Contribution n°257 (Web)
Déposée le 22 octobre 2024 à 21h43
Contribution n°256 (Web)
Déposée le 22 octobre 2024 à 21h26
Comment peut on penser qu'il n'y aura pas de nuisances dues à une usine ?
Les nuisances sont olfactives, visuelles, sonores et d'un point de vue environnemental, j'ai hâte que l'on nous dise dans 30 ans que nos enfants sont malades car des process utilisés ne sont pas respectueux des normes.
Tout ceci est une fumisterie qui n'aura jamais de responsable car... tous ne seront plus là dans 30 ans.
La politique est sensé être la gouvernance pour le bien commun, je n'en vois pas à ce jour.
Petite mention spéciale pour le sacrifice qu'auront fait les politiques de notre jolie commune qui commençait à revivre.
Contribution n°255 (Web)
Déposée le 22 octobre 2024 à 21h05
Je vous en supplie !!! Non à VIRBAC !!!
Depuis de nombreuses années nous sommes les boucs émissaires de toutes les nuisances possibles et inimaginables que nous octroie Nîmes Métropole.
Je dis ça suffit ! On en peut plus du bruit, de la pollution atmosphérique, des déchets de toutes sortes, de la circulation de camions en permanence. Et il ne manquait plus que les mauvaises odeurs pour compléter notre désarroi.
Faites cesser s'il vous plaît cette liste de nuisances qui nous pourrissent la vie!
Merci par avance de tenir compte de mon désespoir.
Contribution n°254 (Web)
Déposée le 22 octobre 2024 à 20h57
Je vous invite vivement à vous procurer et à consulter le document de révision avec examen conjoint N°1 du PLU en vue de l’implantation d’activités industrielles dans la ZAC MITRA.
Ce rapport est annexé à la délibération n°2022-05-17 du conseil municipal de ST GILLES du mardi 31 Mai 2022.
J’en suis venu à me demander comment nous sommes arrivés à nous questionner sur l’implantation d’une usine malodorante et polluante à 400 mètres des habitations et d’un village de presque 5000 habitants. Cette question ne devrait jamais être posée et m’apparait lunaire.
La ZAC MITRA avant cette délibération - qui je le rappelle remonte à seulement deux années - ne pouvait pas accueillir d’industries. Il sera aisé de comprendre comment, de façon méthodique, le projet VIRBAC a pu être envisagé à cet endroit.
Je vais en citer des passages et me livrer avec le recul à une petite analyse.
La révision avec examen conjoint (dite révision allégée) du plan local d’urbanisme de ST GILLES a été mise en oeuvre pour rendre possible l’implantation d’activités industrielles de fabrication de panneaux isolants destinés au bâtiment dans la ZAC MITRA »
Déjà on peut observer que le PLU a été modifié afin de pouvoir installer la société SOPREMA. L’assise considérée dans ce changement de PLU a été listée en paragraphe côté 2. Une trentaine de parcelle est concernée mais seules 2 parcelles restent disponibles. (SOPREMA et quelques autres sociétés non industrielles ayant mis des options sur certaines parcelles)
Serait-il possible pour les commissaires-enquêteurs de déterminer à partir de quelle date les premiers échanges et/ou premières démarches ont été initiées par VIRBAC et ou NIMES METROPOLE ?
« Le projet SOPREMA, en s’installant dans la ZAC, ne constitue qu’un acte de développement déjà compensé au travers des mesures établies dans le cadre de la réalisation de la ZAC. Il n’exercera pas de pression environnementale supplémentaire par rapport au projet de ZAC. »
Il est donc considéré que faire basculer cette zone en zone pouvant accueillir des industries n’aura pas plus d’impact que d’accueillir les sociétés pour lesquelles la zone a été conçue initialement. Je rappelle qu’à l’heure d’édition de ce document, 2 parcelles sont disponibles dont une qui servira de projet pour VIRBAC. Je ne suis pas sûr que les vérités énoncées pour la société SOPREMA s’accordent pour VIRBAC. La demande en eau potable, en eau du BRL et par forage va être importante. Les émissions de gaz odorants et particules fines n’ont pas été pris en compte à la création de la ZAC.
Dans le 1er paragraphe / LE CHOIX DE LA ZAC MITRA POUR L’IMPLANTATION D’ENTREPRISES INDUSTRIELLES. (bon du coup SOPREMA et deux autres terrains disponibles dont celui qui viendra intéresser VIRBAC)
« dans la ZAC, un secteur avait été spécifiquement destiné à l’hébergement hôtelier, à la restauration. Cette stratégie s’inscrivait dans une perspective de développement du trafic aérien à l’aéroport de NIMES ARLES CAMARGUE. Depuis la création de la ZAC, l’économie de l’aéroport n’a pas évoluée selon le schéma attendu. Le trafic passager n’est pas vraiment monté en puissance… »
Ce secteur situé immédiatement à proximité de l’aéroport, est de fait, le plus proche de la ville de GARONS. Depuis 2022 le trafic passager à largement augmenté et il a été annoncé cette semaine la création de 7 lignes accessibles à Mai 2025.
Ce rapport mentionne que la commune de ST GILLES est distante de 8 kilomètres, omet quasi-systématiquement la commune de GARONS et va jusqu’à en faire un point fort : « la ZAC MITRA et plus particulièrement le terrain choisi ont correspondu l’ensemble des critères de recherche du fait : — d’une absence de zone d’habitat à proximité limitant les risques de gêne pour le voisinage ».
Les autres sites à créer ou développer sont listés mais - sans doute par manque d’anticipation - ne sont pas encore en capacité d’accueillir des industries. (Magna porta…)
Le terrain d’assiette du projet ignore totalement la commune de GARONS car il se limite à 300 mètres autour de la parcelle. Vous me direz, nous ne sommes pas là pour parler de SOPREMA, mais « les feux ont été mis au vert » pour changer le PLU, PLU qui permet maintenant d’en arriver à l’installation d’une usine de fabrication de croquettes directement à proximité d’un village.
Contribution n°253 (Web)
Déposée le 22 octobre 2024 à 20h42
De plus, les nuisances généraient feront baisser l'attractivité de Garons et dévaloriseraient nos biens immobiliers, il serait primordiale d'étudier des projets pour valoriser Garons, je propose d'explorer des alternatives avec plus de valeur ajouté pour la ville et permettre de minimiser l'impact environnemental et de protéger notre cadre de vie.
Contribution n°252 (Web)
Déposée le 22 octobre 2024 à 20h39
Contribution n°251 (Web)
Déposée le 22 octobre 2024 à 20h27
Quand on manie la langue de bois avec cette aisance comment pourrait-on donner foi à la moindre des promesses de Virbac, dispensées avec d'autant plus de légèreté que l'on sait qu'elles n'engagent que ceux qui les croient.
Virbac nous ne vivrons pas ensemble, allez donc vous installer ailleurs...
Contribution n°250 (Web)
Déposée le 22 octobre 2024 à 20h10
Messieurs les commissaires-enquêteurs,
J’ai 8 ans et Je ne souhaite pas grandir dans un village avec des nouvelles usines ?
Merci
Contribution n°249 (Web)
Déposée le 22 octobre 2024 à 20h08
Messieurs les commissaires-enquêteurs,
Après m'être informé(e) du dossier soumis à enquête publique, je souhaite vous faire part de mon avis défavorable sur le projet Virbac.
En effet, Garons supporte déjà beaucoup de nuisances du fait du développement de la zone Mitra et de sa proximité avec les équipements de transport (aéroport et autoroute). Le projet fait état de nuisances supplémentaires (odeurs, trafic, bruit).
Contribution n°248 (Web)
Déposée le 22 octobre 2024 à 20h06
Messieurs les commissaires-enquêteurs,
Après m'être informé(e) du dossier soumis à enquête publique, je souhaite vous faire part de mon avis défavorable sur le projet Virbac.
En effet, Garons supporte déjà beaucoup de nuisances du fait du développement de la zone Mitra et de sa proximité avec les équipements de transport (aéroport et autoroute). Le projet fait état de nuisances supplémentaires (odeurs, trafic, bruit). Aussi confiant soit Virbac au regard des études réalisées, je ne souhaite pas prendre le risque d'une défaillance de conception des systèmes de traitement de l'air ou de leur défaut d'entretien sur le long terme. Le principe de précaution doit primer. Il en va du cadre de vie de 5000 habitants.
Par ailleurs, je souhaite savoir comment serait rendue potable l'eau provenant du réseau BRL si elle est utilisée dans le processus de production de croquettes.