Les contributions

Contribution n°421 (Web)

Par Jeanluc Bottollier
Déposée le 22 février 2025 à 09h43
Bonjour Les consommateurs ne veulent pas d'une industrialisation à outrance de l'élevage.Toutes ces dérives observées depuis des décennies [...]
Bonjour Les consommateurs ne veulent pas d'une industrialisation à outrance de l'élevage.Toutes ces dérives observées depuis des décennies nous mène vers un monde impossible pour les générations futures. Les petites manigances financières d'aujourd'hui nous abimerons tous demain. Il n'est pas possible d'avoir autant d'irrrespect pour la vie sous toutes ses formes. Décideur n'êtes-vous pas des êtres vivants ? Tous les excès sont nuisibles à la fois pour les animaux mais aussi pour les humains. Sachez l'entendre
Merci De respecter le souhait des citoyens.

Contribution n°420 (Web)

Par TALLON Anne
Déposée le 22 février 2025 à 09h43
Vous pouvez rester anonyme, mais les contributions signées ont plus de poids. Nous vous proposons ici un texte-type, mais n'hésitez [...]
Vous pouvez rester anonyme, mais les contributions signées ont plus de poids. Nous vous proposons ici un texte-type, mais n'hésitez pas à l'ajuster selon votre personnalité (plus les contributions sont distinctes, plus elles sont prises en compte) :



Je m'oppose vivement à la nouvelle mise en scène de ce projet de ferme-usine



Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.



Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.



Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.

Contribution n°419 (Web)

Anonyme
Déposée le 22 février 2025 à 09h43
La consommation de viande est l'un des premiers vecteurs de pollution de l'environnement. Ce projet n'est pas soutenable quand on [...]
La consommation de viande est l'un des premiers vecteurs de pollution de l'environnement. Ce projet n'est pas soutenable quand on connaît les enjeux écologiques auxquels notre planète fait face. Il n'est pas non plus en faveur du bien-être animal. Pourquoi ne pas souteni l'élevage pour des protéines animales de qualité plutôt que de quantité ?

Contribution n°418 (Web)

Anonyme
Déposée le 22 février 2025 à 09h43
Défigurer une région pour exporter de la viande de basse qualité, non. Outre les désagréments locaux, les transports, la pollution [...]
Défigurer une région pour exporter de la viande de basse qualité, non. Outre les désagréments locaux, les transports, la pollution des eaux souterraines, c'est la fuite en avant juste pour l'argent. Gardons notre terroir aussi naturel que possible, nos enfants devront pouvoir y vivre sainement.

Contribution n°417 (Web)

Par Lemaire Emilie
Déposée le 22 février 2025 à 09h43
Je m'oppose vivement à la nouvelle mise en scène de ce projet de ferme-usine



Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 [...]
Je m'oppose vivement à la nouvelle mise en scène de ce projet de ferme-usine



Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.



Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.



Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.

Contribution n°416 (Web)

Par Pierozynska Justyna
Déposée le 22 février 2025 à 09h43
Je donne un avis défavorable à cause des nuisances sonores,olfactives et polluantes.

Contribution n°415 (Web)

Par Virginie Brochier
Déposée le 22 février 2025 à 09h43
Je m'oppose vivement à la nouvelle mise en scène de ce projet de ferme-usine

Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes [...]
Je m'oppose vivement à la nouvelle mise en scène de ce projet de ferme-usine

Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.

Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.

Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.

Cordialement

Contribution n°414 (Web)

Anonyme
Déposée le 22 février 2025 à 09h42
En tant que citoyenne soucieuse du monde à venir et en raison des nuisances inhérentes à ce projet, je m oppose à sa réalisation.

Contribution n°413 (Web)

Par Demanez Monique
Déposée le 22 février 2025 à 09h42
Pauvres vaches (qui nous font confiance!!!) et pauvres nous...
Qualité svp
et deux dix moins de viande dans nos repas

Contribution n°412 (Web)

Par Lafoscade marc
Déposée le 22 février 2025 à 09h42
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en [...]
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.

Apportez votre contribution à cette enquête publique : Déposer une contribution

Apportez votre contribution

Déposer un avis sur le registre dématérialisé de cette enquête publique est simple, sécurisé et si vous le souhaitez anonyme.

Il vous reste encore 1 jour.

Déposer une contribution