Contribution n°1164 (Web)
Anonyme
Déposée le 17 avril 2025 à 07h33
Déposée le 17 avril 2025 à 07h33
Oui au projet
30ans que Villard l'attend ....
Indispensable pour la suite, VITALE !!!
30ans que Villard l'attend ....
Indispensable pour la suite, VITALE !!!
Contribution n°1163 (Web)
Par DEBOUYS danny
Déposée le 17 avril 2025 à 07h06
Déposée le 17 avril 2025 à 07h06
Non à ce projet. Villard doit rester une station familiale. Il y beaucoup d'autres choses à faire avant de créer de l'habitat touristique.
Contribution n°1162 (Web)
Anonyme
Déposée le 17 avril 2025 à 07h06
Déposée le 17 avril 2025 à 07h06
Contre ce projet . Que Villard reste encore une station familiale . Respectons le parc naturel du Vercors !
Contribution n°1161 (Web)
Par Dagot François
Déposée le 16 avril 2025 à 22h41
Déposée le 16 avril 2025 à 22h41
Je dit non a ce projet
Il y a tellement d'autres choses à faire avant pour re-dinamiser l'activité touristique au balcons que faire un tel projet loin des standards d'un village convivial.
Il y a tellement d'autres choses à faire avant pour re-dinamiser l'activité touristique au balcons que faire un tel projet loin des standards d'un village convivial.
Contribution n°1160 (Web)
Anonyme
Déposée le 16 avril 2025 à 21h10
Déposée le 16 avril 2025 à 21h10
Je suis contre un projet qui n'a pas de sens par rapport à l'enneigement à venir dans les prochaines années. Le temps que cette construction voit le jour, nous serons déjà en 2030, 2050 n'est pas loin. A rappeler que la neige de culture est loin d 'être sur toutes les pistes du domaine ce qui limite les possibilités de ski du touriste quand il n'y aura plus de neige naturelle.
Le projet prévoit un minimum de 30 semaines d'ouverture/an sur 52 : est-ce cela des lits chauds ? Est-ce que les touristes vont venir quand il n y aura plus de neige l'hiver ? Oui ils viendront l'été, mais le reste de l'année. Oui pour aider à la rénovation des bâtiments existants et non pour en créer d'autres.
Transport en commun : savez vous qu'il devient difficile de trouver des chauffeurs de bus. Qui va conduire les navettes ?
Merci de conserver notre "air pur", en ne rajoutant pas un nouveau bâtiment.
Le projet prévoit un minimum de 30 semaines d'ouverture/an sur 52 : est-ce cela des lits chauds ? Est-ce que les touristes vont venir quand il n y aura plus de neige l'hiver ? Oui ils viendront l'été, mais le reste de l'année. Oui pour aider à la rénovation des bâtiments existants et non pour en créer d'autres.
Transport en commun : savez vous qu'il devient difficile de trouver des chauffeurs de bus. Qui va conduire les navettes ?
Merci de conserver notre "air pur", en ne rajoutant pas un nouveau bâtiment.
Contribution n°1159 (Web)
Par RENAUD Sébastien
Déposée le 16 avril 2025 à 21h03
Déposée le 16 avril 2025 à 21h03
Bonjour,
Je suis favorable au projet décrit.
Cordialement,
Je suis favorable au projet décrit.
Cordialement,
Contribution n°1158 (Web)
Anonyme
Déposée le 16 avril 2025 à 20h48
Déposée le 16 avril 2025 à 20h48
Je suis contre ce projet
Contribution n°1157 (Web)
Anonyme
Déposée le 16 avril 2025 à 20h45
Déposée le 16 avril 2025 à 20h45
Je suis contre ce projet de construction qui ne va occasionner que des désagréments écologiques et économiques.
Contribution n°1156 (Web)
Par Vigier Stephane
Déposée le 16 avril 2025 à 20h36
Déposée le 16 avril 2025 à 20h36
Je suis opposé à ce projet qui aurait eu du sens économiquement il y a plus de 25 ans et à contre courant à l’ère du changement climatique.
Comment peut on imaginer un taux de remplissage suffisant pour un fonctionnement rentable de ce projet sur les 4 saisons? Un peu de réalisme pourrait éviter des bâtiments abandonnés ou non entretenus lorsque la neige touchera naturellement quelques jours par an le sommet de la Moucherolle et que la forêt ne sera pas celle d’aujourd’hui durant l’été!
Comment peut on imaginer un taux de remplissage suffisant pour un fonctionnement rentable de ce projet sur les 4 saisons? Un peu de réalisme pourrait éviter des bâtiments abandonnés ou non entretenus lorsque la neige touchera naturellement quelques jours par an le sommet de la Moucherolle et que la forêt ne sera pas celle d’aujourd’hui durant l’été!
Contribution n°1155 (Web)
Anonyme
Déposée le 16 avril 2025 à 20h06
Déposée le 16 avril 2025 à 20h06
Avis contre.
Notre territoire est actuellement doté d'une image : espace naturel de proximité (pour les urbains de Lyon et Grenoble), pratiques sportives familiales, à coûts acceptable, portées par le formidable développement du ski de fond moins consommateur de technologie et de finances que le ski de piste.
Notre territoire doit-il devenir un parc d'attractions pour investisseurs immobiliers ? une destination pour une clientèle à gros budget ? un espace de consommation - galeries marchandes ? un espace d'activités urbaines comme le basket, l'escalade en salle connectée, la piscine, le spa ?
Nous subirons les travaux, les chantiers gigantesques, le ballet des camions, des grues... aux portes d'une réserve naturelle ? Qui financera : les travaux de réparation des accès dégradés par la circulation de tous ces engins ? Le redimensionnement des infrastructures : assainissement, eau, gestion des divers déchets des chantiers ? et des déchets des futurs résidents ?
Comment l'impact sur les services publics a-t-il été évalué ? Les pompiers bénévoles, les secouristes, les services de santé, les services de police et gendarmerie devront absorber à effectifs constants la surpopulation du territoire ! Quel mépris pour celles et ceux qui prennent soin de nous toute l'année !
Les saisons intermédiaires permettent à la nature de se régénérer, aux travailleurs saisonniers et commerçants de se reposer, au territoire de respirer, de penser des projets, aux habitants de se retrouver ! L'objectif de saturer le territoire tout au long des saisons est totalement déconnecté de la réalité des cycles des espaces naturels, de la vie des entreprises, des familles et de l'activité économique bien articulée au calendrier scolaire. C'est un mirage qui plaît, un slogan marketing, une vision qui correspond à des graphiques et de ressources financières imaginées pour ne pas dire imaginaires !
Ce projet est immobilier et financier, et les promoteurs disparaîtront (comme d'autres avant eux) une fois la rentabilité acquise. Dès qu'ils auront tourné le dos se poseront les mêmes questions qu'actuellement sur les lits froids et les résidences en mal d'entretien, la vétusté des infrastructures.
Les familles vont déserter notre territoire qui perdra de son intérêt : coûts raisonnables, facilités d'accès, un territoire pour respirer, prendre l'air !
Jusqu'au jour où la clientèle française et étrangère attirée par des catalogues numériques saturés de belles photos d'espaces - vues "à couper le souffle" - se rendra compte de la supercherie - absence de grand domaine skiable, de glaciers et de neige - et désertera les résidences immobilières de ce projet pour d'autres destinations.
C'est à ce moment là que les habitants du territoire devront subir pour des années les inconséquences de cette autorisation d'Unité Touristique. Tous les auteurs de ce désastre seront loin !
Revenons à des projets ancrés dans le territoire et qui vont dans le sens de l'histoire et non pas à contre courant de toutes les évolutions dont celles du climat ! Sachons nous adapter et nous projeter intelligemment plutôt que céder aux sirènes de la finance !
Notre territoire est actuellement doté d'une image : espace naturel de proximité (pour les urbains de Lyon et Grenoble), pratiques sportives familiales, à coûts acceptable, portées par le formidable développement du ski de fond moins consommateur de technologie et de finances que le ski de piste.
Notre territoire doit-il devenir un parc d'attractions pour investisseurs immobiliers ? une destination pour une clientèle à gros budget ? un espace de consommation - galeries marchandes ? un espace d'activités urbaines comme le basket, l'escalade en salle connectée, la piscine, le spa ?
Nous subirons les travaux, les chantiers gigantesques, le ballet des camions, des grues... aux portes d'une réserve naturelle ? Qui financera : les travaux de réparation des accès dégradés par la circulation de tous ces engins ? Le redimensionnement des infrastructures : assainissement, eau, gestion des divers déchets des chantiers ? et des déchets des futurs résidents ?
Comment l'impact sur les services publics a-t-il été évalué ? Les pompiers bénévoles, les secouristes, les services de santé, les services de police et gendarmerie devront absorber à effectifs constants la surpopulation du territoire ! Quel mépris pour celles et ceux qui prennent soin de nous toute l'année !
Les saisons intermédiaires permettent à la nature de se régénérer, aux travailleurs saisonniers et commerçants de se reposer, au territoire de respirer, de penser des projets, aux habitants de se retrouver ! L'objectif de saturer le territoire tout au long des saisons est totalement déconnecté de la réalité des cycles des espaces naturels, de la vie des entreprises, des familles et de l'activité économique bien articulée au calendrier scolaire. C'est un mirage qui plaît, un slogan marketing, une vision qui correspond à des graphiques et de ressources financières imaginées pour ne pas dire imaginaires !
Ce projet est immobilier et financier, et les promoteurs disparaîtront (comme d'autres avant eux) une fois la rentabilité acquise. Dès qu'ils auront tourné le dos se poseront les mêmes questions qu'actuellement sur les lits froids et les résidences en mal d'entretien, la vétusté des infrastructures.
Les familles vont déserter notre territoire qui perdra de son intérêt : coûts raisonnables, facilités d'accès, un territoire pour respirer, prendre l'air !
Jusqu'au jour où la clientèle française et étrangère attirée par des catalogues numériques saturés de belles photos d'espaces - vues "à couper le souffle" - se rendra compte de la supercherie - absence de grand domaine skiable, de glaciers et de neige - et désertera les résidences immobilières de ce projet pour d'autres destinations.
C'est à ce moment là que les habitants du territoire devront subir pour des années les inconséquences de cette autorisation d'Unité Touristique. Tous les auteurs de ce désastre seront loin !
Revenons à des projets ancrés dans le territoire et qui vont dans le sens de l'histoire et non pas à contre courant de toutes les évolutions dont celles du climat ! Sachons nous adapter et nous projeter intelligemment plutôt que céder aux sirènes de la finance !
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