Contribution n°378 (Web)
Par MARIE FRANCE
Déposée le 26 octobre 2024 à 11h37
Déposée le 26 octobre 2024 à 11h37
non à Virbac, non aux odeurs, non aux nuisances sonores
pas à cet endroit
pas à cet endroit
Contribution n°377 (Web)
Anonyme
Déposée le 26 octobre 2024 à 11h37
Déposée le 26 octobre 2024 à 11h37
Messieurs les commissaires enquêteurs,
Sur le simple volet eaux utilisés pour le processus de fabrication.
Je demande une attention particulière des services de l'état dans la mesure où Nîmes Métropole est décideur favorable à ce projet mais aussi parti prenante dans la gestion des eaux de son territoire.
En 2011 (hier à l'échelle de l'aménagement du territoire) le schéma directeur d'alimentation en eau potable de N.M fait état d'une situation déficitaire à l'horizon 2030 (demain) pour les communes de Bouillargues, GARONS, Manduel et Générac.
Le gros point noir de ce rapport porte donc sur le secteur d'implantation de VIRBAC malgré la prise en compte de l'amélioration du rendement jusqu'à 75 pour-cent à l'horizon 2030.
Le rapport dit "Les ressources actuelles sont d'ores et déjà fortement sollicitées. Elles sont : suffisantes pour satisfaire aux besoin en eau à l'horizon 2030 dans le cas de l'amélioration du rendement jusqu'à 75 pour-cent, cependant, ce bilan qui apparait positif à l'échelle de N.M
cache des disparités à l'échelle communale, suivant les sous services du territoire."
A l'échelle des communes et secteurs, le territoire de Garons est le plus déficitaire avec la commune de Bezouce.
* Je rappelle également que ces chiffres prennent bien en compte une projection d'amélioration des réseaux. (à vérifier que le chiffre de 75 pour-cent a été tenu)
* Qu'elle prend en compte la démographie à 6830 habitants à GARONS en 2030 (et 5600 à 2020)
* Qu'elle prend en compte l'augmentation en besoin en eaux pour la ZAC MITRA soit 14,7 mètres cube par jour et par habitant.
MAIS NE PREND PAS EN COMPTE : je cite toujours "calculs sur la base de surfaces des zones actuelles et des données de facturation associées pour les zones tertiaires et tertiaires mixtes. (activités tertiaires et entrepôts)
LES PROJECTIONS ONT DONC ÉTÉ ADMISES - dans un schéma favorable d'amélioration des réseaux - COMME NEGATIVES SUR LE TERRITOIRE DE GARONS et cela SANS PRISE EN COMPTE D'UNITÉS DE PRODUCTION FORTEMENT CONSOMMATRICE EN EAUX SUR LA ZAC MITRA. (puisque cette zone n'a pas été créée pour cette destination INDUSTRIELLE)
Précisons que ST GILLES dans les prévisions présente un excédant record de + 68 pour-cent à l'horizon 2030 mais que les eaux utilisées ne proviendront pas de ce bassin.
Serait il possible en parallèle aux enquêteurs de vérifier les restrictions ou remarques émises en 2007 pour la création de la ZAC MITRA à savoir si les industries n'y ont pas été écartées entre autres pour ce motif. (ressources en eaux, danger aéroportuaire et zones réservées à l'aéroport)
Serait il possible également d'apprécier "le camouflage" opéré en sollicitant 3 sources d'eaux différentes. BRL (comment rendre l'eau potable pour le procédé de fabrication), forage (amplifiant le déficit mais sans pouvoir être tenu directement responsable car intervenant en amont) et le réseau public.
Serait il possible de s'assurer que les cuves tampons en eaux n'aient pas double fonctions. Il peut être difficilement admis qu'elles servent pour pallier un manque en eau ou à des restrictions mais également pour la lutte contre l'incendie. On nous dira que le risque est minime mais il faut que cette ressource si elle est jugée utile pour l'extinction incendie, reste disponible à 100 pourcent.
L'industriel explique qu'il se tiendra à réduire sa consommation d'eau en fonction des alertes préfectorales. Encore un point sur lequel l'industriel sera le seul garant. Situation à laquelle il aura lui même fortement contribuée du fait de sa forte consommation.
CDLT
Sur le simple volet eaux utilisés pour le processus de fabrication.
Je demande une attention particulière des services de l'état dans la mesure où Nîmes Métropole est décideur favorable à ce projet mais aussi parti prenante dans la gestion des eaux de son territoire.
En 2011 (hier à l'échelle de l'aménagement du territoire) le schéma directeur d'alimentation en eau potable de N.M fait état d'une situation déficitaire à l'horizon 2030 (demain) pour les communes de Bouillargues, GARONS, Manduel et Générac.
Le gros point noir de ce rapport porte donc sur le secteur d'implantation de VIRBAC malgré la prise en compte de l'amélioration du rendement jusqu'à 75 pour-cent à l'horizon 2030.
Le rapport dit "Les ressources actuelles sont d'ores et déjà fortement sollicitées. Elles sont : suffisantes pour satisfaire aux besoin en eau à l'horizon 2030 dans le cas de l'amélioration du rendement jusqu'à 75 pour-cent, cependant, ce bilan qui apparait positif à l'échelle de N.M
cache des disparités à l'échelle communale, suivant les sous services du territoire."
A l'échelle des communes et secteurs, le territoire de Garons est le plus déficitaire avec la commune de Bezouce.
* Je rappelle également que ces chiffres prennent bien en compte une projection d'amélioration des réseaux. (à vérifier que le chiffre de 75 pour-cent a été tenu)
* Qu'elle prend en compte la démographie à 6830 habitants à GARONS en 2030 (et 5600 à 2020)
* Qu'elle prend en compte l'augmentation en besoin en eaux pour la ZAC MITRA soit 14,7 mètres cube par jour et par habitant.
MAIS NE PREND PAS EN COMPTE : je cite toujours "calculs sur la base de surfaces des zones actuelles et des données de facturation associées pour les zones tertiaires et tertiaires mixtes. (activités tertiaires et entrepôts)
LES PROJECTIONS ONT DONC ÉTÉ ADMISES - dans un schéma favorable d'amélioration des réseaux - COMME NEGATIVES SUR LE TERRITOIRE DE GARONS et cela SANS PRISE EN COMPTE D'UNITÉS DE PRODUCTION FORTEMENT CONSOMMATRICE EN EAUX SUR LA ZAC MITRA. (puisque cette zone n'a pas été créée pour cette destination INDUSTRIELLE)
Précisons que ST GILLES dans les prévisions présente un excédant record de + 68 pour-cent à l'horizon 2030 mais que les eaux utilisées ne proviendront pas de ce bassin.
Serait il possible en parallèle aux enquêteurs de vérifier les restrictions ou remarques émises en 2007 pour la création de la ZAC MITRA à savoir si les industries n'y ont pas été écartées entre autres pour ce motif. (ressources en eaux, danger aéroportuaire et zones réservées à l'aéroport)
Serait il possible également d'apprécier "le camouflage" opéré en sollicitant 3 sources d'eaux différentes. BRL (comment rendre l'eau potable pour le procédé de fabrication), forage (amplifiant le déficit mais sans pouvoir être tenu directement responsable car intervenant en amont) et le réseau public.
Serait il possible de s'assurer que les cuves tampons en eaux n'aient pas double fonctions. Il peut être difficilement admis qu'elles servent pour pallier un manque en eau ou à des restrictions mais également pour la lutte contre l'incendie. On nous dira que le risque est minime mais il faut que cette ressource si elle est jugée utile pour l'extinction incendie, reste disponible à 100 pourcent.
L'industriel explique qu'il se tiendra à réduire sa consommation d'eau en fonction des alertes préfectorales. Encore un point sur lequel l'industriel sera le seul garant. Situation à laquelle il aura lui même fortement contribuée du fait de sa forte consommation.
CDLT
Contribution n°376 (Web)
Par Emma
Déposée le 26 octobre 2024 à 11h29
Déposée le 26 octobre 2024 à 11h29
Non à virbac, nuisance sonore olfactive
Contribution n°375 (Web)
Anonyme
Déposée le 26 octobre 2024 à 11h06
Déposée le 26 octobre 2024 à 11h06
Je m'oppose à l'implantation de l'usine Virbac pour toutes les nuisances que ça va générer pour les garonnais !!
Contribution n°374 (Web)
Par Chimenti Thomas
Déposée le 26 octobre 2024 à 10h57
Déposée le 26 octobre 2024 à 10h57
À l’attention des autorités en charge de l’enquête publique,
Par la présente, je souhaite exprimer mon opposition formelle au projet d’installation de l’usine Virbac sur la commune de Garons. En me fondant sur les informations exposées lors de la réunion publique, je partage ci-après mes préoccupations, fondées sur des données tangibles et les études indépendantes présentées par des experts et associations locales.
1. Diminution de la valeur immobilière
L’installation d’un site industriel de cette envergure est projetée pour engendrer une baisse de la valeur des propriétés résidentielles de Garons pouvant atteindre 20 %, selon les évaluations d’experts immobiliers indépendants. Ce risque menace directement le patrimoine des résidents de la commune, un impact inadmissible pour les familles ayant investi dans leur bien-être local.
2. Perte d’emplois locaux
Le projet Virbac pourrait engendrer une perte d’emplois nets dans le tissu économique local, particulièrement au sein des petites entreprises, en raison de la pression concurrentielle et des coûts environnementaux associés. Une étude par un cabinet d’analyse économique renommé démontre ce risque, alarmant pour le tissu socio-économique de Garons, déjà fragilisé.
3. Nuisances sonores
Les projections sonores issues des activités de broyage de l’usine, fonctionnant jour et nuit, dépasseraient les niveaux légaux observés en bordure d’autoroute. Un tel bruit continu aurait des répercussions directes sur la qualité de vie des habitants, menaçant leur bien-être quotidien.
4. Risque d’émissions de particules fines et d’odeurs nauséabondes
Bien que le déchargement des matières premières soit prévu en circuit fermé, des inquiétudes sérieuses demeurent quant aux risques d’émissions de particules fines et d’odeurs insoutenables dans l’air, une préoccupation soulevée par l’association "Garons sans Odeurs." Ces émanations, bien que partiellement confinées, pourraient s’infiltrer dans l’air ambiant, entraînant une dégradation insupportable de la qualité de l’air pour les riverains. Ce type de pollution olfactive, susceptible de persister à toute heure, serait une agression continue contre la qualité de vie des habitants de Garons.
5. Pression sur les ressources en eau
L’usine Virbac s’installerait à proximité de la nappe de la Costière, déjà marquée par des niveaux très bas au 10 juillet 2023. En l’absence de transparence quant aux volumes d’eau que l’usine prélèverait, il est légitime de redouter un impact désastreux sur cette ressource vitale, notamment dans un contexte de sécheresse récurrente.
6. Impact visuel et défiguration du paysage
La construction d’un bâtiment industriel de 150 mètres de long et 30 mètres de hauteur, avec deux cheminées de 35 mètres, porterait une atteinte considérable au paysage de Garons, défigurant un environnement jusqu’alors préservé.
Face aux chiffres et aux faits alarmants présentés lors de cette réunion, le manque de réponse de Nîmes Métropole est incompréhensible. Ce projet, s’il est mené à terme, aura des conséquences irréversibles sur la qualité de vie, le patrimoine et l’environnement de Garons.
Je demande instamment que ce projet soit reconsidéré pour éviter des impacts aussi destructeurs, et j’invite les autorités à prendre en compte les voix et les expertises des citoyens locaux qui se mobilisent pour défendre leur cadre de vie.
Je vous remercie de bien vouloir inscrire cette contribution au dossier de l’enquête publique.
Veuillez agréer, Madame, Monsieur, mes salutations distinguées
Par la présente, je souhaite exprimer mon opposition formelle au projet d’installation de l’usine Virbac sur la commune de Garons. En me fondant sur les informations exposées lors de la réunion publique, je partage ci-après mes préoccupations, fondées sur des données tangibles et les études indépendantes présentées par des experts et associations locales.
1. Diminution de la valeur immobilière
L’installation d’un site industriel de cette envergure est projetée pour engendrer une baisse de la valeur des propriétés résidentielles de Garons pouvant atteindre 20 %, selon les évaluations d’experts immobiliers indépendants. Ce risque menace directement le patrimoine des résidents de la commune, un impact inadmissible pour les familles ayant investi dans leur bien-être local.
2. Perte d’emplois locaux
Le projet Virbac pourrait engendrer une perte d’emplois nets dans le tissu économique local, particulièrement au sein des petites entreprises, en raison de la pression concurrentielle et des coûts environnementaux associés. Une étude par un cabinet d’analyse économique renommé démontre ce risque, alarmant pour le tissu socio-économique de Garons, déjà fragilisé.
3. Nuisances sonores
Les projections sonores issues des activités de broyage de l’usine, fonctionnant jour et nuit, dépasseraient les niveaux légaux observés en bordure d’autoroute. Un tel bruit continu aurait des répercussions directes sur la qualité de vie des habitants, menaçant leur bien-être quotidien.
4. Risque d’émissions de particules fines et d’odeurs nauséabondes
Bien que le déchargement des matières premières soit prévu en circuit fermé, des inquiétudes sérieuses demeurent quant aux risques d’émissions de particules fines et d’odeurs insoutenables dans l’air, une préoccupation soulevée par l’association "Garons sans Odeurs." Ces émanations, bien que partiellement confinées, pourraient s’infiltrer dans l’air ambiant, entraînant une dégradation insupportable de la qualité de l’air pour les riverains. Ce type de pollution olfactive, susceptible de persister à toute heure, serait une agression continue contre la qualité de vie des habitants de Garons.
5. Pression sur les ressources en eau
L’usine Virbac s’installerait à proximité de la nappe de la Costière, déjà marquée par des niveaux très bas au 10 juillet 2023. En l’absence de transparence quant aux volumes d’eau que l’usine prélèverait, il est légitime de redouter un impact désastreux sur cette ressource vitale, notamment dans un contexte de sécheresse récurrente.
6. Impact visuel et défiguration du paysage
La construction d’un bâtiment industriel de 150 mètres de long et 30 mètres de hauteur, avec deux cheminées de 35 mètres, porterait une atteinte considérable au paysage de Garons, défigurant un environnement jusqu’alors préservé.
Face aux chiffres et aux faits alarmants présentés lors de cette réunion, le manque de réponse de Nîmes Métropole est incompréhensible. Ce projet, s’il est mené à terme, aura des conséquences irréversibles sur la qualité de vie, le patrimoine et l’environnement de Garons.
Je demande instamment que ce projet soit reconsidéré pour éviter des impacts aussi destructeurs, et j’invite les autorités à prendre en compte les voix et les expertises des citoyens locaux qui se mobilisent pour défendre leur cadre de vie.
Je vous remercie de bien vouloir inscrire cette contribution au dossier de l’enquête publique.
Veuillez agréer, Madame, Monsieur, mes salutations distinguées
Contribution n°373 (Web)
Par Jeunot Anne
Déposée le 26 octobre 2024 à 10h55
Déposée le 26 octobre 2024 à 10h55
Nuisances sonores , nuisances olfactives, nappes freatiques vidées et polluées ….
Population dont l’avis est ignoré.
NON À VIRBAC à cet endroit !!!!
Population dont l’avis est ignoré.
NON À VIRBAC à cet endroit !!!!
Contribution n°372 (Web)
Par tur sandra
Déposée le 26 octobre 2024 à 10h50
Déposée le 26 octobre 2024 à 10h50
mon opposition à l'usine virbac sont les suivantes
premièrement : les odeurs olfactives à 400m des habitations et ces énormes cheminée de 35 mètre de haut qui nuit à l environnement .nous subissons déjà avec l axé autoroute ce flux important de camions de logistique qui détériore les trottoirs et les panneaux de signalisations.
aucun parking est déjà prévu pour l'usine Auchan
la question est comment virbac va s'organisé pour pas nuire encore au village avec le flux de camions logistique
le village de garons est devenue une aire d'autoroute.alor en plus avec une usine de croquette!!! lus les odeurs !!!
non a virbac !!!!
premièrement : les odeurs olfactives à 400m des habitations et ces énormes cheminée de 35 mètre de haut qui nuit à l environnement .nous subissons déjà avec l axé autoroute ce flux important de camions de logistique qui détériore les trottoirs et les panneaux de signalisations.
aucun parking est déjà prévu pour l'usine Auchan
la question est comment virbac va s'organisé pour pas nuire encore au village avec le flux de camions logistique
le village de garons est devenue une aire d'autoroute.alor en plus avec une usine de croquette!!! lus les odeurs !!!
non a virbac !!!!
Contribution n°371 (Web)
Par Jerome
Déposée le 26 octobre 2024 à 10h48
Déposée le 26 octobre 2024 à 10h48
Prioriser l’économie mondiale, locale, réduire l’empreinte carbone mais à quel prix !!!! des nuisances sonores, et offactives sans oublier l’impact écologique tout cela au mépris de la population, lamentable. Les décisionnaires quelques soit les niveaux n’ont décidément pas réfléchi pour positionner ce type d’industrie à côté de la population. Non à Virbac à cet endroit.
Contribution n°370 (Web)
Par berenguier marc-antoine
Déposée le 26 octobre 2024 à 10h38
Déposée le 26 octobre 2024 à 10h38
non a virbac
voici mes raisons :
la première et pour moi la plus importante c est que le zéro odeur n'existe pas.
A la réunion du mois de mars 2023 si ma mémoire est bonne il on dit qu'il n'y aurez zéro odeur
ressenti sur la commune soit inferieur à 1uoe à 400 mètre 100% du temps
la deuxième : virbac annonce un rejet d'odeur de 3 uoe mais dans l'étude d'impact, dans la pièce jointe 4 page 190 paragraphe 5 dans la réalisation d'une étude de dispersion des odeurs il ne prenne pas en compte leur dire sur 3 uoe et reste sur la norme de 5 uoe
la troisième : et les places de parking sur leur site.il font le nombre de place que la norme leur impose. A la réunion de mars ils ont affirmés pouvoir garé tous les camions qu'y arrive sur leur site.
on vois bien qu'avec 6 place prévu il ne pourront pas tous les garés, donc stationnement abusif dan la zone mitra
en dernier cette zone a été faite pour de la logistique ,et du tertiaire non pour des entreprises polluante .j'aimerai savoir comment nines métropole a fait pour pouvoir implante ces usines
je réitère no a virbac pour pollution olfactive
voici mes raisons :
la première et pour moi la plus importante c est que le zéro odeur n'existe pas.
A la réunion du mois de mars 2023 si ma mémoire est bonne il on dit qu'il n'y aurez zéro odeur
ressenti sur la commune soit inferieur à 1uoe à 400 mètre 100% du temps
la deuxième : virbac annonce un rejet d'odeur de 3 uoe mais dans l'étude d'impact, dans la pièce jointe 4 page 190 paragraphe 5 dans la réalisation d'une étude de dispersion des odeurs il ne prenne pas en compte leur dire sur 3 uoe et reste sur la norme de 5 uoe
la troisième : et les places de parking sur leur site.il font le nombre de place que la norme leur impose. A la réunion de mars ils ont affirmés pouvoir garé tous les camions qu'y arrive sur leur site.
on vois bien qu'avec 6 place prévu il ne pourront pas tous les garés, donc stationnement abusif dan la zone mitra
en dernier cette zone a été faite pour de la logistique ,et du tertiaire non pour des entreprises polluante .j'aimerai savoir comment nines métropole a fait pour pouvoir implante ces usines
je réitère no a virbac pour pollution olfactive
Contribution n°369 (Web)
Par MIREBEAU Françoise
Déposée le 26 octobre 2024 à 10h08
Déposée le 26 octobre 2024 à 10h08
Je viens travailler tous les jours sur Garons et je subis déjà les nuisances sonores de l'aéroport toute la journée, la circulation des camions qui foncent à toute allure entre le rond point de l'autoroute et le rond point de Garons ( il n'y a aucun ralentisseurs sur cette voie et c'est une grande ligne droite ), il y a des déchets partout dans les fossés et les camions sont stationnés n'importent comment sur le bas-côté car ils attendent de pouvoir entrer sur la zone MITRA, j'ai appris qu'une usine classée SEVESO s'était installée sur la zone de l'aéroport et maintenant avec le projet d'installation de l'usine VIRBAC, la situation ne pourra qu'empirer. Plus de circulation de camions, avec la pollution que cela génère et la pollution des émission de l'usine VIRBAC à proximité de mon travail.
Je m'oppose fermement à l'installation de l'usine VIRBAC, je pense qu'on devrait privilégier l'installation sur cette zone à d'autres société moins nocives pour l'environnement et tenir compte du contexte déjà compliqué et de l'accumulation des nuisances déjà importante.
Question :
Qu'a-t-il été prévu pour le stationnement et la circulation des camions, il y-a-t-il des projection et des études réalisées sur l'augmentation de cette circulation ?
Comment Virbac pourra-t-il garantir l'absence d'odeur alors même que Royal CANIN dit que c'est impossible et que VIRBAC n'a aucune expérience dans ce type d'activité ( peu importe le montant investi )?
Pourquoi cette zone regroupe-t-elle autant de nuisances, n'y-a-t-il pas un plafond au delà duquel on ne peut accumuler des nuisances supplémentaires pour les habitants ?
Qui prendra en charge nos éventuels soucis de santé si jamais la pollution n'est pas contenue ?
Travailler à proximité de cette usine, cela revient à habiter sur site car je suis au même titre soumise aux nuisances de la zone toute la journée, quelle garantie aurais-je pour ma santé si je ne suis pas habitante de cette zone ?
Pourquoi les habitants et les personnes qui travaillent à GARONS n'ont pas été concertés avant la validation du projet par Nîmes Métropole ?
Qu'en est-il de l'élimination des déchets de cette société, qu'a-t-il été prévu ?
A-t-on une idée de l'impact sur les nappes phréatiques de l'activité de VIRBAC ?
Est-il judicieux d'installer une telle entreprise tout en souhaitant développer l'aéroport comme je l'ai lu cette semaine, quelle image pour la destination ?
Les touristes vont arriver dans une zone industrielle dégageant des odeurs pestilentielles et percluse de camions ? Est-ce l'image que l'on souhaite donner de notre destination ?
Les cheminées et la hauteur de l'usine ne représentent ils pas un danger par rapport à la circulation des avions ?
J'attends de cette contribution des réponses à toutes ces questions et j'espère qu'elles seront entendues.
Je m'oppose fermement à l'installation de l'usine VIRBAC, je pense qu'on devrait privilégier l'installation sur cette zone à d'autres société moins nocives pour l'environnement et tenir compte du contexte déjà compliqué et de l'accumulation des nuisances déjà importante.
Question :
Qu'a-t-il été prévu pour le stationnement et la circulation des camions, il y-a-t-il des projection et des études réalisées sur l'augmentation de cette circulation ?
Comment Virbac pourra-t-il garantir l'absence d'odeur alors même que Royal CANIN dit que c'est impossible et que VIRBAC n'a aucune expérience dans ce type d'activité ( peu importe le montant investi )?
Pourquoi cette zone regroupe-t-elle autant de nuisances, n'y-a-t-il pas un plafond au delà duquel on ne peut accumuler des nuisances supplémentaires pour les habitants ?
Qui prendra en charge nos éventuels soucis de santé si jamais la pollution n'est pas contenue ?
Travailler à proximité de cette usine, cela revient à habiter sur site car je suis au même titre soumise aux nuisances de la zone toute la journée, quelle garantie aurais-je pour ma santé si je ne suis pas habitante de cette zone ?
Pourquoi les habitants et les personnes qui travaillent à GARONS n'ont pas été concertés avant la validation du projet par Nîmes Métropole ?
Qu'en est-il de l'élimination des déchets de cette société, qu'a-t-il été prévu ?
A-t-on une idée de l'impact sur les nappes phréatiques de l'activité de VIRBAC ?
Est-il judicieux d'installer une telle entreprise tout en souhaitant développer l'aéroport comme je l'ai lu cette semaine, quelle image pour la destination ?
Les touristes vont arriver dans une zone industrielle dégageant des odeurs pestilentielles et percluse de camions ? Est-ce l'image que l'on souhaite donner de notre destination ?
Les cheminées et la hauteur de l'usine ne représentent ils pas un danger par rapport à la circulation des avions ?
J'attends de cette contribution des réponses à toutes ces questions et j'espère qu'elles seront entendues.
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