08/qu-est-ce-que-le-syndrome-de-l-eolien-reconnu-pour-la-premiere-fois-par-un-tribunal).
En mai 2017, l'Académie nationale de médecine avait déjà publié un rapport sur les nuisances sanitaires des éoliennes terrestres (https://www.academie-medecine.fr/wp-content/uploads/2017/05/Rapport-sur-les-%C3%A9oliennes-M-Tran-ba-huy-version-3-mai-2017.pdf. ou pièce jointe). Ce rapport reconnaissait l’existence de véritables atteintes à la santé humaine, même si, comme toujours, tout le monde n’est pas touché de la même manière et que les connaissances scientifiques disponibles à cette date ne permettaient pas toujours de comprendre les phénomènes observés. Mais ce que la science ne sait pas encore expliquer ne cesse pas pour autant d’exister.
Étant moi-même gravement électrohypersensible (EHS), et officiellement reconnue en situation de handicap (RQTH) du fait de ce syndrome, et de son corollaire le syndrome de sensibilité chimique multiple (SCM/MCS), je suis déjà très sensibles aux bruits, y compris les basses fréquences, y compris quand les autres ne les entendent pas. Et je suis déjà aussi fortement sujette aux maux de tête, acouphènes, nausées, vertiges, oppression thoracique, tachycardie… Je suis particulièrement inquiète de ce qu’il adviendra de moi si le projet se réalise.
En effet, j’ai dû quitter Montluçon pour échapper aux pollutions électromagnétiques (et chimiques) trop lourdes et pour tenter de survivre mieux. J’ai trouvé ma maison à Audes ,dans un environnement relativement préservé dans ce beau bocage bourbonnais. J’ai investi mes petites économies et je me suis endettée pour longtemps afin de rénover cette maison de manière compatible avec ma situation de handicap. J’y vis et y travaille car le handicap m’a fait perdre la capacité d’exercer mon métier de professeur que j’adorais. J’ai la chance d’avoir pu garder une activité professionnelle de chez moi car ma maison est adaptée à mon handicap. J’ai perdu plus de 90 % de ma vie sociale. J’arrive à aller à peu près bien à condition de ne pas trop sortir de ma maison et mon terrain. Je suis à à peine plus de 2 kilomètres du site prévu pour les éoliennes. Si ce projet se réalisait, du fait des infrasons ma maison pourrait devenir inhabitable pour moi. Que me resterait-il comme solution ? Il est extrêmement difficile de trouver un lieu vivable pour une personne dans ma situation de handicap et je n’ai plus d’argent.
Bien sûr on peut se dire que cela ne concerne qu’une seule personne alors cela ne fait pas le poids. Mais je ne suis pas la seule personne électrohypersensible dans le secteur. Et, surtout, ce que certains ressentent déjà est un indice fort de ce que d’autres pourraient avoir à vivre si ce projet se réalisait.
2) Un autre élément potentiellement très négatif n’a pas été abordé du tout : les courants électriques qui peuvent impacter le sol et les habitations aux alentours. Ces courants sont issus des câbles électriques et des câbles de mise à la terre, qui circulent dans le sol entre les éoliennes et les différentes installations de traitement et acheminement de l’électricité produite. Ils représentent des flux dont l’impact peut être très négatif quand on y est soumis en continu. Autrement dit les bâtiments d’habitation ou autres installations mais aussi les animaux et les êtres humains peuvent capter ces courants qui auront un impact potentiellement très négatif sur leur santé.
Quelles garanties sont données par Solvéo sur l’étanchéité des câbles et l’absence de courants de fuite et courants vagabonds ? Surtout que des activités impliquant humains et animaux domestiques ont lieu de manière constante ou au moins très régulière à proximité des éoliennes prévues. Et on ne parle pas des effets sur la faune sauvage qui sont difficilement évaluables.
Tous ces impacts négatifs s’ajoutent à ceux que j’ai évoqués dans une précédente contribution et confirment donc mon opposition à ce projet d’éoliennes, malgré l’avantage certain qu’il présenterait pour les finances de la commune.
Je vous remercie à nouveau d’avoir pris le temps de me lire et vous prie d’agréer, Messieurs les commissaires enquêteurs, mes cordiales salutations.
Mme Nawel ABDELHAK (Audes)
Documents joints
Contribution n°165 (Web)
Par Olijnyk Christine
Déposée le 3 mars 2025 à 12h54
Déposée le 3 mars 2025 à 12h54
https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/biodiversite-on-train-aneantir-nature-75-terres-sont-degradees-1-million-especes-menacees-extinction-119892/
Un extrait :
L'argent public encourage pourtant des activités qui abîment la nature : extraction d'énergies fossiles, surpêche, agriculture intensive, etc. Pour quels montants ? C'est l'un des objectifs de l'accord de Kunming-Montréal que de chiffrer les subventions et avantages fiscaux « néfastes » d'ici 2025 et de les réduire « d'au moins 500 milliards de dollars par an » d'ici 2030. Très débattu, le montant des « subventions néfastes pour l'environnement » a été estimé jusqu'à 2 600 milliards de dollars par an, soit 2,5 % du PIB mondial, par l'organisation Earth Track.
Vous pouvez mettre l éolien dedans.
Subventions.. saccages de la nature, destruction d' espèces protégées, saccage de nos paysages, à 500 mètres des habitations...
Tout est dit.
Un extrait :
L'argent public encourage pourtant des activités qui abîment la nature : extraction d'énergies fossiles, surpêche, agriculture intensive, etc. Pour quels montants ? C'est l'un des objectifs de l'accord de Kunming-Montréal que de chiffrer les subventions et avantages fiscaux « néfastes » d'ici 2025 et de les réduire « d'au moins 500 milliards de dollars par an » d'ici 2030. Très débattu, le montant des « subventions néfastes pour l'environnement » a été estimé jusqu'à 2 600 milliards de dollars par an, soit 2,5 % du PIB mondial, par l'organisation Earth Track.
Vous pouvez mettre l éolien dedans.
Subventions.. saccages de la nature, destruction d' espèces protégées, saccage de nos paysages, à 500 mètres des habitations...
Tout est dit.
Contribution n°164 (Web)
Par DESMON Myriam
Déposée le 2 mars 2025 à 19h00
Déposée le 2 mars 2025 à 19h00
merci de prendre en compte ma contribution en P.J.
Cordialement,
Myriam Desmon
Cordialement,
Myriam Desmon
Document joint
Contribution n°163 (Web)
Par Christine L
Déposée le 1 mars 2025 à 19h31
Déposée le 1 mars 2025 à 19h31
Totalement contre ce projet
Contribution n°162 (Web)
Par Christine Olijnyk
Déposée le 1 mars 2025 à 15h48
Déposée le 1 mars 2025 à 15h48
Je suis CONTRE ce projet.
Je n' arrive plus à lire les pages de ces études indigestes où la grand messe est dite. Et quelle grand messe !!
Au détriment de la faune, de la flore, des humains de nos paysages.
Nous ne sommes pas dupes les mesures ERC ne sont là que pour donner bonne conscience, à qui au fait ? À l' état ? Au promoteur ? Un oiseau, une chauve-souris morte on ne peut pas les remplacer.
Qui peut croire encore à ces aérogénérateurs monstrueux qui défigurent nos campagnes.
Qui plus est à côté du château de la Crête, monument historique. Quand on connaît les contraintes imposées à ces monuments , comment se fait il que des élus se permettent d' avoir un tel projet. ABERRANT !! Ils ne pensent qu aux rentrées d argent dans leur propre caisse. Ils font fi du tourisme !!
Quant à l' évaluation de l' Impact du centre équestre ... Je m' inquièterai à leur place. D' ailleurs ils doivent plus que s inquiéter...
https://reporterre.net/Eolien-lignes-haute-tension-des-eleveurs-desempares-face-a-leurs-troupeaux-malades
Monsieur le commissaire enquêteur vous ne pouvez que dire non
Cordialement
Christine Olijnyk
Je n' arrive plus à lire les pages de ces études indigestes où la grand messe est dite. Et quelle grand messe !!
Au détriment de la faune, de la flore, des humains de nos paysages.
Nous ne sommes pas dupes les mesures ERC ne sont là que pour donner bonne conscience, à qui au fait ? À l' état ? Au promoteur ? Un oiseau, une chauve-souris morte on ne peut pas les remplacer.
Qui peut croire encore à ces aérogénérateurs monstrueux qui défigurent nos campagnes.
Qui plus est à côté du château de la Crête, monument historique. Quand on connaît les contraintes imposées à ces monuments , comment se fait il que des élus se permettent d' avoir un tel projet. ABERRANT !! Ils ne pensent qu aux rentrées d argent dans leur propre caisse. Ils font fi du tourisme !!
Quant à l' évaluation de l' Impact du centre équestre ... Je m' inquièterai à leur place. D' ailleurs ils doivent plus que s inquiéter...
https://reporterre.net/Eolien-lignes-haute-tension-des-eleveurs-desempares-face-a-leurs-troupeaux-malades
Monsieur le commissaire enquêteur vous ne pouvez que dire non
Cordialement
Christine Olijnyk
Contribution n°161 (Web)
Par Flore Monnier
Déposée le 1 mars 2025 à 10h47
Déposée le 1 mars 2025 à 10h47
Bonjour,
Je suis viscéralement contre ce projet éolien à Audes, situé à la limite de Chazemais.
Je rejoins toutes les contributions mettant en avant les très nombreux effets négatifs que génèreront ces Mega moulins d’acier : le saccage du bocage et de toute sa biodiversité, du plus petit insecte au plus gros mammifère, de son paysage que l’on aime tant, de sa quiétude inégalable, mais aussi la dévaluation immobilière, la non prise en considération du patrimoine classé (Chateau de la Crète et église de Chazemais)… bref la non prise en compte de NOTRE cadre de vie.
Les rétributions annoncées, sous condition d’une utilisation maximale des éoliennes (ce qui n’est jamais le cas !), ne méritent pas de détruire ce coin de nature encore préservé et que l’on vante tant !
Messieurs les commissaires enquêteurs, un autre élément de taille n’a pas été tout à fait évoqué dans les précédentes contributions. Nous avons localement l’expérience de l’installation des éoliennes de Quinssaine en 2016.
Il est à noter - et j’espère que les élus locaux me liront - que les dégâts qu’occasionnent de tels projets sont bien réels !! Pour ces éoliennes, de nombreux riverains peuvent témoigner : les centaines d’engins ont détruit la route entre Quinssaine et Lamaids. Les dégâts ont été si considérables (route affaissée entraînant des détachements de plaques de bitume notamment) que la route a dû être refaite.
Pour le projet éolien d’Audes, il est annoncé à titre prévisionnel entre 529 à 727 camions camions nécessaires. La petite route de campagne reliant Chazemais à Audes ne pourra jamais supporter un tel rendement !! Imaginez le coût supplémentaire à la fin des travaux pour la refaire : encore un coût que devrait supporter tous les contribuables ! La municipalité d’Audes se fourvoie avec ce projet disproportionné… si elle n’a pas les moyens d’entretenir son centre-bourg, comment l’aura-t-elle pour financer une route ? Les subventions ne suffiront pas. Ses prises de décisions sont quand même très inquiétantes en termes d’attractivité, d’économies locales, de préservation de l’environnement et d’image !
Tous ces constats montrent bien que le projet d’implantation d’un parc éolien à Audes n’est pas du tout réalisable, ni cohérent, ni souhaité par le plus grand nombre.
Je vous remercie d’avance de faire un éclairage du projet à Monsieur le Préfet, en pleine conscience.
Sincères salutations.
Je suis viscéralement contre ce projet éolien à Audes, situé à la limite de Chazemais.
Je rejoins toutes les contributions mettant en avant les très nombreux effets négatifs que génèreront ces Mega moulins d’acier : le saccage du bocage et de toute sa biodiversité, du plus petit insecte au plus gros mammifère, de son paysage que l’on aime tant, de sa quiétude inégalable, mais aussi la dévaluation immobilière, la non prise en considération du patrimoine classé (Chateau de la Crète et église de Chazemais)… bref la non prise en compte de NOTRE cadre de vie.
Les rétributions annoncées, sous condition d’une utilisation maximale des éoliennes (ce qui n’est jamais le cas !), ne méritent pas de détruire ce coin de nature encore préservé et que l’on vante tant !
Messieurs les commissaires enquêteurs, un autre élément de taille n’a pas été tout à fait évoqué dans les précédentes contributions. Nous avons localement l’expérience de l’installation des éoliennes de Quinssaine en 2016.
Il est à noter - et j’espère que les élus locaux me liront - que les dégâts qu’occasionnent de tels projets sont bien réels !! Pour ces éoliennes, de nombreux riverains peuvent témoigner : les centaines d’engins ont détruit la route entre Quinssaine et Lamaids. Les dégâts ont été si considérables (route affaissée entraînant des détachements de plaques de bitume notamment) que la route a dû être refaite.
Pour le projet éolien d’Audes, il est annoncé à titre prévisionnel entre 529 à 727 camions camions nécessaires. La petite route de campagne reliant Chazemais à Audes ne pourra jamais supporter un tel rendement !! Imaginez le coût supplémentaire à la fin des travaux pour la refaire : encore un coût que devrait supporter tous les contribuables ! La municipalité d’Audes se fourvoie avec ce projet disproportionné… si elle n’a pas les moyens d’entretenir son centre-bourg, comment l’aura-t-elle pour financer une route ? Les subventions ne suffiront pas. Ses prises de décisions sont quand même très inquiétantes en termes d’attractivité, d’économies locales, de préservation de l’environnement et d’image !
Tous ces constats montrent bien que le projet d’implantation d’un parc éolien à Audes n’est pas du tout réalisable, ni cohérent, ni souhaité par le plus grand nombre.
Je vous remercie d’avance de faire un éclairage du projet à Monsieur le Préfet, en pleine conscience.
Sincères salutations.
Contribution n°160 (Web)
Par Boutet De Azevedo Alexandra
Déposée le 28 février 2025 à 21h04
Déposée le 28 février 2025 à 21h04
Trop près des chevaux
Contribution n°159 (Web)
Anonyme
Déposée le 28 février 2025 à 17h28
Déposée le 28 février 2025 à 17h28
Je tenais à répondre à la contribution 158:
Les éoliennes n'empêcheront pas la présence de panneaux photovoltaïques.
Pour ma part je ne suis pas contre les éoliennes, et je ne suis pas réfractaire à tout.
Je pense juste qu'à un moment il faut faire les choses de façon raisonnée, et non "à tout prix".
L'implantation de ces éoliennes n'est pas judicieuse, car un Etablissement Recevant du Public est dans la zone de danger des éoliennes, qu'on le veuille ou non; et que détruire 2 entreprises touristiques dans nos régions rurales déjà fragiles, ça n'est pas très judicieux.
Et que détruire tout un secteur de flore et faune, et d'oiseaux, pour seulement 3 éoliennes, ça ne vaut pas le coup...
Et si avoir du courage, c'est céder à la tentation d'avoir de l'argent facile plutôt que de créer du dynamisme et de la cohésion dans les villages, alors bravo à ces courageux conseillers.
Les gens publient en anonyme par peur de ce que va penser le voisin... ça en dit long sur l'ambiance que créent l'émergence de tels projets dans les campagnes... à part les déchirer, ça n'apporte rien de bon... car on a peur des 2 côtés, autant chez les pour que chez ceux qui sont contre...
Pensez plutôt à tout l'argent que va coûter la rénovation des routes après le passage des 700 camions, et on verra si les 25000 € par an promis (juste promis, hein!) suffiront...
Qui va payer????
C'est pourquoi je dis NON à ce projet
Les éoliennes n'empêcheront pas la présence de panneaux photovoltaïques.
Pour ma part je ne suis pas contre les éoliennes, et je ne suis pas réfractaire à tout.
Je pense juste qu'à un moment il faut faire les choses de façon raisonnée, et non "à tout prix".
L'implantation de ces éoliennes n'est pas judicieuse, car un Etablissement Recevant du Public est dans la zone de danger des éoliennes, qu'on le veuille ou non; et que détruire 2 entreprises touristiques dans nos régions rurales déjà fragiles, ça n'est pas très judicieux.
Et que détruire tout un secteur de flore et faune, et d'oiseaux, pour seulement 3 éoliennes, ça ne vaut pas le coup...
Et si avoir du courage, c'est céder à la tentation d'avoir de l'argent facile plutôt que de créer du dynamisme et de la cohésion dans les villages, alors bravo à ces courageux conseillers.
Les gens publient en anonyme par peur de ce que va penser le voisin... ça en dit long sur l'ambiance que créent l'émergence de tels projets dans les campagnes... à part les déchirer, ça n'apporte rien de bon... car on a peur des 2 côtés, autant chez les pour que chez ceux qui sont contre...
Pensez plutôt à tout l'argent que va coûter la rénovation des routes après le passage des 700 camions, et on verra si les 25000 € par an promis (juste promis, hein!) suffiront...
Qui va payer????
C'est pourquoi je dis NON à ce projet
Apportez votre contribution à cette enquête publique :
Déposer une contribution