Contribution n°193 (Web)
Déposée le 16 juin 2024 à 16h25
merci
Contribution n°192 (Web)
Déposée le 16 juin 2024 à 16h19
Bien cordialement
Contribution n°191 (Web)
Déposée le 16 juin 2024 à 16h18
L’étude acoustique indique dans le paragraphe 3 « CONTEXTE REGLEMENTAIRE » page 7 : Application du projet de norme NFS 31-114
En page 10, l’étude détaille :
L’article 28 de l’arrêté du 26 août 2011 dispose :
« Lorsque des mesures sont effectuées pour vérifier le respect des présentes dispositions, elles sont effectuées selon les dispositions de la norme NF 31-114 dans sa version en vigueur six mois après la publication du présent arrêté ou à défaut selon les dispositions de la norme NFS 31-114 dans sa version de juillet 2011. »
Etant donné que le niveau de bruit résiduel varie de manière importante sur un intervalle de temps de 8 heures, il semble que le niveau de pression équivalent LAeq ne suffise pas à évaluer la gêne induite par le parc éolien sur le voisinage.
Il a été décidé de se rapporter au projet de norme NFS 31-114 et d’utiliser l’indice fractile L50 plus représentatif de la situation sonore du site.
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Tout au long de cette étude, il est ainsi fait référence à ce projet de norme NFS 31-114.
L’arrêté du 26 août 2011 qui impose son utilisation précise bien qu’il doit s’agir de sa version en vigueur, 6 mois après la publication de l’arrêté ou sa version de juillet 2011.
Or il s’agit bien d’un projet de norme qui n'a jamais abouti, et aucune norme NFS 31-114 n'a jamais été publiée ni rendue opposable.
Le groupe d'experts de l'AFNOR qui était en charge de son élaboration a été dissout en 2017, et le projet a été abandonné.
Les études acoustiques sont ainsi réalisées sur la base d'un texte « dont le contenu technique, insuffisamment cadré, offre une grande latitude d’application » selon le ministère de la transition écologique.
L’étude acoustique est de ce fait irrecevable.
En France nous disposons de la norme NFS 31-010 « caractérisation et mesurage des bruits de l’environnement ». Sa révision sera homologuée à l’automne 2024, et elle comportera tout ce qui est nécessaire pour parfaitement caractériser et mesurer les bruits de l’environnement y compris le bruit éolien.
Dans l’attente de cette révision, l’étude doit se référer au Code de la Santé publique pour une parfaite protection de la santé de l’homme et la tranquillité du voisinage, afin de qualifier l’incidence du bruit de l’environnement de manière non discriminatoire selon la nature du bruit : installations classées, éolien, autres sources.
La stricte application du cadre règlementaire permettra peut-être d’éviter des situations dans lesquelles la justice a tranché, après des années de luttes et de souffrances, en faveur des riverains victimes de ces nuisances sonores.
Voir le rapport de l’académie de médecine : « Le retentissement des éoliennes sur la santé de l’homme »
Voir Cour d'appel de Toulouse, 3e ch, 8 juillet 2021, n° 20-01384
Voir Cour d'appel de Rennes - 1ere Chambre 12 mars 2024 / n° 17/03596
Voir la situation du village d’Echauffour : www.echauffour-environnement.fr
Sur la base de ces éléments, je m’oppose à ce projet d’installation d’éoliennes qui n’est pas en mesure de démontrer qu’il respectera bien les conditions permettant de préserver la tranquillité et la santé des riverains.
Contribution n°190 (Web)
Déposée le 16 juin 2024 à 16h14
Contribution n°189 (Web)
Déposée le 16 juin 2024 à 15h37
Contribution n°188 (Web)
Déposée le 16 juin 2024 à 15h36
J'ai lu, avec beaucoup d'attention les documents distribués par les anti-éoliennes, et n'y vois aucune "aberrations" !
Bien au contraire.
Nous avons besoin de varier les modes de production d'électricité.
Pour répondre aux anti-éoliennes, j'aimerais donner mon avis sur quelques points :
• "Destruction de l'environnement" : Que reste t'il a détruire, en implantant une éolienne sur des terres cultivées en agriculture intensive ? Tout est déjà fait !
• "Bétonnage" : L'emprise d'un mât n'est que de quelques mètres carrés.
• "Scandale écologique" : Les nappes phréatiques sont déjà impropre à l'utilisation, tant elles sont saturées de pesticides . . .
• "Nuisances sonores" : C'est en effet un point qui pose problème. Habitué a pratiquer des activités de plein air en sud Deux-Sèvres, dans un secteur ou sont implantés une grande quantités d'éoliennes, j'atteste que les bruits (particulièrement prégnants) sont ressentis bien au-delà d'un kilomètre !
• "Nuisances visuelles" : Oupps ! Quels pourraient être une nuisance visuelle, dans un paysage D'Openfield aussi laid que la plaine D'Aunis ? Qui, pour moi, n'est beau, que les jours de brouillard . . .
• "Impact sur les factures d'électricité" : sans commentaires
• "Financement opaque" : Oh ! Certains parrains de la drogue seraient ils en passe d'investir dans le vent ?
• "Impact immobilier" : Oui, possible que ces mâts puissent faire baisser le prix de nos résidences de quelques centaines d'euro. Mais, au niveau ou en sont arrivés les prix de l'immobilier, ce serait peut-être une aubaine pour pouvoir loger nos enfants et les travailleurs qui cherchent désespérément à se loger dans la banlieue Rochelaise . . .
Contribution n°187 (Web)
Déposée le 16 juin 2024 à 15h33
Cette construction de parc éolien va à l'encontre de l'environnement ( impact sur la faune et la flore ) , c'est une aberration écologique avec un fort risque de grave pollution dans la zone de captage d'eau.
Cela génèrera des nuisances sonores ( dangerosité avérée sur les animaux avec les infrasons) et visuelles .
Le bétonnage du parc réduit la surface de terres cultivables .
Contribution n°186 (Web)
Déposée le 16 juin 2024 à 14h32
Je suis donc totalement contre.
Contribution n°185 (Web)
Déposée le 16 juin 2024 à 14h09
Contribution n°184 (Web)
Déposée le 16 juin 2024 à 13h25
Pourquoi abimer notre bel environnement ?
Avec cette implantation d'éoliennes, notre commune si agréable et paisible, va connaître :
- une pollution sonore
- une pollution visuelle
- une pollution des sols
- un impact sur la santé humaine des résidents (voies respiratoires) dû à l'abrasion des pales
Que cherchent les pouvoirs publics ?
A qui profite ce projet ? Si ce n'est à une holding dont les bénéfices sortiront du territoire français !
Pour conclure, nous ne voyons aucun avantage pour les Aigrefeuillais.
Donc, nous ne pouvons que nous opposer à ce projet.
M et JL TARLE
Aigrefeuille d'Aunis