Contribution n°1174 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h43
Votre argumentation met en lumière des points cruciaux, tels que la santé des animaux, les nuisances pour les riverains et l'impact environnemental. La concentration d'animaux dans un espace restreint peut effectivement poser des problèmes de bien-être animal et de santé publique, tout en ayant des répercussions sur la biodiversité et les ressources en eau.
Il est également important de considérer les implications à long terme de ce type de projet sur l'alimentation humaine et l'empreinte carbone. La nécessité d'un modèle d'élevage plus durable, basé sur des pratiques respectueuses de l'environnement, est un enjeu majeur pour l'avenir.
Votre appel à rejeter ce projet en raison de son incompatibilité avec les besoins locaux et les urgences environnementales est tout à fait légitime. La mobilisation des citoyens et des collectivités est essentielle pour faire entendre ces préoccupations et influencer les décisions qui affectent notre environnement et notre qualité de vie.
Merci d'avoir partagé votre point de vue. Il est crucial que ces discussions continuent et que toutes les voix soient entendues dans le cadre de cette enquête publique.
Contribution n°1173 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h43
Une aberration écologique ! Un non sens pour le vivant.
Contribution n°1172 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h43
Contribution n°1171 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h43
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Contribution n°1170 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h43
Contribution n°1169 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h43
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Contribution n°1168 (Web)
Contribution n°1167 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h43
Contribution n°1166 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h43
On parle d'animaux, d'êtres sensibles !
On doit les laisser sauvages ou alors on doit prendre soins d'eux !
Contribution n°1165 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h43