Contribution n°1 (Web)
Par CHEVREL, Emmanuel et CASTAING Denis
Déposée le 20 février 2025 à 19h13
Déposée le 20 février 2025 à 19h13
Votre projet de centrale photovoltaïque va s'inscrire dans un paysage déjà extrêmement dégradé par la présence de lignes à haute tension.
Il nous semble donc impératif que son impact visuel soit nul. Le postulat de départ ne peut être : « puisque ce paysage est déjà très dégradé, ce n'est pas un panneau solaire de plus ou de moins qui changera l'affaire ».
Les habitants et promeneurs qu'ils soient à pied, à bicyclette ou en voiture ne doivent être gênés à aucun moment par la présence de la centrale.
Nous avons lu dans l'étude d'impact qu' « afin de réduire la relation visuelle entre les panneaux et les usagers de l'ensemble des routes départementales, des haies seront plantées le long du projet, parfois en contact avec les routes. Un bosquet sera de même planté au niveau du croisement en direction de la Chaleur depuis la route communale au nord (panorama n°23). Cette
mesure participera à l'intégration du projet dans le périmètre immédiat. »
Lorsqu'on examine le plan, il apparaît que des haies ne sont plantées que sur une partie du pourtour des différentes parcelles. Cela n'est pas suffisant. Des haies doivent être plantées tout autour des parcelles pour que la centrale ne soit visible sous aucun angle et éviter ainsi toute nouvelle pollution visuelle dans ce secteur déjà très abimé.
Concernant l'entretien, il est indiqué qu'un arrosage sera prévu « 3 fois par an ».
Tout jardinier, qu'il soit professionnel ou amateur, sait qu'après leur plantation les végétaux doivent être arrosés régulièrement les premières années. 3 arrosages seront donc nettement insuffisants surtout si nous connaissons des sécheresses comme par le passé. De plus, les terrains du plateau sont pauvres en substrats et très caillouteux.
Nous serons particulièrement vigilants quant à la pérennité des plantations réalisées pour annuler l'impact visuel de la centrale photovoltaïque et demandons que des engagements soient pris en ce sens.
Il nous semble donc impératif que son impact visuel soit nul. Le postulat de départ ne peut être : « puisque ce paysage est déjà très dégradé, ce n'est pas un panneau solaire de plus ou de moins qui changera l'affaire ».
Les habitants et promeneurs qu'ils soient à pied, à bicyclette ou en voiture ne doivent être gênés à aucun moment par la présence de la centrale.
Nous avons lu dans l'étude d'impact qu' « afin de réduire la relation visuelle entre les panneaux et les usagers de l'ensemble des routes départementales, des haies seront plantées le long du projet, parfois en contact avec les routes. Un bosquet sera de même planté au niveau du croisement en direction de la Chaleur depuis la route communale au nord (panorama n°23). Cette
mesure participera à l'intégration du projet dans le périmètre immédiat. »
Lorsqu'on examine le plan, il apparaît que des haies ne sont plantées que sur une partie du pourtour des différentes parcelles. Cela n'est pas suffisant. Des haies doivent être plantées tout autour des parcelles pour que la centrale ne soit visible sous aucun angle et éviter ainsi toute nouvelle pollution visuelle dans ce secteur déjà très abimé.
Concernant l'entretien, il est indiqué qu'un arrosage sera prévu « 3 fois par an ».
Tout jardinier, qu'il soit professionnel ou amateur, sait qu'après leur plantation les végétaux doivent être arrosés régulièrement les premières années. 3 arrosages seront donc nettement insuffisants surtout si nous connaissons des sécheresses comme par le passé. De plus, les terrains du plateau sont pauvres en substrats et très caillouteux.
Nous serons particulièrement vigilants quant à la pérennité des plantations réalisées pour annuler l'impact visuel de la centrale photovoltaïque et demandons que des engagements soient pris en ce sens.
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