Contribution n°473 (Web)
Déposée le 27 octobre 2024 à 23h42
Mes parents ayant habité à aimargues village ou la société royal canin à son usine je peux vous affirmer que ce genre généré obligatoirement une gêne olfactive pour les riverains d autant plus en ayant attribué un terrain à 400 mètres de la première habitation.
Question numéro 1 : quel ce procédé magique que veut nous ve'dre Nîmes métropole et Virbac que personne dans le monde entier ne connaît ?
Question numéro 2 : quel organisme indépendant assermenté par l état va cautionner se procédé ?
Question numéro 3 : Qui peut nous présenter des garantis sérieuse qu il n y aura pas de nuisances olfactives ?
Pour avoir connu Royal canin ou l olfactif est très présent dans le village d aimargues, pour connaître la cellulose à tarascon car les jours de vent du sud on la sent, je souhaiterai qu on me dise la vérité sans discours de bonnimenteur (politicien), nous sommes peut être des gens simple et on aspire à une simple vie paisible
Question numéro 4 : qu elle sont les autres terrain étudier ?
Le site de l ancienne base d oc via à til été étudié, les terrains à côté de la gare de Manduel à t il également mis à l étude, saint cezaire ou plusieurs entreprise sont partis ?
Il a été déclaré que la société va créer de l emploi pour ma part ce n est que de la pure spéculation, ils risque d embaucher uniquement des intérimaires si tout va bien car vu qu ils vont fermé leur usine la majorité des employés vo't suivre leur boîte
Question numéro 5 : quel quarantie avons nous sur les embauches et leur nombre ?
Nîmes métropole et Virbac ne peuvent pas répondre à cette question parce que il n e' sa et rien, l'étude RH n est pas faite et ils avancent des arguments qui n'ont aucun sens sans chiffre exact.
Sur le sujet de la pollution, cette entreprise va se servir dans la nappe phréatiques qui se trouve sous notre commune, qu elle garantie avons nous contre une éventuelle pollution du sol, quel garantie avons nous sur un éventuelle assèchement de la nappe ?
Au regard de la hauteur de leur cheminée cela va engendrer une pollution visuel de notre campagne.
Au regard du trafic routier cela va le densifier encore plus que ce ne qu il est. Cela va engendrer une pollution sonore importante 6 jours sur 7, cela va engendrer une pollution olfactive également gaz d échappement, cela va engendrer des risques routiers importants au regard du niveau de l infrastructure routière non adapté au flux des camions présent et à venir, une sortie d autoroute très petites, sans moyens sanitaire encore aujourd'hui 27 octobre 2024 en allant sur Nîmes j ai aperçu un chauffeur routier garer à moitié sur la route au niveau de lidl de Garons le pantalon baissé entrain de déféquer sur le bord de la route
Pourquoi ne pas effectuer une sortie d autoroute specifique au camions se rendant dans cette zone du côté de la sortie de secours 1 km avant la sortie d autoroute du village. Cependant
Qu advient il des Flots de camion qui descendent de Paris de Lyon et qui empruntent nos départementales pour venir jusque ici, sommes nous prêt à rajouter encore plus de véhicule lourd sur ses petits axes.
Question numéro 6 : qu elle société permet à ses co citoyens un telle spectacle, qu elle organisme comme Nîmes métropole permet ce genre d hatitude à la vue potentiel de mineur, de personne âgée, de personne tout cour, Nîmes métropole méprise tant que cela les habitants de Garons qui contribue par leur impôt au bien vivre à Nîmes.?
Question numéro 7 : Nîmes métropole a t il un soucis avec l écologie car ces derniers veulent plus d usine donc plus de camion mais sans aucune infrastructure pour les accueillir ni toilettes, ni poubelles ce qui a comme conséquence la pollution de la nature.
Comment peut on se prétendre civilisé et travaillant pour le peuple en tant que élue et faire de la vie d honnête contribuable un enfer, un enfer olfactif, un enfer visuel, un enfer auditif, un stress permanent de peur de perdre la vie à cause d une infrastructure routière inadapté au flux routier causé par les nombreuses société venu s implanté dans le site et en rajouter toujours plus.
Rendre la valeur de l immobilier de ce petit village dans lequel nous avons investit nos efforts et argents qui verra au regard des nuisances sa valeur immobilière chuter d environ 20 %
La société Virbac s engage t elle sur les propos Qu elle tient à savoir Qu il n'y aura pas d odeur telle que déclaré lors de la réunion public à la salle des fête du village ?
La société Virbac peut elle déclarer sous serment et par écrit que sa société ne fera pas comme la société royal canin à savoir Qu au regard du prix des filtres des cheminées hyper excessif elle ne va pas utilisé le système d évacuation d entretien qui depourvu de ce genre de filtre et qui gênere des odeurs très désagréable voir nauséabonde et que par consequent il n'y aura pas de tel agissement.
Un citoyen qui aspire à une seule chose vivre dans un village paisible sans nuisance de quelque nature que ce soit et surtout olfactive et polluante.
Je vous remercie d avoir pris de lire mes remarques.
Respectusement
Stéphane ESCARIO
Contribution n°472 (Web)
Déposée le 27 octobre 2024 à 22h26
Contribution n°471 (Web)
Déposée le 27 octobre 2024 à 22h23
à Virbac
Contribution n°470 (Web)
Déposée le 27 octobre 2024 à 21h39
J ai acheté mon terrain en 2023 sur GARONS, emménagée il y a peu. Je suis heureuse d apprendre que mon enfant va grandir dans les odeurs de croquettes et la pollution. Merci aux politiques pour leur sens de l anticipation et du dédain pour ma famille. Oui à l industrie, mais pas à 400 mètres d une ville.
Contribution n°469 (Web)
Déposée le 27 octobre 2024 à 20h59
Après analyse du dossier présenté par Virbac, nous nous alarmons sur deux points majeurs qui remettent en cause nos objectifs ainsi que l’intérêt commun des garonnais.
Le premier point concerne l’utilisation élevée des ressources hydrauliques décrite dans le dossier, jusqu’à 45000m3/an. Quel est le sens donné par Nîmes Métropole à l’implantation d’une telle industrie, forte consommatrice d’eau, dans une zone soumise à des périodes de sécheresse qui vont s’intensifier avec le changement climatique? De plus cet impact entre en conflit avec l’importante progression de la démographie garonnaise voulue par l’agglomération depuis plusieurs années. Virbac annonce l’utilisation d’un forage utilisé pour les périodes de sécheresse. Cette pratique est incompréhensible sachant que, nous autres, associations et particuliers, sommes soumis à des restrictions d’utilisation en période de sécheresse. Conscients de l’enjeu, nous nous y conformons dans l’intérêt commun. Pourquoi l’industriel ne répondrait-il pas aux mêmes exigences?
Le second point d’inquiétude concerne l’émission de nuisances olfactives confirmées par la société Virbac dans son étude d’impact. Celle-ci s’était pourtant engagée en 2023, lors de la réunion publique tenue à Garons, à limiter les nuisances olfactives de ses activités à moins d’1 UO (domaine de non perception olfactive). Or dans l’étude d’impact, leur modélisation annonce des résultats à 3 UO au percentile 99,5%, selon des scénarios de production donnés. Virbac a beau jeu d’annoncer des résultats jugés acceptables à 3 UO: nous rappelons que ces 3 UO n’existent pas aujourd’hui. Et Virbac annonce même qu’ils s’autorisent la possibilité de les dépasser (principe du percentile). De ce fait, ces résultats décrivent bien une dégradation de la qualité de l’air pour les garonnais. Par ailleurs, il est anormal que la différence de climat entre le site de référence situé à Yseure dans l’Allier et le site de Garons n’est pas été pris en compte dans les données d’entrée de la modélisation. Pourtant Virbac admet dans le dossier que les températures élevées sont un facteur aggravant dans la génération et la perception des nuisances olfactives. Quant on connaît les prévisions d’épisodes caniculaires amenés à s’intensifier dans notre région, il apparaît que les données d’entrée de cette modélisation sont critiquables et incomplètes. La modélisation et les résultats qui en découlent doivent impérativement être revus. Nous constatons avec colère que l’ensemble des foyers représentés par notre association se situe dans cette plume olfactive modélisée par Virbac. Nous ne pouvons nous résigner à l’accepter. A noter que cette plume touche principalement le village de Garons. Autant que le vent, la différence d’altimétrie entre la parcelle et village semble en être une des principales causes. Comment ont été dimensionnées les hauteurs des cheminées? Quel critère a retenu l’industriel: les contraintes liées à la proximité de l’aéroport ou la performance de la dispersion des nuisances olfactives?
Au final, comment interpréter ce revirement sur l’engagement à 1 UO qui ne leur posait aucun problème il y a un an? Comment avoir confiance en un industriel qui n’a jamais construit, exploiter ni gérer les nuisances d’une telle usine ? Il s’agit d’une expérimentation. Le bon sens et le principe de précaution veulent que ce type d’expérimentation se fasse à distance de riverains? Pourtant le choix du site retenu décrit dans le dossier n’intègre à aucun moment le critère aggravant de proximité des riverains pas plus que la production de nuisances propre à cette industrie? Il n’y est uniquement question que d’emplois et de proximité d’autoroutes. Enfin nous regrettons que le comité de surveillance des odeurs décrit exclue totalement les riverains. Il est évident que les habitants de Garons devraient y être intégrés. C’est d’autant plus incohérent que l’importance d’intégrer les riverains est soulignée dans l’annexe 10 (page 525). Pourquoi les effets sanitaires et psychologiques qui sont détailles dans ce même document ne sont jamais repris par Virbac dans l’étude d’impact?
En conclusion c’est donc bien une dégradation de la qualité de vie et une remise en cause du mode de vie extérieur des garonnais qui est annoncée par l’industriel. Le dossier présenté est incomplet et donne la nette impression que les garonnais en sont totalement absents.
Pour toutes ces raisons, notre association s’oppose au projet d’implantation de la société Virbac dans la ZAC MITRA.
Sébastien Vilpoix, Président de l'association ASL La Costière.
Contribution n°468 (Web)
Déposée le 27 octobre 2024 à 20h16
Je participe aujourd'hui à cette enquête publique afin de donner mon avis sur ce projet d'usine. Je suis contre cette implantation d'usine aux portes de la petite Camargue et à l'entrée du village de Garons. J'ai constaté la dégradation des alentours du village depuis quelques années et le trafic intense à l'échangeur de garons. Mes enfants vivent là depuis de nombreuses années et je déplore que les pouvoirs public imaginent l'installation d'une usine à fort potentiel polluant, s'installer aussi prés des habitations. Nous connaissons bien le village d'Aimargues et son usine de croquettes si dérangeante pour la vie de tout les jours et évidement que les odeurs seront une vraie nuisance pour les habitants de Garons.
En outre visiblement le problème de l'eau à été largement sous estimé par l'étude et je m'en inquiète.
Cette usine n'a rien à faire dans l'environnement immédiat d'une commune de plus de 5000 habitants, messieurs les commissaires enquêteurs je vous remercie de veiller à la sécurité sanitaire de ce village.
Contribution n°467 (Web)
Déposée le 27 octobre 2024 à 20h16
Diminution de la valeur immobilière
L’implantation d’une installation industrielle de cette ampleur entraînerait une perte de valeur immobilière estimée jusqu'à 20 % pour les biens résidentiels de Garons, selon les études d'experts indépendants. Ce risque est inacceptable pour les familles ayant investi dans leur résidence.
Perte d’emplois locaux
Des analyses d’économistes indiquent que ce projet pourrait engendrer une perte d'emplois locaux, notamment parmi les petites entreprises, en raison des coûts environnementaux et de la pression concurrentielle accrue.
Nuisances sonores
Le fonctionnement continu, jour et nuit, avec des activités telles que le broyage dépasserait les seuils légaux de bruit, approchant les niveaux en bordure d’autoroute. Ces nuisances seraient une atteinte directe et continue au bien-être des riverains.
Risque d’émissions de particules fines et d’odeurs
Malgré un circuit fermé pour le déchargement des matières premières, le risque d'émissions de particules fines et d’odeurs nauséabondes demeure, comme l’a souligné l’association "Garons sans Odeurs". De telles émanations seraient une pollution olfactive continue.
Pression sur les ressources en eau
La nappe phréatique de la Costière, déjà sous tension, serait davantage exploitée sans précision sur les volumes d’eau requis par l’usine, ce qui est inquiétant en période de sécheresse récurrente.
Défiguration du paysage
La construction d’un bâtiment de 150 mètres de long et 30 mètres de hauteur, ainsi que deux cheminées de 35 mètres, altérerait durablement le paysage de Garons, menaçant son attrait naturel et architectural.
Quelles mesures spécifiques d'intégration paysagère sont prévues pour atténuer l'impact visuel d’un bâtiment industriel de 150 mètres de long et de ses cheminées de 35 mètres, et sur quels critères techniques a reposé le choix de la hauteur et de l’emplacement ?
Face aux données préoccupantes et au manque de réponse de Nîmes Métropole, j'invite les autorités à considérer la protection de la qualité de vie, de l’environnement et du patrimoine de Garons en reconsidérant ce projet. Cette contribution mérite d’être inscrite au dossier de l’enquête publique pour refléter l’engagement des citoyens dans la défense de leur cadre de vie.
Contribution n°466 (Web)
Déposée le 27 octobre 2024 à 20h11
Comment les nuisances sonores vont-elles être réduites, sachant que l’usine fonctionnera 24h/24 ?
Contribution n°465 (Web)
Déposée le 27 octobre 2024 à 20h06
Conformément aux articles L110-1 et L111-1 du Code de l’urbanisme, toute implantation industrielle doit rechercher en priorité un équilibre entre le développement économique et la préservation de la qualité de vie des citoyens. Il serait donc pertinent d’envisager un site plus éloigné, permettant de réduire naturellement les nuisances , tout en répondant à ces exigences réglementaires.
Question pour la commission : Sur quelle base a été justifié l'emplacement actuel, alors qu'une localisation plus éloignée réduirait naturellement les nuisances et alignerait le projet avec les obligations de préservation de la santé publique et du cadre de vie ?
Contribution n°464 (Web)
Déposée le 27 octobre 2024 à 20h02
En tant qu’habitante de Garons depuis de nombreuses années, je suis profondément préoccupée par le projet d’installation d’une usine de croquettes si proche de notre village. Les nuisances potentielles de ce projet – les odeurs, les émissions dans l’air, et le bruit – pourraient détériorer la tranquillité et l’environnement que nous chérissons ici. En plus des nuisances olfactives et sonores, cette usine risque d’affecter la qualité de l’air, ce qui est particulièrement inquiétant pour la santé des plus âgés et des plus jeunes d’entre nous.
Par ailleurs, la consommation excessive d’eau qu’implique une telle installation est une autre source d’inquiétude, alors que notre région subit déjà des périodes de sécheresse et des restrictions d’eau. Ce projet pourrait mettre une pression supplémentaire sur nos ressources en eau, ce qui n’est ni viable ni responsable.
Pouvez-vous préciser la méthode employée pour estimer la consommation d’eau nécessaire, notamment durant les pics d’activité ? Comment assurez-vous la viabilité de cette consommation dans une région soumise à des restrictions hydriques fréquentes ? Des études indépendantes ont-elles validé ces projections, et comment seront-elles ajustées en cas de pénurie d'eau ?