Les contributions

Contribution n°49 (Web)

Anonyme
Déposée le 11 février 2025 à 15h18
Au vu du contexte actuel la de création d'un centre d'engraissement me semble être une aberration.

Contribution n°48 (Web)

Par ISAIA Marie
Déposée le 11 février 2025 à 15h18
Ce projet, déjà controversé, aura un impact environnemental significatif, affectant la qualité de vie des riverains et soulevant des [...]
Ce projet, déjà controversé, aura un impact environnemental significatif, affectant la qualité de vie des riverains et soulevant des questions sérieuses sur le bien-être animal. Une telle concentration d'animaux peut entraîner une pollution importante des sols et des étangs due aux déjections animales, contribuant ainsi à bouleverser l'écosystème local. Les émissions sonores et olfactives nuiront également à la qualité de vie des habitants.
En outre, les conditions d'élevage des animaux dans des fermes industrielles sont une source majeure d'inquiétude. L'éthologue Temple Grandin a souligné que ces environnements peuvent causer du stress aux animaux en raison du manque d'espace et des mauvaises conditions sanitaires.

Contribution n°47 (Web)

Par Amandine
Déposée le 11 février 2025 à 15h02
Je suis contre l’ouverture de cet élevage !

Contribution n°46 (Web)

Par Emilie
Déposée le 11 février 2025 à 14h02
Je suis totalement contre ce projet.

Contribution n°45 (Web)

Par Guillon Anne Christine
Déposée le 11 février 2025 à 13h40
NON à ce projet!!!
Un projet d’élevage intensif de 3 000 vaches en Haute-Vienne soulève évidemment de nombreuses préoccupations [...]
NON à ce projet!!!
Un projet d’élevage intensif de 3 000 vaches en Haute-Vienne soulève évidemment de nombreuses préoccupations majeures, tant sur le plan du bien-être animal que sur les impacts environnementaux et sanitaires.
1. Bien-être animal : Les vaches seraient confinées, privées de pâturage, soumises au stress et aux maladies.

2. Santé publique : Risques accrus d’antibiorésistance et propagation de maladies liées aux élevages intensifs.

3. Impact environnemental : Pollution des sols et de l’eau, émissions massives de méthane contribuant au changement climatique. Un tel élevage générerait une pollution massive. Les vaches produisent du méthane, un gaz à effet de serre 25 fois plus puissant que le CO₂. Avec 3 000 vaches, les émissions seraient colossales.

Pollution des sols et de l’eau : Les effluents d’élevage (déjections, lisiers) risquent de polluer les nappes phréatiques et les rivières environnantes...

4. Modèle agricole destructeur : Menace pour les petites exploitations locales et accentuation de l’industrialisation de l’élevage.

Soyez cohérents :
Ce projet va à l’encontre du bien-être animal, de l’écologie et d’une agriculture plus durable.

Contribution n°44 (Web)

Anonyme
Déposée le 11 février 2025 à 11h53
Non à ce projet

Contribution n°43 (Web)

Par Robinet François
Déposée le 11 février 2025 à 11h27
Ancien ingénieur thermicien, spécialiste de la gestion des énergies et de l’environnement, aujourd’hui à la retraite, reconverti en [...]
Ancien ingénieur thermicien, spécialiste de la gestion des énergies et de l’environnement, aujourd’hui à la retraite, reconverti en agriculteur éleveur d’équidés.
Ci-après, ma vue de ce dossier en espérant que ce coup de gueule sera lu par une ou des personnes responsables.
La vie rurale étant pour moi le sang de la France je me suis toujours intéressé au monde agricole qui représente la vie et la survie de la Nation France.
C’est dans cet esprit-là que j’ai été un des très rares habitants de la commune à avoir analysé en détail le premier dossier de demande d’autorisation environnementale « Terre de Chavaignac » présenté par T’Rhéa.
J’avais été très agréablement surpris par la qualité de ce dossier et surtout de son opportunité dans la crise agricole majeure que traverse aujourd’hui l’UE et plus spécifiquement la France.
J’avais juste retoqué trois points et le refus essuyé par cette demande m’a semblé parfaitement justifié, reprenant des points que j’avais mis moi-même en exergue.
C’est donc avec la même rigueur que j’ai analysé cette demande modifiée présentée par T’Rhéa aujourd’hui.
C’est avec une grande colère que j’ai appris, qu’avant même qu’un seul conseiller municipal n’ait analysé ce nouveau dossier en détail, que le Conseil municipal de la mairie de Peyrilhac a voté contre ce projet à une courte majorité !
Il s’agit là d’un vote idéologique qui va à l’encontre des intérêts de la commune et surtout de l’intérêt économique et social des agriculteurs-éleveurs qui sont la seule vraie richesse de cette commune rurale.
Veuillez essayer de prendre un peu de votre temps, que je me doute précieux, pour prendre connaissance de l’argumentaire qui suit.
Analyse des faits :
Nous sommes sollicités aujourd’hui pour collecter plus d’informations sur le projet T’Rhéa de Chavaignac pour que les organismes publics concernés puissent prendre une décision en leur pleine conscience et en occultant les dogmes et idéologies politiques.
Malheureusement le bon sens est souvent exclu des débats au profit des dogmes et d’une division du Peuple Français qui date du 17 septembre 1789 :
« Messieurs les partisans du veto royal mettez-vous à droite, ceux qui y sont hostiles se mettent à gauche (dans l’hémicycle du parlement) »
Depuis ce jour, cette division droite/gauche, qui n’a plus grande signification, est le plus grand obstacle pour tout projet impactant toute collectivité.
Aujourd’hui, il est temps d’analyser, avec le bon sens comme seul juge, les plus et les moins du projet T’Rhéa de Chavaignac.
Une première question : pourquoi ce projet parfaitement présenté ?
On est en effet en droit de se poser cette question, surtout depuis la dépose d’un projet modificatif qui ramène le projet initial à 2120 têtes, donc ce qui existe à ce jour.
Toute personne ayant quelques connaissances en droit agricole sait fort bien que le projet tel qu’il a été présenté initialement n’a besoin d’aucune autorisation environnementale s’il est réparti entre plusieurs entreprises, par exemple Chavaignac1, Chavaignac2, Puymaud, voir le Mas du Bost, chacune respectant le cota maximum légal de têtes de bétail.
Pour quelle raison donc présenter ce projet sous une forme globale ?
La première réponse est que T’Rhéa se veut être un acteur économique majeur de la commune et du département dans le domaine de l’élevage comme sur d’autres régions du Sud de la France. Et ce en parfaite transparence et en partenariat avec la préfecture.
Ce positionnement est valorisant pour la commune où se développe ce projet, pour le département en renforçant certaines de ses positions économiques et sociales, pour la Région pour les mêmes raisons et pour le porteur de projet d’être reconnu comme une entreprise qui respecte le fond et la forme et n’utilise pas le passage en force qui est pourtant légalement à sa portée.
Cette valorisation sera élevée au niveau national avec « La plus grande ferme de France ».
Dans cette analyse il est également nécessaire de prendre conscience de la conjoncture départementale.
Comme l’a fait remarquer Monsieur le Préfet, lors de l’examen de ce projet avec ses services, T’Rhéa représente la plus grande partie de l’activité d’abattage de l’abattoir de Limoges.
Aujourd’hui T’Rhéa, dans son souci permanent de valorisation du territoire, fait abattre à Limoges mais depuis 2021, T’Rhéa via sa filiale Carnivor, bien connue pour la qualité de ses produits, est propriétaire de l’abattoir de Thiviers, de Brive mais également d’autres abattoirs proches.
Avec quelques investissements mineurs, T’Rhéa peut se passer de l’abattoir de Limoges et augmenter la rentabilité de ses propres abattoirs.
Comme l’a indiqué Monsieur le Préfet, ce serait une catastrophe pour le département et la Région.
On dit, d’une manière courante, que la fermeture d’un abattoir a les mêmes conséquences sociales et économiques que la fermeture d’un petit hôpital.
Le projet T’Rhéa de Chavaignac, tel qu’il est présenté, s’il est validé, assure la pérennité régionale de toute une filière, ce que les services de la préfecture ont bien fait ressortir au cours de la première enquête publique.
L’aboutissement de ce projet en l’état est donc un grand plus pour les agriculteurs régionaux et pour la commune de Peyrilhac avec un « bonus » qui est l’aménagement des secteurs de la Roche et de Chavaignac assuré par le porteur du projet.
Son Maire, en bon gestionnaire du bien public, en est parfaitement conscient.
Je répète ici que Monsieur le Préfet, lors de l’examen de ce projet avec ses services, a bien mis en exergue tous ces points et qu’il ne pourrait qu’être reconnaissant à la commune de Peyrilhac d’avoir consolidé, avec une pierre d’angle, une partie économique importante pour le département.
Dans tout dossier, il est indispensable d’analyser les diverses facettes.
Le bon sens étant parfois occulté par les dogmes, le fameux clivage évoqué ci-avant étant souvent destructeur, que se passera-t-il à la suite du refus purement dogmatique du Conseil Municipal de Peyrilhac alors même que TOUS les agriculteurs et éleveurs de bovins de la commune et des communes environnantes sont pour !!
Sur le plan visible en fonctionnement sur le terrain rien !
En effet, tout continuera à fonctionner comme ce jour via l’exploitation de Monsieur Emmanuel Thomas.
La seule différence sera d’ordre juridique avec la création de plusieurs entités, ce qui permettra de monter facilement et tout à fait légalement le cheptel à trois mille têtes, voire plus.
En revanche, tout un processus destructeur style dominos va intervenir.
Le premier sera la défiance de T’Rhéa envers la commune et donc les retombées économiques ne seront plus celles escomptées pour cette dernière.
Sur le plan de l’image cela aura un effet catastrophique pour tout analyste extérieur qui classera la commune de Peyrilhac comme une commune où il ne fait pas bon de monter un projet un peu conséquent et d’investir.
Pour tous les agriculteurs/éleveurs impactés par ce projet, la rentabilité de leurs exploitations ne sera plus pérennisée comme elle pourrait l’être et devient aléatoire.
Sur le plan départemental, il s’agira d’une catastrophe sociale et économique, comme Monsieur le Préfet a tenu lui-même à le souligner au sein de ses services, avec la fermeture inéluctable, à terme, de l’abattoir de Limoges, T’Rhéa n’ayant plus aucune raison de faire abattre à Limoges et augmentera de fait la rentabilité de ses propres abattoirs.
Il faut donc être conscient qu’au niveau départemental et surtout préfectoral, la commune de Peyrilhac sera marquée au fer rouge d’une manière indélébile.
Vis-à-vis de la préfecture, la commune de Peyrilhac sera reconnue comptable de la fermeture, à terme, de l’abattoir de Limoges.
Quel serait donc l’intérêt de la commune de Peyrilhac en s’opposant à ce projet puisque tout ce qui est présenté comme des nuisances subsiste voire augmente mais que tous les bénéfices liés à la réussite de ce projet disparaissent ?
Comment se fait-il que tous les articles de presse soient systématiquement contre sans jamais fournir aucun argument ?
La désinformation règne dans ce genre de presse où l’auteur va même jusqu’à se poser la question :
https://www.lepopulaire.fr/limoges-87000/economie/les-gens-doivent-savoir-ce-qu-ils-mangent-one-voice-alerte-sur-l-elevage-intensif-en-haute-vienne_14635321/
oubliant que le sujet même de ce projet est l’engraissement de bovins A L’HERBE !!
Je le redis ici haut et fort, il ne s’agit pas de prendre une position dogmatique voir idéologique sur ce projet mais de regarder, avec le bon sens paysan et un esprit cartésien, l’intérêt social et économique des agriculteurs et de la commune dans un total respect environnemental comme son maire en la personne de Monsieur Claude Compain l’a toujours fait.
Une analyse rationnelle des plus et des moins doit être à la base de toute décision.
Malheureusement, la présence d’un représentant de Terre de Liens en parfait anachronisme avec le projet initial, lors d’une réunion exceptionnelle du Conseil Municipal le 18/11 aurait tendance à prouver que la dérive idéologique et dogmatique allant à l’encontre de l’intérêt des agriculteurs et de la commune est déjà en marche.
Ce Conseil Municipal exceptionnel aura permis aux agriculteurs de s’exprimer et de montrer qu’ils étaient unanimement favorables à ce projet qui est pour eux une vraie bouée de sauvetage pour l’avenir de la filière bovine dans cette région du Limousin.
Un jour un Sage a bouté les marchands hors du Temple.
Mon souhait le plus vif serait qu’un Sage apolitique mais attaché à la bonne gestion sociale et économique de notre commune rurale se lève et boute hors des décideurs responsables de sa bonne gestion les politiciens dogmatiques et endoctrinés qui ne se préoccupent absolument pas des intérêts de la commune et de ses habitants mais uniquement de suivre l’idéologie d’un parti politique.
L’avis des agriculteurs, seule source vive de la commune, doit toujours être prépondérant dans toutes les prises de décisions qui impactent durablement l’économie de la commune.
Désolé de cette diatribe un peu colérique mais lorsque l’on analyse l’actualité économique agricole et que l’on constate que par pure idéologie politique une courte majorité municipale endoctrinée puisse voter contre ce projet a un côté révoltant.
Un élu est là pour défendre les intérêts de la commune et de ceux qui sont la source même de sa vie et non pour promouvoir un dogme politique.
Cette crise de mauvaise humeur passée, je ne peux que remettre en avant la qualité de ce dossier qui ramène le cheptel à l’existant.
La sécurisation du plan d’épandage avec la nouvelle étude de la chambre d’agriculture sécurisant ce point sensible et important.
Ce point est extrêmement important car les dernières recherches prouvent que l’enrichissement des terres par des engrais organiques (fumier) augmente le stockage carbone des terres ainsi traitées.
https://lenergeek.com/2024/11/24/decouverte-revolutionnaire-engrais-organiques-transforment-durablement-terres-agricoles/
Les opposants à ce projet ne peuvent même pas se cacher derrière de faux arguments climatiques pseudo écologiques !
Merci à ceux qui auront eu la patience de me lire jusqu’au bout.
Souhaitons que le Bon Sens perdure et soit le seul juge.

Document joint


Contribution n°42 (Web)

Anonyme
Déposée le 11 février 2025 à 10h48
NON à la création d'un centre d'engraissement de bovins Terres de Chavaignac! est ce que ce monde est sérieux! Comment est il possible [...]
NON à la création d'un centre d'engraissement de bovins Terres de Chavaignac! est ce que ce monde est sérieux! Comment est il possible en France en 2025 dans un pays soit disant "civilisé" de pouvoir envisager un tel modèle de souffrance pour les animaux! car vous n'êtes bien évidemment pas sans savoir que les animaux sont entassés sans aucun respect pour leurs comportements naturels, ni leur bien être!! Pour citer Ghandi :"On peut juger de la grandeur d'une nation par la façon dont les animaux y sont traités"

Contribution n°41 (Web)

Anonyme
Déposée le 11 février 2025 à 10h37
Ceci est une aberration à tout les niveaux. Ce sont des modèles d'exploitations auxquels nous devons mettre un terme pour tenter [...]
Ceci est une aberration à tout les niveaux. Ce sont des modèles d'exploitations auxquels nous devons mettre un terme pour tenter de sauver ce qui peut encore l'être. Les sols sont pollués, l'eau est polluée ,la biodiversité est éradiquée, exterminée, les animaux vivent l'enfer et encore c'est un euphémisme. Avec cette exploitation vous allez encore creuser notre tombe. Et celles des éleveurs que vous prétendez défendre. Les gens 'e veulent plus de ces modèles. La consommation doit être limitée, les monocultures doivent êtres diminuées pour redonner place à des écosystèmes vertueux à tout les niveaux. Bref nous sommes évidemment contre ce projet. Les animaux ne sont pas des objets, des machines, ni des machines à sous. Si vous êtes bon à rien pour trouver des modèles plus vertueux et plus sains c'est qu'il est grand temps de céder vos places !

Contribution n°40 (Web)

Anonyme
Déposée le 11 février 2025 à 10h00
Bonjour,
75% des Français sont contre l'élevage intensif.

L'élevage intensif c'est une abomination pour le respect du vivant et [...]
Bonjour,
75% des Français sont contre l'élevage intensif.

L'élevage intensif c'est une abomination pour le respect du vivant et une extrême pollution .

Merci pour les français, merci pour les animaux

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