Contribution n°18 (Web)
Déposée le 14 janvier 2025 à 13h34
Cette dévaluation profitera à la société constructrice et au vendeur des surfaces agricoles et pas aux habitants.
Il devrait être nécessaire, en démocratie, que ce soit un vote des habitants du territoire qui choisisse quelles machines ou solutions soient implantées et que tout le monde en bénéficie et que les propriétaires des terrains soient juste compensés des pertes de productions agricoles induites, mais sans plus-value loterie.
Contribution n°17 (Web)
Déposée le 14 janvier 2025 à 13h27
Avec la baisse régulière des consommations d'électricité, il n'y a aucune urgence de construire des installations qui produisent de l'électricité plus chère (coût total ) que l'électricité nucléaire et hydraulique.
Contribution n°16 (Web)
Déposée le 14 janvier 2025 à 13h22
C'est une concurrence déloyale pour les agriculteurs qui vont être désincités à faire de l'agriculture et cela va faire monter les prix de l'ha.
C'est une disruption violente pour l'agriculture, les agriculteurs et la souveraineté alimentaire déjà très menacée par des productions importées ne vérifiant pas les contraintes imposées aux agriculteurs français.
Contribution n°15 (Web)
Déposée le 14 janvier 2025 à 13h16
Contribution n°14 (Web)
Déposée le 14 janvier 2025 à 11h21
L'installation de ces panneaux sur des terres agricoles ou des espaces naturels peut entraîner une perte de biodiversité, une artificialisation des sols et des conséquences négatives pour la faune et la flore locales. Il serait pertinent d'explorer d'autres options, comme l'installation sur des surfaces déjà artificialisées (toits de bâtiments industriels, parkings, etc.).
De plus, ce coin de la région, encore intacte, sera défiguré à jamais par ce projet industriel complétement démesuré.
Les équipements liés aux installations génèrent des champs électromagnétiques à proximité, dont les effets sur la santé humaine ne sont pas encore complètement compris.
Certaines études soulignent un lien possible entre une exposition prolongée aux champs électromagnétiques et des troubles du sommeil, des maux de tête ou d’autres effets sur la santé chez les populations sensibles. Comment peut-on justifier de tels projets, sans avoir la certitude des impacts engendrés sur la santé?
Je suis contre ce projet.
Kathy
Contribution n°13 (Web)
Déposée le 13 janvier 2025 à 23h06
Quand la France va-t-elle enfin se réveiller et réaliser qu'elle n'est pas l'Allemagne charbonnière et gazière et que ces projets photovoltaïques se trompent de pays, encouragés par une dictature de Bruxelles qui oublie la subsidiarité énergétique des Etats membres. Mettez donc votre/notre argent dans les projets du futur nucléaire, de l'hydraulique, de la géothermie, des pompes à chaleur ou des biocarburants !! Et respectez le climat, les surfaces agricoles et les générations futures !
Contribution n°12 (Web)
Déposée le 13 janvier 2025 à 22h38
En FRANCE où l’électricité est décarbonée grâce aux énergies nucléaire et hydraulique les électricités intermittentes sont une CALAMITE.
- Le réseau électrique doit être constamment équilibré entre consommation et production : les énergies électriques intermittentes y sont donc incompatibles sauf soutien constant d’une autre source d’énergie fiable. L’électricité ne pouvant pas se stocker au niveau d’un réseau.
- Ralentir le nucléaire qui émet 3,7gr.CO2/kwh pour laisser produire les intermittentes est mauvais pour le climat tout en maltraitant beaucoup le nucléaire. Le photovoltaïque n’est pas performant en France où il ne produit que pour ¼ de sa puissance installée, il produit l’été où le solaire est déjà trop présent. C’est l’hiver qu’il faudrait produire mais là le solaire est mauvais il est même inexistant au moment de la pointe de la demande : à 19h l’hiver le solaire est à zéro
- Par leur dispersion les intermittentes exigent des dépenses énormes pour leur raccordement au réseau électrique et font grimper le prix de l’électricité. Rémy Prud’homme estime dans une étude récente le coût des renouvelables intermittentes en France à déjà 330 milliards d’euros sur 15 ans. Ce coût s’est retrouvé sur le prix de l’électricité.(ce sont des montants effrayants et vont monter allègrement).
Contribution n°11 (Web)
Déposée le 13 janvier 2025 à 18h18
La production solaire, répartie de manière concentrée à certaines heures de la journée et à certaines saisons, est déjà surabondante dans le réseau électrique européen à ces périodes, entrainant des risques graves pour la stabilité du système électrique et une équation économique catastrophique avec l'explosion de périodes de production à perte qui renchérissent le coût de l'électricité. Enfin, elle est très dépendante des industries étrangères, notamment chinoises- ce qui questionne aussi leur intérêt réel pour la décarbonation de l'électricité
Pour ces raisons, qui ne sont pas même exhaustives, il est urgent d'appliquer un moratoire sur les grands champs photovoltaïques comme le projet de COULONGES-COHAN qui occuperait 411 ha.
Contribution n°10 (Web)
Déposée le 13 janvier 2025 à 17h05
On relance le nucléaire avec raison, on veut limiter l'artificialisation des sol toujours avec raison, on veut diminuer nos déficits encore avec raison, et on se lance dans de tels projets, inutiles, non respectueux de l'environnement et onéreux.
Je suis résolument contre ce projet pharaonique.
Contribution n°9 (Web)
Déposée le 13 janvier 2025 à 16h43
Monsieur le Commissaire-Enquêteur,
Habitante de Chéry-Chartreuve depuis plus de 35 ans, et Présidente d’EEDAM Aisne « Energies &Environnement en débat dans l’Aisne et la Marne » depuis 2022, je vous fais de notre opposition très forte au programme « Grappe du Tardenois » et au sous-Projet de Coulonges-Cohan d’EE Agrisolaire 05 en raison de leur caractères disproportionnés et inutiles à l’échelle du territoire du Tardenois et de la Communauté d’Agglomération de la Région de Château-Thierry.
De plus les impacts de ce type de projet sont les plus néfastes de tous les projets énergétiques pour l’électricité, la chaleur et la mobilité (voir Annexe 1 VEVPPE) présentée en novembre 2022 lors de nos auditions par le Conseil Economique Social et Environnemental en novembre 2022, par l’Assemblée nationale en juillet 2023 et par le Sénat en juin 2024.
Vous trouverez ci-joint notre évaluation des différentes solutions d’énergie solaire (Annexe 2 : Enjeux et risques du solaire) faite sur le même principe par les experts de la conférence de consensus de l’automne 2022.
Au-delà du détournement inacceptable de 93 ha de terres agricoles de leur fonction céréalière depuis 35 ans, cette évaluation rationnelle et rigoureuse place ce type de projet de très loin en dernière position des solutions solaires et est à proscrire en France en raison de l’impact sur l’ensemble du système énergétique Français, sur le coût de l’électricité et de son inutilité dans un mix électrique décarboné à 95% et avec une consommation électrique stable, voire en baisse depuis de nombreuses années en France comme en Europe.
Nous recommandons à la place la décarbonation directe des usages de la chaleur et de la mobilité avec le développement du solaire thermique et des grandes toitures en autoconsommation collective dans un rayon de 15 à 20 km.
Cette dernière famille de solutions inclut, comme l’a précisé la Commission de régulation de l’Energie, les toitures sur hangars agricoles, les ombrières d’élevage ou de cultures horticoles (vignes, arbres fruitiers, …) ayant besoin d’ombre. Elles sont les seules à réellement apporter un bénéfice agricole aux exploitants et à leur apporter un complément de rémunération sans impact sur le réseau énergétique français, car leur puissance permet une consommation locale qui libère des capacités pour les villes et les industries sur le réseau RTE : elles évitent la fragilisation du réseau RTE par ce type de projet en raison de l’intermittence et des risques de stabilité du réseau générés par la variabilité ( flexibilité) et les onduleurs ( stabilité de la fréquence) spécifiques au solaire PV.
Nous regrettons que le promoteur n’ait pas fait ces analyses de variantes comme le recommande expressément la Commission Nationale des Paysages et de la Nature dans son avis du 14 juin 2024, et de façon spécifique pour le projet de Coulonges-Cohan la Mission régionale de l’Autorité environnementale (MRAE)des Hauts de France dans son avis du 1er février 2024.
Enfin, vous trouverez une évaluation (Annexe 3 réalités du solaire) des principaux impacts de tous les projets solaires photovoltaïques au sol dont tous les critères correspondent aux caractéristiques du projet d’EE Agrisolaire 05 de Coulonges-Cohan et qui n’ont pas été étudiés dans l’ensemble des pièces du dossier du Permis de construire déposé par EE Agrisolaire 05 mis à disposition par la Préfecture de l’Aisne entre fin décembre 2024 et le 7 janvier 2024.
Pour l’ensemble de ces raisons j’émets dès maintenant un AVIS DEFAVORABLE au projet EE Agrisolaire 05 de Coulonges-Cohan.
Ce premier avis sera complété durant l’enquête par des avis complémentaires au fur et à mesure de l’analyse détaillée des thématiques traitées ou non traitées par le promoteur EE Agrisolaire 05.
En restant à votre disposition, pour toute précision complémentaire, je vous prie, Monsieur le Commissaire, de recevoir l’expression de nos respectueuses salutations
Florence BILLET Chery Chartreuve www.retm.fr
Complément du texte de l'avis N°1