Les contributions

Contribution n°145 (Web)

Par Richard yoann
Déposée le 26 septembre 2024 à 22h15
Je suis favorable à l extension de la sablière GSM, tout d'abord pour la pérennité de mon entreprise qui a besoin de ces matériaux [...]
Je suis favorable à l extension de la sablière GSM, tout d'abord pour la pérennité de mon entreprise qui a besoin de ces matériaux et aussi pour le développement de la commune ou je suis né et où j habite.

Contribution n°144 (Web)

Par Jean-Jacques
Déposée le 26 septembre 2024 à 18h56
Monsieur le Commissaire enquêteur,

Il est étonnant de constater, dans la description du projet de GSM ( 3_2_GSM_DDAE_PG_V3 DESCRIPTION [...]
Monsieur le Commissaire enquêteur,

Il est étonnant de constater, dans la description du projet de GSM ( 3_2_GSM_DDAE_PG_V3 DESCRIPTION DE PROJET), que dès la treizième page de la demande, c’est-à-dire en fait, dès la deuxième page du document (1), il est étonnant de constater donc que le pétitionnaire débute directement sa présentation par « L’accueil sur son site de déchets inertes ». Déchets, qu’il ne qualifie d’ailleurs pas de déchets inertes, mais de « matériaux terreux inertes ».
De quoi s’agit-il, d’ailleurs ? Je n’ai pas trouvé sur internet ce terme de « Matériaux terreux inertes », notamment dans les nomenclatures des organismes de la filière pour la gestion des déchets, comme Valobat ou Cerema (établissement public relevant de l’État : https://www.cerema.fr/fr/actualites/territoires-acteurs-economie-circulaire-dechets-inertes). Cela serait-il une petite manipulation sémantique, justifiée par le terme « agriculture », employé dans la même phrase pour ne pas effrayer les habitants ou pour éviter de parler d’entrée de jeu de « Déchets inertes » ?
Trois lignes plus bas, on monte légèrement en puissance, en utilisant le terme de « matériaux inertes ». Le mot « terreux » a donc disparu, mais là, il s'agit de valorisation », alors, pourquoi s'inquiéter ?
Suit une démonstration chiffrée d'un essai sur le besoin local d'enfouissement de ces matériaux, essai dont le pétitionnaire assure avec enthousiasme que cela permettrait « aux différents acteurs économiques de repérer un nouvel exutoire dûment autorisé. »
Bref, mon propos n’était pas de rentrer dans ces terminologies tordues que l’on pourrait qualifier de « propos du bout des lèvres » vu le gigantisme du projet, mais bien de m’étonner que GSM s’embarque, dès le début de la présentation de son projet d’extension pour l’extraction de sable, d’un paragraphe entier sur l’enfouissement de déchets inertes. Un peu comme si l’entreprise GSM ne demandait pas une extension pour exploiter du sable mais... pour enfouir ces fameux déchets !
J’ai un peu rechercher, encore une fois sur internet, et il est très difficile de trouver les barèmes du marché du déchet inerte. Cela pourrait peut-être s'expliquer par le fait que ce genre de transaction se négocie de gré à gré et que le marché est très variable... Ce dont on se moque un peu mais qui motivera ma question en fin de contribution.
La seule mention que j’en ai trouvée, se trouve dans le livre, « Béton, enquête en sables mouvants », aux Presses de la Cité. Et encore, il s’agit d’un exemple situé en Suisse, mais malgré tout très édifiant puisqu’il confirme que les carriers ne communiquent pas sur les prix et que le système fonctionne en flux tendu avec le comblement des trous dont le sable a été extrait avec les déchets de la construction. Le prix affiché serait aux alentours de 30 € le m³. Le delta de revenus entre la Suisse et la France étant autour de 60 %, prenons un montant de 20 € le m³ en France.
Faisons simple : l’accueil de remblai prévu par GSM est entre 45 000 et 83 000 m³ par an. Compte tenu de la confiance que nous pouvons avoir dans ces carriers, disons, en moyenne de 60 000 m³ par an. Multiplions ces 60 000 m³ par 20 €...
Sans parler de ce que lui rapporte l’extraction du sable, GSM devrait donc engranger uniquement avec le remblaiement, largement plus d’un million d’euros de recettes par an.
Étant opposé à ce projet, vous l'aurez peut-être compris, je ne peux m'empêcher ici un certain cynisme que j'estime cependant très en deçà de celui des carriers. Ces messieurs-dames de l'industrie sablière ont donc en effet réussi à imposer aux élus, et donc aux habitants de ce territoire, l'exploitation d'une surface non-négligeable de leur commune, dont ils pillent la ressource naturelle, dont ils détruisent les bassins et écoulements d'eaux et dont ils polluent définitivement le sol profond avec des déchets pratiquement incontrôlés, tout cela pour engranger des millions et des millions d'euros de recettes. Bel exploit économique et franchement, difficile de rester bienveillant... mais essayons :
S'il était question de profiter de tous ces échanges autour de l'installation de cet industriel dans la commune pour réfléchir à un changement de modèle, selon moi, ce serait maintenant !
Et donc, je profiterais bien de cette enquête pour vous poser une question, Monsieur Lafage :
Quel est le montant moyen de gestion du déchet inerte ?
Une fourchette de prix serait déjà une bonne information.
Vous remerciant pour votre attention, et vous confirmant que je suis contre ce projet, je vous souhaite une bonne lecture.

(1) Si l’on exclut la page de garde (p. 1), celles des révisions et de la table des matières (p. 2,3 et 4), les deux pages de la liste des figures et tableaux (p. 5 et 6), celles des sigles et des contributeurs (p. 7 et 8), du préambule (p. 9), du contexte réglementaire (p. 10), et des étapes de la procédure (p. 11), qui sont en réalité des introductions au sujet, l'Objet de la demande proprement dit arrive donc à la deuxième page du document.

Contribution n°143 (Web)

Par Marie Claude
Déposée le 26 septembre 2024 à 16h38
Je suis comme mes proches contre ce projet d'extension d'exploitation de carrière.
La ressource de cette carrière n'est pas inépuisable.
As [...]
Je suis comme mes proches contre ce projet d'extension d'exploitation de carrière.
La ressource de cette carrière n'est pas inépuisable.
As t on besoin de façon urgente de sable venant de st Colomban ?
Non, ce qui est déjà extrait ne sert qu'à la production polluante de maraîchage, energivore en eau et de béton également néfaste pour l'environnement.
Ne serait il pas sage de temporiser, de trouver d'autres solutions....?
La seule urgence que nous voyons ici, est l'urgence des exploitants de carrières à faire plus de profit, U-n-i-que-ment cela.
Un voisin du site a déjà perdue une vente en cours, de sa maison. Les futurs acheteurs ont reculés face à toutes les nuisances qu'ils allaient encourir, et la quasi impossibilité de revente du bien.
Ils n'ont pas été long à comprendre que l'extension de la carrière était nuisible à leur projet. Je suis à votre disposition pour vous donner plus de détails.
Voilà, déjà un fait constaté qui d'emblée prouve que cette extension à déjà porté préjudice à des locaux.
Dites moi si l'intérêt de quelques riverains est moins important que l'intérêt des carriers ?
De nombreuses contributions contre ce projet sont très étayées, techniques, font suites à des recherches, des études sérieuse s...soyez sur qu'elles contrebalancent sans le moindre doute, le dossier technique des carriers.
Il me semblerait important d'avoir une prolongation de la durée de l'enquête publique.

Contribution n°142 (Web)

Par MARTIN Hélyane
Déposée le 26 septembre 2024 à 12h59
Monsieur le Commissaire Enquêteur,
Amis lecteurs de contributions,

Je lis les éléments suivants, concernant les espèces animales [...]
Monsieur le Commissaire Enquêteur,
Amis lecteurs de contributions,

Je lis les éléments suivants, concernant les espèces animales et végétales protégées recensées sur le site en demande d’extension : « Les causes de la régression de ces espèces sont essentiellement extérieures au projet et aux activités d’extraction en général ; elles sont aujourd’hui surtout à mettre en relation avec les pratiques agricoles et le développement de l’urbanisation. Ainsi, l’impact du projet sur ces espèces communes ou assez communes, indépendamment de leur niveau de menace, est, globalement, limité. » (p.161)
Plusieurs choses m’interpellent à cet endroit.

1/ « Les causes de la régression de ces espèces sont essentiellement extérieures au projet et aux activités d’extraction en général ; elles sont aujourd’hui surtout à mettre en relation avec les pratiques agricoles et le développement de l’urbanisation. »
=> L’activité des carrières étant directement liée à la demande de sable des maraîchers industriels et du secteur du BTP, l’impact même indirect des carrières ne peut pas être nié.

2/ « Ainsi, l’impact du projet sur ces espèces communes ou assez communes, indépendamment de leur niveau de menace, est, globalement, limité. »
Le problème n’est pas de savoir quel secteur fait plus de mal aux espèces pour pouvoir autoriser les secteurs qui sont moins impactants. La question est de savoir quel impact la carrière a sur ces espèces en difficulté, indépendamment de toute autre chose, car il est du devoir de chaque personne morale ou physique, de respecter les espèces, d’autant plus si elles sont protégées et/ou menacées.

3/ L’activité des carrières comprend : le raclage du sol et la mise en dépôt en merlons des terres superficielles, l’arrachage de haies et d’arbres, le creusement du sol sur plus de 10 mètres, l’abandon de plusieurs hectares de trous à leur nouvelle entité de plan d’eau, le remblaiement du reste des trous avec des matériaux venus d’ici et de là, le redéplacement des terres mises en dépôt en amont de l’extraction… Tout ceci, pour les espèces animales et végétales qui habitent ou transitent aujourd’hui sur ou autour du secteur, ne peut pas être sans impact sur elles. Et l’impact est loin d’être négligeable, il est majeur.

4/ Si les terres convoitées pour l’extension ont été classées en « terres agricoles pérennes » dans le dernier PLU, et si une mise en compatibilité du PLU s’impose pour autoriser cette extension, c’est bien qu’il y a un impact notable dans cette activité par rapport à la vie des sols de ces terrains aujourd’hui.

Pour ces trois points, je suis contre le projet d’extension de GSM et contre la modification du PLU au profit d’une destruction des terres agricoles pérennes.

Contribution n°141 (Web)

Anonyme
Déposée le 26 septembre 2024 à 12h42
Monsieur le Commissaire Enquêteur,
Je suis contre ce projet et la modification du PLU car je me sens étouffée par ce "toujours plus" [...]
Monsieur le Commissaire Enquêteur,
Je suis contre ce projet et la modification du PLU car je me sens étouffée par ce "toujours plus" et ce manque de réflexion sur l'économie du territoire. Pourquoi gaspiller du sable pour attirer le maraîchage industriel qui tue les sols et exporte à qui mieux mieux ?
Aussi, j'essaie de comprendre les tenants et les aboutissants du projet, notamment le programme de remblaiement des déchets inertes qui m'inquiète particulièrement.
J'ai lu, dans le guide des installations de stockage des déchets inertes conçu par Cerema (https://www.cerema.fr/system/files/documents/2019/07/guide_des_installations_de_stockage_de_dechets_inertes.pdf) : "Le maire ou son représentant est le garant du respect de la salubrité publique, de la santé et de l’environnement. Il doit être vigilant sur les impacts sanitaires et environnementaux potentiels des déchets dans les aménagements. Pour assurer ce rôle, le maire ou son représentant peut prendre en compte, dans le cadre de son instruction, la qualité des déchets entrants sur l’aménagement." Est-ce à dire que lorsqu'on trouvera des pollutions dues à ces remblaiements, c'est le maire de Saint Colomban en personne qui portera la responsabilité d'avoir accepté un projet permettant un remblaiement en eau (chose interdite dans les ISDI) ? Lorsqu'un autre maire le remplacera, est-ce que l'ancien maire sera passible de poursuites pour les manquements à son devoir ? Le maire (ou les élus) s'est-il déplacé une ou plusieurs fois pour "contrôler" inopinément la façon dont se font les remblais et la "qualité" des déchets admis ? Comme on sait très bien qu'il n'y a que trop peu de contrôles des autorités compétentes, on pourrait attendre que des élus se préoccupent un peu de la question, mais j'ai peine à croire qu'ils saisissent pleinement les risques encourus d'une telle entreprise...
D'avance, je vous remercie d'apporter une réponse à ces questions afin de clarifier tout cela.

Contribution n°140 (Web)

Par Annie Le Poulen
Déposée le 26 septembre 2024 à 09h59
Bonjour M. Lafage
Je lis dans les contributions , les questions posées par des professionnel-les du BTP et de la construction.
Iels [...]
Bonjour M. Lafage
Je lis dans les contributions , les questions posées par des professionnel-les du BTP et de la construction.
Iels se demandent comment iels pourront continuer à construire des maisons et des routes sans sable. C'est effectivement une question que nous posons depuis plus de 4 ans aux spécialistes de l'urbanisme , aux architectes , aux chercheurs ( nous pouvons aussi rencontrer les professionnels qui s'inquiètent) : des solutions existent déjà et d'autres émergent car.... dans tous les cas, il faudra trouvé une autre façon de construire. LE SABLE EST NON RENOUVELABLE ET LES GENERATIONS FUTURES DEVRONT FAIRE SANS OU AVEC PEU DE SABLE . Une des raisons de notre combat , outre le fait de protéger les terres agricoles , l'eau , l'air et le bien être des riverains est donc de SONNER L ALARME : comment LE SECTEUR DU BTP ET DU BATIMENT est-il prêt à changer peu à peu ses pratiques. IL A SA PART A FAIRE : demander aux écoles de former les maçons à d'autres techniques que le parpaing, demander une baisse de la TVA sur le bois et les matériaux renouvelables pour qu'une maison en paille et bois ne coute pas plus cher qu'une maison en béton.,
Je suis tout à fait disposer à en discuter avec les professionnel-les.
Si cette enquête publique permet, entre autre, de nouer un dialogue, ce sera toujours ça de gagner.
Cordialement
Annie LE POULEN

Contribution n°139 (Web)

Par collectif des riverains des sablières
Déposée le 25 septembre 2024 à 22h39
Impact sur la valeur de l’immobilier de proximité

Le collectif des riverains des sablières adresse une contribution en rapport avec [...]
Impact sur la valeur de l’immobilier de proximité

Le collectif des riverains des sablières adresse une contribution en rapport avec l’impact que l’extension de la sablière GSM aurait sur la valeur des biens immobiliers situés dans les hameaux voisins.

Le principal atout des hameaux voisins du projet d’extension de la sablière GSM réside dans le caractère rural du territoire où ils se situent. Or, ce caractère rural va très fortement être dégradé du fait de l’extension projetée. En conséquence, il n’est pas illogique de penser que cela va agir négativement sur l’attractivité du territoire et donc sur le marché des biens immobiliers de ce territoire.

Le collectif des riverains s’est donc adressé aux professionnels de l’immobilier afin d’évaluer cet impact. Le résultat montre une dépréciation qui oscille entre 5 et 20% dépendant du professionnel contacté et du bien évalué.

L’étude ne vise qu’à mettre en lumière une tendance générale observable sur le territoire. Elle n’est donc pas exhaustive dans la mesure où elle a été réalisée sur un petit échantillon de biens. Elle ne cherche pas non plus à déterminer les facteurs qui agissent plus ou moins fortement sur la valeur immobilière des biens. Elle a été réalisée durant l’été 2024 et s’est concentrée sur les hameaux situés à proximité du projet d’extension (Les Gardes, La Brosse Gaspaille, La Douve et le Marais Gâté - voir dans le document joint, les évaluations présentées qui pour certaines sont anonymes à la demande des propriétaires).

Compte tenu du résultat de cette étude, les riverains estiment que le projet de GSM va les impacter financièrement. La question est donc triple :
- Comment va être mesuré le réel impact financier du projet GSM sur l’immobilier de proximité ?
- Comment les riverains souhaitant rester sur le territoire seront dédommagés compte tenu de l’impact mesuré ?
- Comment les riverains souhaitant quitter le territoire seront-ils aidés pour se reloger à l’équivalent sur un autre territoire ?

Dans le dossier d’étude d’impact (voir X.2 Choix du site pour la réalisation du projet P235), GSM étaye le choix du site en présentant un impact modéré sur le critère « Proximité des riverains ». Nous estimons pour notre part que, du fait même du rapprochement des hameaux, cet impact est fort et non suffisamment réduit ou compensé du fait que le sujet de la valeur immobilière n’a pas été évalué. Du point de vue du collectif, le projet ne peut pas se faire sans que ce sujet soit traité de manière objective et impartiale.

Document joint


Contribution n°138 (Web)

Anonyme
Déposée le 25 septembre 2024 à 18h43
Monsieur, Madame,
ayant été informée des projets d'extension de la carrière GSM et de mise en compatibilité du PLU sur la commune [...]
Monsieur, Madame,
ayant été informée des projets d'extension de la carrière GSM et de mise en compatibilité du PLU sur la commune de St Colomban ( 44) je vous demande de ne pas donner suite à ce projet. Il semble que cette transformation aurait des répercussions désastreuses sur l'environnement et constituerait à terme une grave menace pour la bio diversité, provoquerait l'assèchement des nappes phréatiques, un changement de la qualité des sols, un changement de la qualité de l'air, sans compter les nuisances sonores, la transformation radicale du paysage et les dévaluations immobilières que cela pourrait entraîner .
Espérant que vous pourrez porter une attention vigilante à cette contribution, je vous prie, Madame, Monsieur, de recevoir l'expression de ma considération

Contribution n°137 (Web)

Anonyme
Déposée le 25 septembre 2024 à 16h15
Bonjour,
Je suis défavorable à ce projet d'extension dans l'espace et dans le temps, et à la révision du PLU pour permettre cela.
N'ayant [...]
Bonjour,
Je suis défavorable à ce projet d'extension dans l'espace et dans le temps, et à la révision du PLU pour permettre cela.
N'ayant aucune confiance dans les entreprises proteuses de ce type de projet (et à répétition en plus !), et lisant, à la page 144, un « en cas de pollution significative », je me demandais si on pourrait mettre un degré de pollution permettant de clarifier le « significative » ?
D'avance merci.

Contribution n°136 (Web)

Anonyme
Déposée le 25 septembre 2024 à 16h08
Je suis contre le renouvellement et l'extension de la carrière GSM qui favorise une agriculture conventionnelle industrielle. Quand [...]
Je suis contre le renouvellement et l'extension de la carrière GSM qui favorise une agriculture conventionnelle industrielle. Quand au secteur du bâtiment, l'apport en sable à bas coup ne le pousse pas à envisager d'autre mode de constructions.

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