Les contributions

Contribution n°10 (Web)

Par Arthur
Déposée le 19 janvier 2025 à 09h40
A quoi sert le PLUM ?
Le PLUM avait pour belle ambition d’harmoniser le développement urbain et paysager au sein de la Métropole et [...]
A quoi sert le PLUM ?
Le PLUM avait pour belle ambition d’harmoniser le développement urbain et paysager au sein de la Métropole et de préserver notre si bel environnement nantais ! Il a défini les hameaux et les villages pour les préserver et en faire une spécificité au sein de la Métropole urbanisée. Une telle modification à l’entrée des villages détruirait l’esprit architectural dès l’entrée, sans compter qu’il y a dans le secteur un bâtiment patrimonial.
Il est surprenant de découvrir aujourd’hui qu’un tel équipement s’inscrit aux yeux de la mairie comme un projet s’insérant dans le hameau des villages. Un ensemble de mobile home implanté en rond et entouré de grillages à l’entrée n’a aucune cohérence avec les villages. Cela ne semble pas respecter la vision globale du Plum afin de faciliter l’implantation d’un projet plutôt que d’avoir une vision globale et stratégique pour l’urbanisme des villages. Sans compter qu’il y a un enjeu démographique et social avec une arrivée potentielle de 80 à 100 personnes dans un hameau alors que le plum prévoit un développement limité. Un tel développement aussi fort et rapide n’a jamais eu lieu et pourrait menacer l’esprit de quartier qui est une plus-value au sein de la métropole nantaise. La classification ne doit donc pas évoluer afin de maintenir un développement des hameaux dans une dimension environnementale et agricole.
Dans ses modifications, le PLUM laisse apparemment très peu de place aux citoyens qui sont rarement concertés dans cette perspective ! Au lieu de cela, cela devient un sujet d’opposition et de scission entre les résidents au sein même de la Métropole ! Nos politiques, dont la tâche n‘est certes pas facile, devraient être les garants de la paix sociale et de l’harmonie du paysage, tout au contraire ils cristallisent, souvent, les tensions et entretiennent, parfois, la polémique par des attitudes obstinées et autoritaires !
A l’heure où nos politiques nationaux nous donnent une bien mauvaise image de la concertation et de l’écoute du peuple, nos politiques locaux s’obstinent à décider des actions qui ne seront pas efficaces et sans aucune concertation avec la population. Gageons que cette position verra une traduction dans les urnes aux prochaines échéances !

Contribution n°9 (Web)

Par ASSOCIATION DES VILLAGES REUNIS
Déposée le 19 janvier 2025 à 09h39
Dans le chapitre 2 - Exposé des modifications - Préambule il est écrit : « Parmi les solutions d’habitat ou d’hébergement adapté, [...]
Dans le chapitre 2 - Exposé des modifications - Préambule il est écrit : « Parmi les solutions d’habitat ou d’hébergement adapté, les terrains dit d’insertion, sont aménagés et équipés par la puissance publique, destinés aux familles en capacité de poursuivre leur trajectoire résidentielle, voire d’accéder à un logement conventionnel par la suite… »
Il a effectivement été avancé, lors de la seule réunion d’information, qu’une période de 6 mois à un an maximum serait nécessaire pour accompagner les familles vers l’accession à un logement conventionnel. Pourtant selon l’ADIL 44 (Agence Départementale d’Information sur le Logement), début 2024 plus de 57 000 dossiers étaient en attente en Loire Atlantique dont plus de 37 000 sur Nantes Métropole avec un délai d’attente de plus de 3 ans!
Y aurait-il des passe-droits dans l’attribution de ces logements ? Pourquoi mettre ces populations en priorité sur des critères ethniques ?
Si c’est le cas, ces attributions sont discriminatoires vis-à-vis des personnes en liste d’attente depuis des années et qui verront une fois de plus leur demande repoussée.
Il est d’ailleurs plus que probable que cette insertion ne se fera pas et que la collectivité aura contribué à l’installation d’un nouveau bidonville métropolitain !

Contribution n°8 (Web)

Par Luc
Déposée le 19 janvier 2025 à 09h38
Lors de la seule réunion d’information sur le sujet des aménagements des terrains d’insertion en projet dans le périmètre de la Métropole, [...]
Lors de la seule réunion d’information sur le sujet des aménagements des terrains d’insertion en projet dans le périmètre de la Métropole, il a été clairement dit que les logements seront en priorité attribués à des familles correspondantes à certains critères et notamment à celles dont au moins un membre de la famille peut justifier d’un emploi pérenne. Ce à quoi, il a été précisé que la majorité de ces emplois sont dans le maraichage situé en Sud Loire.
Dans un article daté du 13 janvier 2025, Monsieur Affilé chargé des déplacements et des transports publics à la Métropole et par ailleurs Maire de Saint Herblain nous explique qu’il y a besoin d’un changement de mentalité et que, aujourd’hui, quand on vit à 40 km de Nantes, il faut travailler à 40 km et que quand on veut travailler à Nantes peut être qu’il faut y vivre ! En clair, il faudra dans les années à venir réduire nos déplacements et reconsidérer nos lieux d’habitation par rapport à nos lieux de travail. Donc acte !
En toute logique, les membres de ces familles ayant un emploi dans le maraichage, et installés en Nord-Loire devront parcourir à minima entre 25 et 30 km, passer la Loire (pont de Cheviré ou pont de Saint Luce) et ainsi grossir le flux du trafic déjà saturé. Outre le temps passé en transport, le coût en carburant pour ces familles sera important ! Et cela vient en totale contradiction avec les efforts demandés pour réduire la pollution générée par le trafic automobile.
Si on s’en réfère aux affirmations de Monsieur Affilé, en toute logique et en cohérence avec les propos et arguments avancés, les implantations de ces terrains d’insertion devraient se situer en
Sud Loire et à proximité des zones de maraichage. Quelle réponse apporter à cette incohérence entre les déclarations et les projets de réalisation ?

Contribution n°7 (Web)

Par Luc
Déposée le 19 janvier 2025 à 09h37
Les expériences des campements passées et actuelles sont véritablement désastreuses. Outre l’état SCANDALEUX dans lequel se retrouvent [...]
Les expériences des campements passées et actuelles sont véritablement désastreuses. Outre l’état SCANDALEUX dans lequel se retrouvent les sites, et leurs abords, qu’ils ont occupé illégalement (engageant des centaines de milliers d’euros de travaux pour les propriétaires qui « récupèrent » leur terrain), AUCUNE expérience d’insertion engagée par les collectivités territoriales ou(et) les pouvoirs publics n’a connu ne serait-ce qu’un début de succès au niveau local et national. Comment la municipalité, ou (et) la Métropole, pensent-elles répondre à ces comportements abjects ? Pourquoi ce terrain serait-il mieux « tenu » que tous les autres dans la métropole dans lesquels les forces de l’ordre évitent aujourd’hui à entrer ? La Mairie nous ayant indiqué, par ailleurs, que ceux qui ne règleraient pas leur (très faibles) loyer ou leurs charges ne pourront rester sur le terrain !!!!!!! Parlerait-on alors d’expulsion !!!!!!!??????

Contribution n°6 (Web)

Par ASSOCIATION DES VILLAGES REUNIS
Déposée le 17 janvier 2025 à 10h45
La loi Climat et Résilience adoptée en août 2021, vise à renforcer la lutte contre le changement climatique et à promouvoir la transition [...]
La loi Climat et Résilience adoptée en août 2021, vise à renforcer la lutte contre le changement climatique et à promouvoir la transition écologique. Elle s'inscrit dans le cadre des engagements de la France en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre et de protection de l'environnement. Elle encourage notamment une urbanisation durable et la préservation des espaces naturels.
Comment avoir pu saccager un tel espace naturel sur le site de l’Ormelière, à Saint Herblain, une vraie zone humide, dans laquelle 40 espèces d’oiseaux avaient été identifiées, et que beaucoup d’espèces migratoires utilisaient comme relais ?
Aucune étude environnementale n’a été engagée avant les premiers travaux sur le terrain. Malgré nos demandes et l’obligation prévue dans le Code de l’Urbanisme, la mairie n’a donné aucune suite à cette obligation en 2023. Mais, en 2024, se rendant compte de cette erreur, et pour respecter le code de l’Urbanisme alors même que les pelleteuses avaient déjà tout dévasté, Nantes Métropole a saisi, au début des congés d’été, le 4 juillet 2024, la Mission Régionale d’autorité environnementale (MRae) qui a 2 mois pour donner un avis. Cet avis n’étant pas parvenu avant le 4 septembre, soit après les mois de Juillet et Août, le conseil métropolitain a considéré son avis comme favorable !!!!! Comment qualifier cette démarche autrement qu’un contournement des obligations règlementaires de la part de collectivités territoriales ?

Contribution n°5 (Web)

Par ASSOCIATION DES VILLAGES REUNIS
Déposée le 17 janvier 2025 à 10h43
Il n’y a eu AUCUNE consultation, ni concertation dans la mise en place de ces terrains d’insertion temporaires. Il n’y a eu aucune [...]
Il n’y a eu AUCUNE consultation, ni concertation dans la mise en place de ces terrains d’insertion temporaires. Il n’y a eu aucune étude sur l’efficience de ces équipements, aucune étude sur l’efficacité d’une telle opération. Les populations Roms n’ont, pour l’essentiel, aucune intention d’habiter dans les logements sociaux, ni les enfants de fréquenter les écoles. Le communautarisme est leur mode de fonctionnement et vouloir leur appliquer nos modes de vie est une pure perte ! Cette évidence est démontrée en Europe depuis plusieurs siècles. Comment imaginer un seul instant que ces terrains d’insertion temporaires vont remplir leur objectif. Ils ne seront aucunement temporaires puisque les populations vont s’y installer sans aucun objectif de quitter leur communauté pour s’insérer dans un logement social ! Aujourd’hui, TOUS les enfants roms quittent l’école à 16 ans au plus tard ! Comment compte faire la municipalité, ou la Métropole, pour contraindre ces familles à accéder à une éducation et un parcours propice à l’ascenseur social ? Le travail social engagé auprès de ces familles est individuel et leur permet simplement de faire le plein des prestations sans aucun objectif d’insertion.
Cette méthode, sans associer ni concerter les populations concernées, que ce soit les riverains ou les migrants arrivant sur ce terrain, risque de monter les communautés les unes contre les autres au lieu de les rapprocher ! Mais nos politiques ne semblent pas concernés par ces potentielles confrontations !! La Métropole est-elle consciente de ce clivage et de cette probable opposition de communautés ?

Contribution n°4 (Web)

Anonyme
Déposée le 17 janvier 2025 à 08h49
Le projet de modification simplifiée, sur lequel nous nous exprimons, est EN COURS de procédure. Normalement cela signifie que le [...]
Le projet de modification simplifiée, sur lequel nous nous exprimons, est EN COURS de procédure. Normalement cela signifie que le "résultat" n'est pas un ACQUIS automatique. Pour autant, Mr Le Maire de Saint Herblain, lors des cérémonies de vœux du 13 janvier 2025 annonce l'ouverture du terrain d'insertion sans réserve ni modulation. Rappelons que pour achever les travaux de ce terrain, le PLUM doit être modifié (donc par le biais de la procédure en cours). Que doit-on comprendre? La procédure en cours n'est que d'apparat? Si tel est le cas, nous confirmons ici que notre démocratie est à plusieurs vitesses et que ce n'est pas avec ce type d'intervention que nous redonnerons envie aux électeurs de s'exprimer. Mr Affilé considère comme acquis le résultat "positif" de la modification en cours. Le public n'est donc solliciter que par simple obligations réglementaires et quel que soit les écrits, si justifiés et bâtis soient-ils, le résultat est déjà acquis. quelle tristesse.....

Contribution n°3 (Web)

Anonyme
Déposée le 16 janvier 2025 à 14h12
Cette modification du PLUM est un non sens! Rajouter des bidonvilles "organisés " sans aucune concertation cela démontre à quel point [...]
Cette modification du PLUM est un non sens! Rajouter des bidonvilles "organisés " sans aucune concertation cela démontre à quel point nos politiques sont complètement perdus pour faire face à ce problème ! On peut être très inquiet pour la suite......

Contribution n°2 (Web)

Anonyme
Déposée le 8 janvier 2025 à 09h11
Cette modification pose question sur le fond : la ville réalise un projet, se fait "retoquer" donc change la règle pour rendre le [...]
Cette modification pose question sur le fond : la ville réalise un projet, se fait "retoquer" donc change la règle pour rendre le projet possible. Vous imaginez si tout le monde procédait de la sorte? Je fais ma construction ou mon aménagement (tant pis pour la règle applicable) et ensuite, une fois que je me suis fait taper sur les doigts je change la règle pour légitimer ce que j'ai fais. Peu importe ce que l'on pense du bien fondé du sujet réalisé, faire évoluer la règle "après coup" est illégitime. Sur de telles bases de raisonnement, tout devient possible et réalisable dès lors que l'on a la main sur les procédures d'urbanisme Et le volet environnemental???? Alors oui comme il l'a déjà été dit la MRAE a été sollicité t n'a pas donné suite......... et pour cause; la question de la nécessité d'une évaluation environnementale a été soulevée APRES avoir tout détruit sur le terrain de l'Ormelière ! La demande se devait d'être faite AVANT de démarrer les travaux. Une fois les travaux réalisés bien entendu il ne reste plus rien à analyser d'un point de vue environnemental et tout naturellement la MRAE ne donne par suite. Alors là aussi, je fais, je casse, je détruis et ENSUITE je demande si j'avais le droit de le faire. A ce compte là, villes de l'agglomération comme Métropole peuvent légitimer après coup n'importe quel projet sur n'importe quel terrain : déplorable !

Contribution n°1 (Web)

Anonyme
Déposée le 7 janvier 2025 à 15h56
Il convient de noter que le document graphique présenté sur le secteur de l'Ormelière à St Herblain fait état d'un espace paysager [...]
Il convient de noter que le document graphique présenté sur le secteur de l'Ormelière à St Herblain fait état d'un espace paysager à préserver au sein même de la parcelle destinée à accueillir le terrain d'insertion temporaire. Hors, les travaux DEJA réalisés par la ville de St herblain ont générés la destruction de cet espace paysager à préserver. dans une démarche d'honnêteté intellectuelle, il conviendrait de supprimer graphiquement ce qui a été supprimé et détruit sur le terrain

Apportez votre contribution à cette modification simplifiée : Déposer une contribution

Apportez votre contribution

Déposer un avis sur le registre dématérialisé de cette modification simplifiée est simple, sécurisé et si vous le souhaitez anonyme.

Il vous reste encore 16 jours.

Déposer une observation