Contribution n°247 (Web)
Déposée le 4 février 2025 à 09h50
Merci de limiter au maximum le nombre de constructions en dure qui artificialise les sols.
Contribution n°246 (Web)
Déposée le 4 février 2025 à 08h57
La mise en œuvre de l’Opération d’Aménagement Programmée (OAP) Sablassou constitue une opportunité majeure pour le développement harmonieux de Castelnau-le-Lez et de la métropole montpelliéraine. Son positionnement stratégique, à proximité immédiate de l’avenue de l’Europe et de la route de Nîmes, en fait un secteur particulièrement adapté à l’accueil d’équipements d’intérêt collectif, d’activités économiques et de logements destinés aux travailleurs essentiels.
L’un des atouts majeurs de ce secteur réside dans son excellente desserte en transports en commun. Il bénéficie déjà de la ligne 2 du tramway, qui relie efficacement Castelnau-le-Lez au centre de Montpellier et à d’autres pôles métropolitains. De plus, le projet de halte ferroviaire TER à Sablassou, qui doit être concrétisé, renforcerait encore l’accessibilité du site et favoriserait une mobilité durable, limitant l’usage de la voiture individuelle.
Pour préserver les espaces naturels et agricoles situés au sud et éviter l’étalement urbain, il est essentiel d’opter pour une densification maîtrisée avec la construction de bâtiments de hauteur raisonnable. Cette approche permettrait d’accueillir davantage de logements et d’activités tout en limitant l’empreinte foncière du projet.
Par ailleurs, la création d’un véritable espace de centralité est indispensable pour assurer la qualité de vie des futurs habitants et usagers du quartier. Une place conviviale, inspirée de la place Charles de Gaulle, avec des commerces de proximité, des terrasses et des espaces végétalisés, permettrait d’animer le secteur et de créer un véritable lieu de vie.
Enfin, la réalisation de la maison du numérique et d’autres services publics dans ce futur quartier renforcerait son attractivité et son rôle structurant au sein de la métropole. L’implantation de ces équipements en complément du grand établissement de santé contribuerait à faire de Sablassou un pôle d’excellence en matière d’innovation et de services.
En conclusion, l’OAP Sablassou représente une opportunité à saisir pour développer un quartier moderne, bien desservi et attractif, en cohérence avec les principes d’un urbanisme durable.
Contribution n°245 (Web)
Déposée le 4 février 2025 à 08h50
Le quartier Malbosc est fortement orienté agricole avec des parcelles de Jardins familiaux, une parcelle de jardin collectif, un verger associatif en permaculture et des Bosquets fruitiers sur l'espace public. Ainsi je souhaite que l'OAP Quartier Jean Monnet soit retirée et que les parcelles concernées par l'urbanisation soient classées A (agricoles) afin d'y développer une ferme et des espaces agricoles avec d'autres terrains agricoles en continuité.
Je demande que l'espace constructible actuel situé au sommet du Coteau de Malbosc, versant Mosson, soit reclassé pour le réserver à des activités de loisirs, sport, jardinage, sans création de bâtiments autre que des bâtiments légers en rapport avec ces activités
Je demande qu'on engage une réflexion sur les usages le long de la rue de Malbosc pour sécuriser et privilégier les mobilités douces et sur la continuité des itinéraires piétonniers entre le Coteau et les autres espaces naturels alentours (notamment liaison entre le chemin de l’Aqueduc et le bas de la rue Henri Lagattu).
Je demande que l'on réalise une étude des impacts cumulés qui seront engendrés par les très nombreux projets d’urbanisme simultanés au nord-ouest de Montpellier
Contribution n°244 (Web)
Déposée le 4 février 2025 à 07h59
dans le cadre de l’étape "enquête publique" du PLUI de Montpellier métropole,, je souhaiterai exprimer ici mon profond désaccord sur les possibilités de construction en R+4 et R+5 dans mon quartier et voisinage ( QUARTIER LA RAUZE).. ce quartier où j'habite depuis 25 ans maintenant a toujours pu conserver son caractère pavillonnaire qui fait son charme et sa relative tranquillité.. il serait donc très appréciable et moralement cohérent de limiter les constructions dans ce quartier à une hauteur R+1.
cordialement,
Philippe Reynes
Contribution n°243 (Web)
Déposée le 4 février 2025 à 06h53
Cordialement
Contribution n°242 (Web)
Déposée le 4 février 2025 à 00h22
Contribution n°241 (Web)
Déposée le 3 février 2025 à 23h58
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1. Demande d’avis défavorable sur le projet arrêté du PLUi
Arguments juridiques et réglementaires :
Non-respect des objectifs de réduction de l'artificialisation des sols
L’article L.101-2 du Code de l’urbanisme impose une utilisation économe des espaces naturels et agricoles. L’orientation d’aménagement et de programmation (OAP) de Sablassou prévoit la construction d’un grand établissement de santé et de logements, ce qui contrevient à cet objectif en renforçant l’artificialisation dans une zone ayant une fonction agricole et écologique forte.
Absence d’alternative sérieuse analysée pour l’implantation de la Clinique du Parc
L’article L.104-2 du Code de l’urbanisme exige que toute modification de zonage prenne en compte plusieurs scénarios d’aménagement. Or, aucune étude comparative approfondie ne semble avoir été menée concernant l’implantation de la clinique sur d’autres terrains déjà urbanisés.
Incompatibilité avec le Plan Climat et le SRADDET Occitanie
Le projet de PLUi Climat se donne pour objectif de préserver les espaces naturels et agricoles, conformément au Schéma Régional d’Aménagement, de Développement Durable et d’Égalité des Territoires (SRADDET). L’urbanisation de Sablassou va à l’encontre de cette logique et n’apporte pas de garanties suffisantes en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre.
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2. Demande de retrait de l’OAP Sablassou
Arguments juridiques et réglementaires :
Incohérence avec la loi Climat et Résilience (loi n° 2021-1104 du 22 août 2021)
Cette loi impose la réduction de l’artificialisation des sols et encourage la préservation des espaces agricoles. L’OAP de Sablassou prévoit la construction d’environ 50 000 m² de surfaces urbanisées, ce qui va à l’encontre de ces orientations.
Menace sur la biodiversité et continuités écologiques
L’Autorité Environnementale (MRAe) a souligné que le projet de PLUi pourrait avoir un impact négatif sur des zones à forte valeur écologique. L’artificialisation des terres de Sablassou risque de compromettre les corridors écologiques essentiels.
Non-respect du principe de réversibilité de l’urbanisation
L’article L.151-11 du Code de l’urbanisme exige que l’urbanisation prenne en compte des mécanismes permettant un retour possible à l’état naturel. Or, l’OAP de Sablassou n’apporte aucune garantie en ce sens.
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3. Demande de mise en place d’un PENAP sur la totalité de la zone A du secteur Sablassou
Arguments juridiques et réglementaires :
Protection des espaces agricoles et naturels périurbains (PENAP, article L.143-2 du Code de l’urbanisme)
La création d’un Périmètre de protection des Espaces Naturels et Agricoles Périurbains (PENAP) sur l’ensemble de la zone A permettrait de protéger durablement cette zone agricole nourricière de l’étalement urbain.
Compatibilité avec les objectifs de transition écologique et alimentaire
La Métropole affiche une volonté de développer une agriculture locale et résiliente face aux crises climatiques. L’urbanisation de Sablassou est en contradiction avec ces objectifs.
Non-prise en compte du Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT)
Le SCoT impose une préservation des espaces agricoles stratégiques. Une urbanisation sur la zone A du secteur Sablassou contrevient à ces orientations et compromet la souveraineté alimentaire locale.
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4. Demande de lancement d’une étude indépendante sur l’emplacement futur de la Clinique du Parc
Arguments juridiques et réglementaires :
Application du principe de précaution (article L.110-1 du Code de l’environnement)
Compte tenu des enjeux environnementaux et fonciers liés à l’implantation de la Clinique du Parc, une étude indépendante en collaboration avec l’Agence Régionale de Santé (ARS) est nécessaire avant toute décision d’implantation.
Conformité avec l’avis de la MRAe
L’Autorité Environnementale a relevé l’insuffisance des justifications sur l’impact environnemental et la consommation foncière de ce projet. Une étude indépendante permettrait d’évaluer des alternatives plus respectueuses de l’environnement et du cadre de vie des habitants.
Manque de transparence dans la procédure
L’absence de concertation spécifique sur l’implantation de cet établissement hospitalier renforce la nécessité d’un débat public fondé sur des données indépendantes et impartiales.
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Conclusion
En conséquence, je sollicite :
1. Un avis défavorable sur le projet de PLUi Climat, en raison de son incohérence avec les objectifs de préservation des espaces agricoles et naturels.
2. Le retrait de l’OAP Sablassou, pour préserver les terres nourricières et limiter l’artificialisation.
3. La mise en place d’un PENAP sur la totalité de la zone A du secteur Sablassou, afin de garantir la protection à long terme de ces terres agricoles.
4. La réalisation d’une étude indépendante sur l’implantation de la Clinique du Parc, avant toute décision de modification du zonage.
Contribution n°240 (Web)
Déposée le 3 février 2025 à 23h16
Pas d’effet négatif sur le paysage et le patrimoine, voire des effets positifs !
Comment des immeubles de 6 à 14 étages ne peuvent pas avoir d'effet négatif sur le paysage ?
Les effets sur le trafic et les mobilités issus du projet resteraient localisés mais devraient être mis en perspective de la gestion des flux et des trafics à venir à l’échelle communale. C'est de pire en pire chaque année, je n'ai rien vu de mis en perspective à LATTES pour améliorer ces dernières années le trafic. Les personnes qui font ces évaluations vivent elles sur le secteur ?
Cette absence d’effet sonore majeur issue du projet n’aurait pas non plus d’incidences sur le PLU à l’échelle communale. Et à l'échelle locale, les weekends et jours fériés, une telle densité de personnes va inéluctablement générer des nuisances.
Le projet n’aurait pas d’effets significatifs sur la qualité de l’air à l’échelle locale ni à l’échelle communale et n’aurait pas d’incidences sur le PLU.
Comment une densification de la zone avec les difficultés de déplacement locale déjà existant peuvent ne pas avoir d'effet significatifs par l'ajout 3000 logements ?
Sous prétexte de l’urgence climatique il faut construire sans prendre en compte la qualité de vie des riverains ni la cohérence par rapport aux constructions l’existante.
Contribution n°239 (Web)
Déposée le 3 février 2025 à 23h13
Contribution n°238 (Web)
Déposée le 3 février 2025 à 23h04