Contribution n°34 (Web)
Déposée le 27 octobre 2024 à 10h21
Contribution n°33 (Web)
Déposée le 27 octobre 2024 à 09h59
Contribution n°32 (Web)
Déposée le 27 octobre 2024 à 08h31
- impact sur la faune et la flore ,
- impact sur les paysages et le cadre de vie ( défrichement et bitume ) ,
- positionnement sur les crêtes ,
- PNR ignoré ,
- risques liés aux incendies ,
- prolifération des parcs éoliens
Habitants du Fenouillèdes , nous sommes considérés comme autrefois , les indigènes d'autres contrées , bons à payer et à subir , pour le profit d'Abo wind et d'autres à Trilla !
Contribution n°31 (Web)
Déposée le 26 octobre 2024 à 19h08
Je vous adresse une contribution relative au rapport d'étape 2024 du RTE qui donne des informations intéressantes sur les effets délétères de la surproduction d'électricité en France et notamment celle issue des renouvelables.
Bien cordialement
Patrick KAWALA
Document joint
Contribution n°30 (Web)
Déposée le 26 octobre 2024 à 19h04
Je vous adresse une nouvelle contribution sur la production et la consommation électrique françaises, à la lumière des rapports du RTE
Bien cordialement
Patrick KAWALA
Document joint
Contribution n°29 (Web)
Déposée le 26 octobre 2024 à 18h46
Je vous adresse une contribution et des justificatifs sur les études en cours RIBEOLh et PIBE, ainsi que des justificatifs
Bien cordialement
Patrick KAWALA
Documents joints
Contribution n°28 (Web)
Déposée le 26 octobre 2024 à 18h36
Pour couper court à toute contestation sur l'origine géographique des contributions, je rappelle que toutes les contributions, d'où qu'elles viennent sont recevables, et que seule compte leur pertinence.
Aucun tri n'est possible comme le rappelle le président du Tribunal administratif de POITIERS en charge du contrôle des commissaires enquêteurs, qui avait été questionné sur la question.
En effet, tout citoyen français qui contribue, même à son corps défendant, aux mécanismes de soutien financier des ENRi est fondé à intervenir sur toutes les enquêtes se déroulant sur le territoire.
A plus fort raison lorsqu'il fréquente touristiquement le secteur.
Merci de rendre un avis négatif
Patrick KAWALA
Document joint
Contribution n°27 (Web)
Déposée le 26 octobre 2024 à 18h31
Les installations industrielles éoliennes sont censées participer au développement durable.
Or l'article L110-1 du code de l'environnement énumère les cinq objectifs du développement durable au rang desquels figurent :
" la cohésion sociale....et l'épanouissement de tous les êtres humains "
La plupart des projets entraînent cependant de fortes dissensions au sein des communes entre les rentiers vus comme des profiteurs, et les victimes des nuisances.
Ils portent atteinte à la cohésion sociale.
De même, les nuisances sont avérées notamment sur le plan acoustique puisqu'il existe actuellement deux études scientifiques publiques en cours : RIBEOLh et PIBE qui étudient et tentent de juguler les effets des nuisances sonores et des infrasons sur les populations.
Je reviendrai sur cette question importante qui ne pourra être expédiée comme le faisaient habituellement les promoteurs éoliens avant la mise en place de ces études.
Il est certain qu'avec des nuisances acoustiques et visuelles, les éoliennes ne contribuent pas à l'épanouissement des populations.
Deux des cinq objectifs du développement durable n'étant pas remplis, un avis négatif s'impose donc de plus fort.
Bien cordialement
Patrick KAWALA
Contribution n°26 (Web)
Déposée le 26 octobre 2024 à 18h22
Je vous adresse une nouvelle contribution relative aux bureaux d'étude et à la preuve à apporter par le porteur de projet
Bien cordialement
Patrick KAWALA
Document joint
Contribution n°25 (Web)
Déposée le 26 octobre 2024 à 18h13
Les éoliennes séduisent parfois certains élus par leur prétendue attractivité financière.
C’est ainsi que l’on fait miroirer à certains élus, qui abandonnent toute prudence devant l’appât du gain pour la commune, des ressources fiscales importantes.
Or ce qu’oublient les élus locaux naïfs, c’est que cette dotation sera réduite par le biais de la perception des revenus fiscaux tirés du parc éolien.
Le maire de COURCOME dans le département de la CHARENTE l’a reconnu dans son bulletin municipal puisqu’il reconnaît que sa commune a gagné annuellement 60.000 euros avec l’IFER versée pour deux parcs éoliens, mais dans le même temps…perdu 52.000 euros de dotation ( DGS).
Le résultat est donc…particulièrement piteux puisque de ce fait, le solde positif n’est que de 8000 euros par an avec tous les inconvénients et nuisances de parcs éoliens.
Comme dit le maire avec dépit dans son bulletin municipal « les opérateurs éoliens s’étaient bien gardés de nous informer de cette possibilité, même si personnellement je m’en était inquiété et en avais fait part en connaissance de l’expérience malheureuse d’autres communes ».
A ce stade, je pose la question : les élus de TRILLA, dont certains semblent avoir un intérêt dans le projet puisqu’ils n’ont pas pris part aux votes sur celui ci, sont ils informés de la perte de dotation qui va résulter de la perception de l’IFER.
Quel est donc l’intérêt d’un tel projet s’il ne rapporte rien à la commune ( il est à noter que la perte de dotation vaut pour la DGS comme à COURCOME et pour la DGF : voir à ce sujet la question de la sénatrice BONNEFOY et la réponse du ministre en pièce jointe ) ?
Les seuls bénéficiaires de l’opération seraient ils quelques propriétaires fonciers qui vont profiter des nuisances ?
Monsieur le commissaire enquêteur, il vous appartient d’informer le public.
Je vous demande de faire usage du pouvoir prévu à l’article L123-13 II du code de l’environnement et de questionner :
1) Le porteur de projet
2) Les services fiscaux
Afin d’évaluer la perte de dotation qui ne manquera pas de résulter.
Ainsi, la population sera en mesure de juger de l’intérêt local du projet.
Un avis négatif s’impose donc de plus fort.
Bien cordialement
Patrick KAWALA