Les contributions

Contribution n°126 (Web)

Anonyme
Déposée le 24 septembre 2024 à 11h45
Monsieur le Commissaire Enquêteur,
Je vous écris pour exprimer mon opposition à l'autorisation environnementale unique demandée par [...]
Monsieur le Commissaire Enquêteur,
Je vous écris pour exprimer mon opposition à l'autorisation environnementale unique demandée par la société GSM pour le renouvellement et l'extension de la carrière de la Grande Garde.
Comme le souligne la citation de Duperrex (2019), « l’usage des sédiments est la matrice de tout ce développement technique des humains que le verbe habiter implique » (Duperrex 2019, p.53). Cela rappelle que l’acte d'habiter est intrinsèquement lié à l’exploitation des ressources naturelles. Toutefois, ce lien ne doit pas nous conduire à un modèle extractiviste, qui, au nom du développement, détruit les bases mêmes sur lesquelles repose notre existence écologique.
L'extractivisme, en tant que pratique d'exploitation massive et intensive des ressources naturelles, repose sur une logique à court terme qui ignore les conséquences à long terme sur les écosystèmes et les communautés locales. Ce modèle, motivé par la recherche de profits immédiats, ne tient pas compte des impacts écologiques irréversibles, comme la dégradation des habitats, l’érosion des sols et l’effondrement de la biodiversité, ni des conséquences sociales. La carrière de la Grande Garde s'inscrit dans cette dynamique destructrice.
Comme l'a bien décrit le géographe William Jamieson (2020), « pour que l'urbanisation soit rentable, le sable doit être sous-évalué, avec des effets catastrophiques sur les écosystèmes des sites d'extraction » (Jamieson 2020, p.15). L’exploitation du sable, ressource rare et finie, alimente un modèle de développement urbain axé sur la suraccumulation, où la valeur marchande prime sur les écosystèmes. À Saint-Colomban, cette sous-évaluation fait du sable non plus un élément naturel intégral aux paysages qu'il façonne, mais un simple instrument de croissance économique spéculative, au service d’un marché immobilier effréné et d’un modèle agricole intensif.
Les effets de l’extraction du sable sont multiples : d’une part, elle dégrade gravement l’environnement local, avec des conséquences socio-environnementales sur les habitant.e.s, sur la faune et la flore, l’hydrologie des sols et la qualité des paysages. D’autre part, elle contribue à l'épuisement des ressources naturelles dans un contexte où la demande en matériaux de construction explose, notamment en raison de la croissance urbaine des métropoles comme Nantes. En favorisant cette exploitation sans limite, nous mettons en péril notre capacité à maintenir les écosystèmes qui nous nourrissent et nous protègent.
Pire encore, l’externalisation des coûts environnementaux, sciemment ignorée dans les projets d'urbanisation, est au cœur de cette dynamique extractiviste. Le sable, au lieu d’être valorisé pour son rôle écologique dans son milieu naturel, devient le support d’une économie déconnectée des réalités écologiques. Comme l’a bien dit Pena-Ruiz (2018), ce déplacement des conséquences négatives hors du champ de vision est la marque de fabrique du capitalisme.
Il est temps de changer de cap. Au lieu de continuer à accorder des autorisations qui prolongent ce modèle d'exploitation destructeur, pourquoi ne pas envisager de nouveaux récits et imaginaires ? Des récits qui honorent la valeur intrinsèque des ressources naturelles, qui protègent la biodiversité locale, et qui envisagent l'avenir au-delà d'une simple course à la croissance matérielle. Si le sable n'était pas retiré de son milieu pour nourrir l'urbanisation spéculative et l’agriculture intensive, que pourrait-il devenir ? Peut-être qu’il continuerait à dessiner des écosystèmes riches, à jouer son rôle dans le maintien de la stabilité des sols et des zones humides, à offrir un habitat aux espèces locales.
En conclusion, je vous invite à refuser l'autorisation environnementale demandée par GSM. Il est temps de penser autrement notre relation aux ressources naturelles, de sortir du cycle extractiviste qui détruit notre environnement et de bâtir des modèles de développement qui respectent les équilibres écologiques tout en garantissant un avenir soutenable pour les générations à venir.
Respectueusement,

Contribution n°125 (Web)

Anonyme
Déposée le 24 septembre 2024 à 11h34
Bonjour Monsieur le commissaire enquêteur,

Comment accorder du crédit au vote de la consultation :
- qui n'a concerné que la seule [...]
Bonjour Monsieur le commissaire enquêteur,

Comment accorder du crédit au vote de la consultation :
- qui n'a concerné que la seule commune de Saint-Colomban alors qu'on voit bien aujourd'hui que ce sont 7 communes qui sont impactées
- qui a fait l'objet d'une opération de lobying par des entreprises de démarchage, payées par les carriers et se recommandant de la mairie, qui sont allées sonner à chaque porte des 1200 logements de Saint-Colomban

Comment accorder du crédit au vote des élus municipaux, qui n'ont même pas pu s'exprimer librement lors de la consultation en particulier, alors que beaucoup étaient contre et qui n'ont pas pu avoir accès à une information contradictoire et indépendante des intérêts des carriers.

Comment accorder du crédit au vote du SCOT, complètement contraire à tous ses autres engagements et au cours duquel un maire et président de communauté de communes a clairement dit "on ne fait pas à un maire ce qu'on ne voudrait pas que l'on nous fasse", faisant clairement comprendre qu'il fallait rentrer dans le rang ! Voir les articles de presse à ce sujet.

Alors merci de ne pas utiliser le mot de démocratie quand à chaque moment elle aura été clairement bafouée.
Je suis bien entendu contre ce projet qui va complètement à l'encontre des engagement des élus de 2012 (approbation du PLU de St-Colomban), 2013 (approbation du SCOT et de ses Espaces Agricoles Pérennes), 2018 (vote du conseil municipal de Saint-Colomban)...Et septembre 2024 (vote des élus de Geneston, en particulier, commune la plus proche du site).

Contribution n°124 (Web)

Anonyme
Déposée le 24 septembre 2024 à 11h14
Bonjour Monsieur le Commissaire Enquêteur,

TROIS chiffres qui représente pour la population un intérêt certain pour que ce projet [...]
Bonjour Monsieur le Commissaire Enquêteur,

TROIS chiffres qui représente pour la population un intérêt certain pour que ce projet d'extension voit le jour.

Vote du 9 janvier 2022 : La consultation citoyenne a eu lieu à Saint Colomban 36,7% des inscrits sont venus jusqu'au bureau de vote. Le oui l'emporte à 54,37% et le non s'arrête à 45,63%.

Vote du 27 janvier: Les élus municipaux de Saint-Colomban, ont confirmé au sud de Nantes à 80 % (16 pour, 4 contre, 1 blanc, 1 abstention en vue de la modification du PLU (Plan local d’urbanisme) et du lancement de la procédure d’instruction des projets d’extensions des sablières GSM et Lafarge.

Vote du 14 septembre 2022 la cinquantaine d’élus du Pôle d’équilibre territorial et rural du Pays-de-Retz ont accepté (à 37 voix pour et 16 voix contre) la modification du schéma de cohérence territorial (Scot)

Donc pas besoins de paroles toute en éloquence et de textes très longs de certains contributeurs pour en conclure qu'il y a des besoins en sable tout simplement.

cordialement,

Contribution n°123 (Web)

Par Charles Périer
Déposée le 24 septembre 2024 à 11h11
Bonjour Monsieur le Commissaire Enquêteur,
je m'oppose à ce projet dans l'état actuel des choses car je souhaiterais des précisions [...]
Bonjour Monsieur le Commissaire Enquêteur,
je m'oppose à ce projet dans l'état actuel des choses car je souhaiterais des précisions sur le fait suivant:
Dans le tableau page 22 du résumé non technique de l’étude d’impact il est spécifié que 28 ,8 hA serait rendu en surface agricole.
Cependant on peut lire dans l’avis MRAE concernant le PLU que seulement 14Ha seront réaménagés en surface agricole.
Pourriez-vous faire préciser ce point par le porteur de projet ainsi que par la municipalité?
Je vous souhaite une bonne fin de journée
Cordialement
Charles Périer

Contribution n°122 (Web)

Anonyme
Déposée le 24 septembre 2024 à 11h04
Le chapitre II de l’étude d'impact présente les différents facteurs susceptibles d’être affectés par le projet, à savoir les milieux [...]
Le chapitre II de l’étude d'impact présente les différents facteurs susceptibles d’être affectés par le projet, à savoir les milieux physiques et naturels, le paysage, le patrimoine, ainsi que le cadre de vie et le milieu humain.

La synthèse des impacts relatifs au milieu humain, en particulier à la population, se résume ainsi : « la commune de St-Colomban compte 3386 habitants, majoritairement entre 30 et 60 ans. Le bourg principal de l’aire d’étude est Saint-Philbert-De-Grand-Lieu. Six établissements sensibles ont été recensés dans un rayon de 3 km autour du site (2 écoles, une maison de retraite et 3 zones de loisirs) »

Ces établissements sensibles (écoles, maison de retraite, terrains de sport) se situent sur la commune de Géneston. Il est donc surprenant que cette dernière n'ait pas participé à la consultation en janvier 2022, alors qu'elle est bien plus directement impactée que Saint-Colomban. En effet, la commune de Saint-Colomban s’étend jusqu’à 12 km de la carrière, et son bourg se trouve à 6 km du site concerné. La semaine dernière, le conseil municipal de Géneston a émis un avis défavorable concernant le dossier d’enquête publique.

Des études exhaustives sur la flore et la faune ont été menées, nous fournissant de nombreuses données chiffrées intéressantes. Cependant, il me semble qu'une « petite espèce » a été largement négligée : les riverains. Combien sont-ils ? Quelle est leur tranche d'âge ? Quelle est leur activité autour de la sablière ? Difficile à dire, car personne ne semble s'être intéressé à ces questions.

Tentons d’apporter quelques réponses, certes approximatives, mais réalistes. Dans les hameaux des Gardes, de la Brosse Gaspaille, de La Douve, du Marais Gaté, de la Métellerie et de Chotard, on peut estimer qu’il y a environ 80 foyers. En appliquant la moyenne de l’INSEE, soit 2,16 habitants par foyer, cela représente environ 173 personnes, dont la plus jeune a à peine quelques semaines, et les plus âgées ont plus de 80 ans.

Bien qu'il n’y ait pas d’établissements sensibles à 300 mètres du site de GSM – pas d’école, de crèche, d’EHPAD ou de terrains de sport –, ces villages abritent des bébés, des enfants, des parents, des aînés, des personnes malades, des sportifs, des jardiniers, des chasseurs… bref, toute une communauté vivante qu’il ne faudrait pas oublier.

Je m'oppose fermement à ce projet qui, depuis 20 ans, dégrade le cadre de vie des riverains, qui le dégradera encore plus les 20 prochaines années et qui ne s’arrêtera pas là.

Contribution n°121 (Web)

Par Rachel Pierres
Déposée le 24 septembre 2024 à 10h56
Bonjour Monsieur le commissaire enqêteur
Dans l'état actuel des connaissance et sauf à présenter des réponses claires et circonstanciés [...]
Bonjour Monsieur le commissaire enqêteur
Dans l'état actuel des connaissance et sauf à présenter des réponses claires et circonstanciés à mes questionnements ci dessous, je suis contre le projet d'extensions des carrières GSM et de la mise en conformité du PLU car:

Admettons, pour l'exercices que le sable soit indispensable, car tous les logements vacants sont occupés et qu'il n'existe plus aucune alternative que le béton, qu'il nous faille à tout prix du muguet bon marché le premier mai, que les tomates qui poussent sur sol stérilisé à grand renfort d'engrais nous les trouvions irrésistiblement meilleures... soit:

Le porteur de projet et la municipalité souhaite enfouir des déchets inertes pour remblayer le sable qui sera extrait de la carrière (100000 tonnes par an il me semble)
La carrière de sable est un gisement intimmement lié à la nappe phréatique dite des sables (voir étude HMUC qui soit dit en passant est en cours de rédaction...mais dont les conclusions qui nous aurait intéressé ne seront rendu qu'en début d'année 2025)

A l’échelle du globe, 97% de l’eau douce liquide est stockée dans des aquifères souterrains.
25% de la consommation d’eau pour l’agriculture et 50% des prélèvements d’eau domestiques proviennent de ces sources.

Sur le territoire de Grand lieu, l’agriculture consomme quasi 100% des prélèvements car l’eau potable distribuée par la SAUR est prélevée à basse goulaine.

La très grande majorité des aquifères prennent la forme de couches plus ou moins poreuses, retenant l’eau dans leurs interstices.
En plaine, les rivières et fleuves sont généralement connectés à des nappes souterraines, appelées nappes alluviales. En effet, le lit du cours d’eau est généralement composé d’alluvions perméables (sable, graviers…) agissant comme une éponge.
Ici le ruisseau du Redour, de la Mandironnière, le lac de grand lieu…

En période d’étiage (c’est-à-dire lorsque le débit est faible), l’eau contenue dans la nappe remonte et permet de maintenir un débit minimal. Cependant, si la nappe vient à être exploitée de façon excessive, elle perd son rôle de régulateur et le cours d’eau s’assèchera beaucoup plus rapidement. Les écosystèmes et les activités humaines (irrigation) s’en retrouveront fortement impactés.
Pour notre cas nous avons une plus grande surface d’eau au contact de l’atmosphère, induisant une plus grande évaporation. Cette évaporation retombera sous forme de pluie portée par les vents dominants, probablement plus à l’est de notre territoire.
Si ce sable extrait qui joue actuellement le rôle de filtre et de couche poreuse est remplacé par des matériaux dit inertes, comment peut on estimer que la granulométrie pourra permettre de jouer un rôle comparable à celui du sable extrait.
Comment le porteur de projet peut il se porter garant que les déchets (pour lequel il recevra une rémunération pour valorisation ) qui seront déposer pour remplacer le précieux sable n’engendreront pas un colmatage de certaines zones de part leur granulométrie variable et à défaut de tout contrôle impartial?
Comment peut on s'assurer que les déchets dits inertes ne seront pas à l'origine de pollution du Lac de Grand lieu?
L'avis de l'ARS fait état d'analyse mensuel à poursuivre, pouvez vous faire en sorte que ces données soient libre et accessibles à tous , en mairie par exemple?
Merci pour l’attention que vous voudrez bien porté à ma question
Pouvez vous poser la question de l’évaluation de ces aspects au porteur de projet et à la municipalité ?

Contribution n°120 (Web)

Anonyme
Déposée le 24 septembre 2024 à 10h24
Monsieur le commissaire,
étant un habitant de Saint Colomban et proche d'une carrière de sable je me permets de vous donner mon avis [...]
Monsieur le commissaire,
étant un habitant de Saint Colomban et proche d'une carrière de sable je me permets de vous donner mon avis concernant ce projet d'extension. Je suis très choqué de voir que l'industrie carrier et agro alimentaire soit aussi dévastatrice de nos paysages, de la diversité écologique et de l'équilibre écologique qui existe autour de nos villages. dévastatrice qui va a une vitesse incontrôlée, l'impact de cette industrie est un rouleau compresseur inarrêtable et je le constate tous les jours autour de moi. je suis contre ce projet d'extension et portez notre parole pour que ce paysage et écosystème soit sauvé aux mains de ces industries sans scrupule. merci pour votre écoute et prise en compte.

Contribution n°119 (Web)

Par Sylvain Jallot
Déposée le 24 septembre 2024 à 09h46
Monsieur le Commissaire Enquêteur,

La conférence de Sylvain Grisot en juin dernier à Geneston, avait permis de prendre un peu de [...]
Monsieur le Commissaire Enquêteur,

La conférence de Sylvain Grisot en juin dernier à Geneston, avait permis de prendre un peu de recul historique et géographique sur notre situation actuelle. Changer radicalement de direction, en particulier en matière d’urbanisme, était le cœur de son message.
Est-il pour autant un « dangereux radicalisé » ? Je ne suis pas certain qu’il se définirait comme ça ! En tous cas il travaille depuis bien longtemps avec de multiples collectivités du département puisque c’est un urbaniste nantais, connaissant parfaitement la région.

Un petit schéma valant mieux qu’un long discours, celui que je joins à ce message est extrait de son dernier livre « redirection urbaine » (en vente dans toutes les bonnes librairies locales). En bonus, le petit texte est aussi fort intéressant, comme tout le livre d’ailleurs qui regorge d’exemples, à toutes les échelles. Ce qu’il exprime est aujourd’hui dans les têtes de beaucoup d’urbanistes, architectes, artisans ou élus.

Malheureusement, le projet exposé n’aborde à aucun moment cette vision dans la séquence bien connue « Eviter Réduire Compenser ». Comme on a pu le voir dans de multiples contributions c’est la compensation qui a été systématiquement abordée en sautant, comme à la marelle, au-dessus d’Eviter et de Réduire. Ah non, désolé !... Le dossier montre bien qu’on a évité d’aller sur certaines communes proches (voir étude d’impact, page 235) sur lequel le gisement de sable existe aussi bel et bien…Ouf pour elles !

Une maxime circule chez les carriers : « il suffit de comprendre les règles pour pouvoir les contourner » («Béton, la fin d’une ère» : épisode 5 page 107 Heidi.new : https://www.heidi.news/explorations/beton-la-fin-d-une-ere).
Alors quand le dernier grain de sable du nord de Saint-Colomban aura été extrait, les industriels se tourneront très probablement vers les communes voisines : « Evitées » aujourd’hui, demain elles seront à leur tour « Compensées ». Il est donc temps d’arrêter cette folie dès aujourd’hui, comme cela avait été promis il y a 25 ans !

Elu.e.s au conseil communautaire de Grand-Lieu, vous ferez un choix ce soir : il engage surtout les générations futures. C'est à elles que je vous propose de penser, avant toute autre considération : votez donc POUR leur avenir et prononcez vous en conséquence contre ce projet (comme je le suis bien sûr).

Document joint


Contribution n°118 (Web)

Par Charles Perier
Déposée le 24 septembre 2024 à 08h54
Bonjour Monsieur le Commissaire enquêteur,
Je suis contre le projet d'extension car
dans l’évaluation environnementale de mise en [...]
Bonjour Monsieur le Commissaire enquêteur,
Je suis contre le projet d'extension car
dans l’évaluation environnementale de mise en compatibilité du PLU il est indiqué que les mesures ERC permettent un maintien des zone humide limitrophe (p66 réf article 151-23) cependant l’évaluation de l’OFB doute de ce non-impact car ils considère que« l’alimentation de la zone humide est liée à l’affleurement de la nappe aquifère, ils s’interrogent donc sur l’impact des excavations ouvrant la veine d’eau à proximité immédiate indiquant que l’assèchement ou l’exondation de la zone humide pourrait être une conséquence de l’exploitation » point 2 de l’avis OFB 2023.
Est il possible pour la mairie et au porteur de projet d’apporter des précisions sur ce point ?
Je vous souhaite une bonne fin de journée
Cordialement
Charles Périer

Contribution n°117 (Web)

Par Claire Presher
Déposée le 24 septembre 2024 à 08h45
pour compléter ma précédente contribution:
..., une fois les déchets déposés, il n’est plus possible de dépollué le site si des contrôles [...]
pour compléter ma précédente contribution:
..., une fois les déchets déposés, il n’est plus possible de dépollué le site si des contrôles venaient à mettre en évidence la présence de polluants.
Le lac de grand lieu est un site Natura 2000, le plus ancien lac naturel français.
(je suis toujours contre l'extension)

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