Les contributions

Contribution n°3 (Web)

Par mangin jean claude
Déposée le 27 juin 2024 à 17h16
Le 02 05 2016 l'Association de Défense de Dourd'hal Dahlenadorf a été inscrite au Registre des Associations.
Le quartier Dourd'hal [...]
Le 02 05 2016 l'Association de Défense de Dourd'hal Dahlenadorf a été inscrite au Registre des Associations.
Le quartier Dourd'hal a subi des inondations en octobre 1981, novembre 2013, juillet 2014, février et juin 2016, janvier et juin 2018 et en mai 2024.
Les inondations les plus importantes ont eu lieu en 1981, le 9 février 2016 et maintenant le 17 mai 2024.
L'ADDD a depuis sa création interpelé la municipalité de Saint-Avold sur les mesures à prendre pour résoudre le problème des inondations récurrentes. La municipalité et Energis ont commandé des études à Artélia....
Malgré les promesses de bassins de rétention d'eau rien n'a été entrepris .
Les problèmes semblent connus ; sous-dimension de la canalisation d'eaux usées et pluviales, urbanisation non maîtrisée, entretien aléatoire des fossés et bouches d'égout.
Aujourd'hui la répartition des compétences entre la Mairie et la Casas semble claire, ce qui n'a pas été le cas jusque là.
Nous avons l'impression que la volonté de la municipalité existe de trouver des solutions pour résoudre ce problème et finalement entreprendre des travaux.
L'ADDD veut être associée aux décisions qui vont être prises, car les habitants du quartier connaissent la problématique et veulent avoir la certitude que les solutions envisagées correspondent aux problèmes.
Salutations

Contribution n°2 (Courrier)

Par Monsieur PETITJEAN Laurent
Déposée le 18 juin 2024 à 08h33
Enquête assainissement CASAS

Nous nous sommes rendus le 17 juin à 14h30 aux bureaux de la CASAS à Saint-Avold pour participer à l’enquête [...]
Enquête assainissement CASAS

Nous nous sommes rendus le 17 juin à 14h30 aux bureaux de la CASAS à Saint-Avold pour participer à l’enquête publique relative au zonage des eaux pluviales.
Nous avons rencontré le commissaire enquêteur qui nous a d’abord expliqué le cadre de sa mission.
C’est là que nous avons compris que le périmètre de l’enquête se limitait au ruissellement et que l’assainissement n’était pas concerné.
Nous en avons été étonnés car, lors d’une réunion d’information organisée par la mairie il y a quelques mois, il nous avait été expliqué qu’il y avait un partage des compétences, la CASAS s’occupant de l’assainissement et la commune du ruissellement.
Que l’ensemble relève finalement de la CASAS nous parait cependant logique, les deux étant étroitement liés. Même si des actions sont entreprises pour limiter le ruissellement, que faire du résiduel si l’assainissement n’est pas en mesure de le prendre en charge ?

C’est un problème que nous connaissons bien à Dourd’hal, village considéré comme inondable par la CASAS car situé dans une vallée.
C’est une vérité indiscutable que le lieu se situe dans une vallée et qu’il s’y étire sur toute sa longueur, en légère pente de son point extrême jusqu’à son entrée/ sortie (Dourd’hal est une impasse et on reprend, pour en sortir, la route déjà prise pour y aller).
Un point étonnant à noter : lorsque le village est inondé suite à de fortes pluies, c’est le haut du village qui est sous l’eau alors que le bas est préservé, défiant les règles traditionnelles des circuits aquatiques.
L’endroit exact du « partage des eaux » est connu ; il se fait là où les différentes canalisations des différentes rues se rejoignent pour couler dans un seul tuyau visiblement sous-dimensionné.
Il y a saturation et création de bouchon : toutes les tuyaux d’évacuation en amont se heurtent à un barrage d’eau et évacuent leur trop-plein par les différentes buses situées sur leur parcours.
Le haut du village se retrouve en quelque sorte pris en otage entre l’eau qui, après saturation des sols, descend des différentes pentes, ruisseaux réactivée, chemins et l’impossibilité de l’évacuer.
Les buses se soulèvent, les tuyaux débordent et l’eau envahit les routes, les maisons, les caves, les jardins, … Inutile d’installer des pompes ou de chercher à ralentir la montée des eaux tant qu’il pleut et que l’eau de ruissellement se déverse sans pouvoir être évacuée.
A noter que ces problèmes touchent des endroits bien connus (rue de la forêt, rue des cerises, une partie bien précise de la rue principale située entre Bonne ruelle et l’église, le long de l’ancien ruisseau canalisé).

La canalisation de ce ruisseau qui avait été appréciée à l’époque (l’ancien ruisseau servait de tout-à-l’égout) est à l’origine de ces désagréments. Depuis longtemps, chacun sait que le dimensionnement des tuyaux utilisés était insuffisant ; des travaux avaient d’ailleurs été réalisés assez rapidement pour que le bas du village soit mis à l’abri. Mais le problème est resté entier pour le haut.
Il s’est même aggravé lorsque la commune a choisi de transformer l’ancien terrain de la ferme Peupion en lotissement. Ce grand terrain a été imperméabilisé et l’évacuation de ses eaux usées et de pluie rajoutées à un endroit déjà sous-dimensionnée.
Ce lotissement a également créé une digue artificielle qui, aujourd’hui, aggrave encore plus l’inondation des terrains situés en amont par rapport à lui ; un barrage a ainsi été créé pour retenir les eaux de ruissellement.

Nous joignons quelques photos pour illustrer les dégâts causés par l’eau à Dourd’hal.
Nous insistons sur le fait que c’est le ruissellement impossible à évacuer qui en est à l’origine mais que le problème est double et que l’évacuation a une part de responsabilité.
Un plan figurant dans une étude effectuée pour le compte d’Energis montre bien cette digue artificielle créée par le lotissement.

Notre attente :
Que le ruissellement soit freiné.
Peut-être faut-il modifier le mode d’exploitation de certains champs ? Mais la solution ne peut pas uniquement être là. De l’eau envahit également la rue de la forêt, en bonne ruelle et le sens de culture n’y est pour rien.
Des techniciens sont certainement en capacité de dire si des retenues d’eau peuvent aider à maîtriser les flux. Des projets avaient été évoqués pour des retenues en bout de rue de la forêt et en haut de la rue de Laudrefang.
Nous savons cependant d’expérience que la partie assainissement doit également être traitée : si l’objectif est de traiter totalement le problème, comment éviter un chantier de dimensionnement correct des tuyaux ? Comment éviter une naturalisation partielle de l’ancien ruisseau ?
Pour nous, il est indispensable de permettre à l’eau d’arriver à la sortie du village. Il y a ensuite, à gauche de la route en direction de Saint-Avold, un immense espace qui correspond à l’ancien étang du Rederbach ; il serait, si nécessaire, en capacité de retenir lui aussi beaucoup d’eau pour éviter son arrivée massive dans le quartier de l’Agora.

Un dernier point : ces problèmes de saturation de tuyaux ont eu une autre conséquence, également pénalisante pour les habitants de Dourd’hal. Le village est considéré par les autorités, mais sans qu’aucune décision officielle ne le confirme, comme une zone inondable, donc inconstructible. Les terrains annoncés comme constructibles dans le PLU ne le sont plus et perdent toute valeur. Cet état rejaillit également sur les maisons qu’il n’est plus possible de modifier ; ainsi c’est tout le marché immobilier de Dourd’hal qui se retrouve otage de ces problèmes d’assainissement et de ruissellement.
Il nous paraitrait logique qu’une information officielle figure sur les sites Casas et Ville de Saint-Avold sur ce statut de « zone inondable », l’avis négatif systématique du service assainissement de la Casas entrainant un refus tout aussi systématique de la mairie.

Ce dossier mériterait bien plus de développement de notre part ; nous restons donc à votre disposition pour apporter toutes les informations complémentaires qui vous paraitraient utiles.


Pour information également : il existe à Dourd’hal une Association de Défense de Dourd’hal créée il y a de nombreuses années suite aux problèmes d’inondation et de saturation des réseaux. Nous avons été informés qu’une réunion était organisée par ses soins le 2 juillet à 18h30 au foyer Sylvain Becker.

Laurent PETITJEAN 49 rue Principale Dourd’hal 57500 Saint-Avold, sinistré dans une maison sise 1 rue des Cerises (remontée d’eau des canalisations).
Jean-Marie EGLOFF 44 rur Principale Dourd’hal 57500 Saint-Avold, sinistré beaucoup plus gravement car maison située près de l’ancien ruisseau canalisé et en prolongement de la rue de la forêt.
i de prendre en compte les éléments en pièce jointe.

Contribution n°1 (Courrier)

Par Madame JOUBERT TIRONI Michèle
Déposée le 17 juin 2024 à 16h15
Merci de prendre en compte les éléments en pièce jointe.

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