Contribution n°15 (Web)
Déposée le 30 janvier 2025 à 03h36
Les mille contributions de la dernière enquête publique du mois de juillet n’ont donc pas été prises en compte.
A quoi bon faire des enquêtes si l’on entend pas les castelnauviens.
Espérons que nos voix seront écoutées dans cette nouvelle enquête.
Contribution n°14 (Web)
Déposée le 29 janvier 2025 à 20h04
Cette modification de zonage a un impact direct sur l’environnement immédiat et la qualité de vie de notre quartier: de nombreuses parcelles pavillonnaires ( R+1) pourraient être transformées en habitat de 3 étages jusqu’à 14m de hauteur ( zone UC 1-1 en R+3 visant à créer une « dominante d'habitat collectif »), alors que le zonage précédent se limitait 8m maximum de hauteur.
Je souhaite vivement qu'il y ait une modification du PLUi avec une baisse de la hauteur maximale pour:
-ne pas porter atteinte à la salubrité publique des habitations existantes ( R111-2 du code de l’urbanisme) : certaines pièces principales de maisons pavillonnaires verraient leur luminosité grandement impactées
-ne pas passer de séquences homogènes de R+1 existantes à des R+3 de 14 m de haut: il y aurait une forte dégradation de l'intégration architecturale et des perspectives paysagères : surtout avec une emprise bâtie qui n’est pas règlementée ( cf article 4 du règlement UC1-1).
- maintenir un cadre de vie auquel nous sommes très attachés,
-préserver un ensoleillement et une végétalisation, porteurs de qualités environnementales et paysagères, mais aussi de salubrité publique.
-préserver le caractère patrimonial de certains bâtiments ( stèle de déporté, ancienne briquerie...)
-ne pas renforcer la fissuration déjà existante sur certaines maisons ( sols argileux)
Je vous remercie par avance pour l'attention que vous porterez à ma demande
Bien cordialement
Contribution n°13 (Web)
Déposée le 29 janvier 2025 à 19h08
Demande de prolongation et amélioration de l'enquête publique sur le PLUi
Je souhaite attirer votre attention sur les insuffisances flagrantes de la procédure d’enquête publique relative au Plan Local d’Urbanisme intercommunal (PLUi). Cette enquête, qui revêt une importance capitale pour l’avenir de notre territoire, ne garantit pas les conditions minimales de participation démocratique des citoyens.
L’enquête publique est un outil fondamental de la démocratie participative. Comme le rappelle le président du Tribunal Administratif de Montpellier dans la notice à l’usage des commissaires enquêteurs : « La loi Bouchardeau du 12 juillet 1983 définit l’enquête publique comme une procédure ayant pour objet d'informer le public et de recueillir ses appréciations, suggestions et contrepropositions (...). Elle constitue le texte fondateur des enquêtes publiques modernes. »
Cette exigence de transparence et de participation a été renforcée par des textes internationaux tels que la convention d’Aarhus (1998), des directives européennes et la Charte de l’environnement de 2005.
Or, à Castelnau-le-Lez, les citoyens sont maintenus à l’écart de cette procédure essentielle :
• Aucun registre papier ou numérique disponible en mairie,
• Aucune permanence prévue sur la commune,
• Une durée d’enquête réduite à 31 jours, insuffisante au regard des enjeux et de la complexité et lourdeur des documents à consulter,
• Des prises de positions publiques et répétées du Maire de Castlenau-le-Lez qui ne sont pas en adéquation avec les dispositions du PLUi soumis à l’enquête publique.
À titre de comparaison :
• À Toulouse Métropole : 43 jours d’enquête publique, avec 44 créneaux différents pour rencontrer la commission d’enquête.
• À Montpellier Métropole : seulement 31 jours et 9 créneaux différents.
Pourquoi une telle différence de traitement ? Pourquoi nos citoyens seraient-ils moins considérés que ceux d’autres métropoles ? Cette situation renforce un sentiment d’opacité et d’injustice, d’autant plus que les grands projets immobiliers, eux, bénéficient d’une écoute attentive de certains décideurs.
Face à cette atteinte grave à la démocratie locale, je me permets de vous solliciter pour :
1. La prolongation de la durée de l’enquête publique afin de garantir une réelle prise en compte des avis des habitants.
2. L’organisation de permanences à Castelnau-le-Lez pour que les citoyens puissent rencontrer la commission d’enquête.
3. La mise à disposition d’un registre papier et numérique en mairie, comme cela devrait être le cas dans une démarche de concertation digne de ce nom.
Je vous remercie de l’attention bienveillante que vous porterez à cette demande, et reste à votre disposition pour toute information complémentaire.
Dans l’attente d’une réponse positive, je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur les commissaires enquêteurs, mes salutations respectueuses.
Richard CORVAISIER
Conseiller municipal d'opposition
www.twitter.com/CorvaisierR
www.facebook.com/CorvaisierR/
Document joint
Contribution n°12 (Web)
Déposée le 29 janvier 2025 à 17h27
Nous avons besoin des surfaces agricoles pour des raisons de biodiversité et climatiques.
Oui à un projet de revitalisation du centre de notre commune.
Contribution n°11 (Web)
Déposée le 29 janvier 2025 à 17h21
Je suis pour un projet qui revitalisera et rénovera le centre de notre commune.
Contribution n°10 (Montpellier Méditerranée Métropole)
Déposée le 29 janvier 2025 à 09h00
Documents joints
Contribution n°9 (Web)
Déposée le 29 janvier 2025 à 15h36
Les alertes sur le dérèglement climatique sont sans appel : la sécurité alimentaire, la préservation des sols agricoles et des ressources en eau sont des objectifs vitaux, nous disent les experts du GIEC.
Le Schéma de Cohérence Territorial (SCoT) a pour objectif de «préserver les terres à vocation agricole, assurer leur pérennité à long terme et leur potentiel de valorisation, diversifier la production pour une agriculture nourricière et durable». La préservation des zones agricoles irrigables est l'une des priorités du Plan Local d’Urbanisme Intercommunal (PLUi).
La production agricole étant la première touchée par le dérèglement climatique, la résilience alimentaire doit être une priorité alors que les vagues de chaleur, les sécheresses mais aussi les épisodes de pluies violentes se multiplient.
Pour ces raisons, les terres agricoles irriguées de Sablassou, au sud de Castelnau-Le-Lez, constituent un patrimoine de grande valeur aux portes d’une Métropole de 500 000 habitant.es. Ces terres fertiles et irrigables sont un bien commun inestimable. Elles peuvent d’ores et déjà alimenter en légumes frais et de qualité la restauration scolaire. Ces terres ne nous appartiennent pas, elles appartiennent à nos enfants. Elles doivent être sanctuarisées aujourd’hui pour les générations futures.
DES TERRES IRRIGABLES POUR FAIRE FACE AUX SÉCHERESSES
Une nappe phréatique de faible profondeur est présente au sud de Castelnau comme à Montpellier. Elle permet, depuis des centaines d’années, une irrigation gravitaire des cultures. Pour preuve, 50 puits et équipements hydrauliques ont été recensés sur ce territoire par le Service Connaissance et Inventaire des Patrimoines de la Région Occitanie (1). La Métropole de Montpellier, qui fait de la Culture une de ses priorités, se doit de préserver ces norias du 17e et 18e siècles.
Or les constructions d’immeubles proches de Sablassou pompent en permanence l’eau de cette nappe pour l’excavation et la construction des sous-sols et la rejettent dans les réseaux d'eaux pluviales ; ceci serait la cause de l'abaissement du niveau de l'eau.
Enfin, la bétonisation des sols empêche le rechargement de la nappe phréatique et dégrade la qualité de l’eau, du fait des dépôts d’hydrocarbures et autres polluants.
De plus, le Réseau Hydraulique Régional, alimenté par le canal du Bas Rhône Languedoc (BRL) permet d’irriguer tout le territoire de Sablassou. Ce réseau d'irrigation, financé par des fonds publics, est un équipement d'intérêt général indispensable pour assurer la sécurité alimentaire.
Il est temps de suivre les indications du PLUi, de prendre les décisions de préservation des sols agricoles et de protection de nos ressources en eau !
SABLASSOU : UN TERRITOIRE À HAUT POTENTIEL AGRONOMIQUE
Ce territoire, aux portes de Montpellier, a depuis longtemps été dédié à l’agriculture et au maraîchage, pour preuve un dense réseau de « villas romaines » d’exploitation agricole.
Le résultat de l'étude (2) réalisée par des élèves ingénieur.es de l’Institut Agro de Montpellier est sans appel : le territoire du Sablassou présente un fort potentiel agronomique. Les sols de Sablassou sont profonds, en terrains plats. Sableux et limoneux, ils sont très fertiles et propices à une agriculture paysanne. Ce territoire est en outre riche en biodiversité.
Artificialiser ces terres serait ouvrir une brèche vers l’urbanisation des 600 hectares de la plaine agricole Est de Montpellier.
SABLASSOU : UN ÎLOT DE FRAÎCHEUR ET UN RÉSERVOIR DE CARBONE
Le quartier de Sablassou est un îlot de fraîcheur vital en limite de zones urbaines de plus en plus denses. Il s'agit d'un des grands poumons verts productifs qu'il convient de protéger et valoriser : c'est un enjeu stratégique pour la Métropole et aussi pour les collectivités voisines.
Le sol sableux dispose d’une forte capacité d’infiltration qui est un atout dans la lutte contre les inondations.
Les sols de Sablassou sont en outre un réservoir de carbone à raison de 50 tonnes par hectare nécessaire pour lutter contre le dérèglement climatique, soit plus de 5000 tonnes de carbone sur l’ensemble de cette zone (3).
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L'intérêt général est de préserver les terres agricoles de Sablassou, d’y installer des maraicher.es pour alimenter les cantines scolaires, d’y développer des lieux de sensibilisation à l’alimentation durable et une agriculture paysanne.
Non à l’artificialisation des terres agricoles en vue d’y déplacer une clinique privée !
Aussi demandons-nous au Président et au Conseil de la Métropole :
· de renoncer à la création d'une réserve foncière sur les terres de Sablassou et de sanctuariser ces terres agricoles fertiles et irriguées ;
· de maintenir l'ensemble du quartier de Sablassou en zone agricole dans le PLUI et d'initier une réflexion qui fera du secteur le grenier de la Métropole : ces terres doivent permettre d'alimenter en fruits et légumes de qualité les populations de la Métropole et notamment la restauration scolaire, d’y initier un projet du type de l’écolothèque pour l’Est de la Métropole, lieu d’éducation à l’alimentation, et de favoriser l’insertion par l’emploi ;
· de diligenter une étude pour identifier des terrains alternatifs pour le déplacement de la Clinique du Parc.
Contribution n°8 (Web)
Déposée le 29 janvier 2025 à 14h37
Ce secteur qui a été construit bien plus que de raison, dont l'accès est très restreint (les camions frottent les murs sur le "chemin" du Lez (sont nom parle de lui même, il s'agit d'un chemin, aujourd'hui emprunté comme une route nationale), doit retrouvé le plus possible son caractère naturel qui l'a caractérisé.
Le potentiel déménagement de la clinique ne doit pas être un tremplin vers plus d'urbanisation mais au contraire une possibilité de corriger les erreurs qui ont été commises.
Contribution n°7 (Web)
Déposée le 29 janvier 2025 à 14h30
avant tout, nous sommes tous d'accords je pense pour dire que les infrastructures routières ne suffisent pas compte tenu de l'accroissement de la population et encore moins de l'accroissement à venir étant donné les ambitions en terme de construction de logements!
pourrions nous reprendre les travaux en cours que sont le COM, LA DEM ! et la mise en place d'une nouvelle sortie d'autoroute sur l'A9??
ensuite, Montpellier n'est plus une ville ou il fait bon vivre, impossible de circuler que ce soit en voiture, à vélo ou en transports quand on vient des communes de la métropole sans perdre 2h ! ce n'est pas admissible de se sentir mis à l'écart! et en ville, avec tous les contournements, sens unique, fermeture du tunnel de la comédie nous polluons, perdons du temps et de l'argent! de la gare au crès il fallait 20 min avant maintenant c'est plus du double !
enfin, concernant le projet de déplacement de la clinique du parc je suis pour mon avis entièrement favorable à son maintien à castelnau le lez et surtout à son implantation sur sablassou. Ne nous laissons pas attendrir par des bobos ecolos qui découvrent aujourd'hui que soit disant, des terres en friche depuis des décennies sont les plus fertiles de la métropole! arrêtez et allez jouer ailleurs! la majorité silencieuse veut conserver une clinique à castelnau ! mais nous ne sommes pas des manifestants bruyants irrespectueux.
sablassou n'a jamais produit quoi que ce soit et vu l'espace préservé dans l'OAP il reste de la place si de bonnes âmes sont prêtes à cultiver sablassou (parce qu'aujourd'hui personne ne le fait)
a part manifester je ne pense pas trouver grand monde pour mettre la mains à la patte et véritablement travailler à l'agriculture urbaine!
également, résident sur la commune du Crès, nous serions tous très favorable à la restructuration de la 113 et à l'ouverture d'une sortie directe depuis l'A9 !
s'il vous plait Monsieur les commissaires enquêteurs ne vous laissez pas berner par des égoïstes malhonnêtes et pensez à la majorité silencieuse qui se plaisait dans cette métropole !
Contribution n°6 (Web)
Déposée le 29 janvier 2025 à 14h27