Contribution n°238 (Web)
Déposée le 20 février 2025 à 10h48
préambule
Ce projet n a qu un but de profit au bénéfices de quelqu uns au méprit de l intéret général .
C est une captation des terres agricoles par une grande firme au détriment d une agriculture à taille humaine et la depossession des agriculteurs de leur outil de travail .
Outre les nombreuses incoherences dans le dossier concernant les volumes d eau , la gestion des épendages ect qui ont été mis en évidence lors de la 2 eme réunion publique à perillhac et qui seront relevées par d autres , je tiens à pointer ici le rapport établi par la société sofrelim , s appuyant sur le diagnostique bovivel trouvé dans 03Rapport commissaire enqueteur('annexes partie2 ).pdf .
On peut y lire que le nombre que le nombre d animaux observés est au nombre de 63 (?)Que vaut une telle observation quand on sait qu il en est prévu 2100 ?
Le bilan page 154 donne une qualification exellente et page 155 , il est fait état d une mortalité inquiétante ! chercher la coherence de ce genre de certification , tout va bien mais ça meure beaucoup . Façon de se couvrir en cas de pb ?
Mon avis est donc resolument négatif
Contribution n°237 (Web)
Déposée le 20 février 2025 à 10h28
Contribution n°236 (Web)
Déposée le 20 février 2025 à 09h31
-l'agriculture locale et paysanne en favorisant l'installation de jeunes paysans paysannes mais privilègie l'agro-industrie
-la préservation du territoire sur le plan environnemental : pollution avec le balai incessant des camions, gestion de l'eau, et atteinte à la bio diversité, etc...
- les habitants du territoire, voisins de l'installation, en leur créant des nuisances dépassant celles qui sont acceptables avec des petites installations agricoled en zone rurale
- la juste utilisation des impôts et fonds public pour un projet de société qui soutient une paysannerie qui respecte les producteurs, les consommateurs et l'environnement,
Contribution n°235 (Web)
Déposée le 20 février 2025 à 09h05
Contribution n°234 (Web)
Déposée le 20 février 2025 à 09h03
Le second projet proposé par T’Rhéa n’est pas plus convainquant que le premier.
Certes des propositions sont faites pour résoudre les problèmes environnementaux (odeurs, bruits, trafics agricoles dans le village…), mais aucunes certitudes écrites ne confirment celles-ci. Ce ne sont que des promesses qui ne seront certainement pas tenues.
Il n’est que de constater ce qui ce passe aujourd’hui : malgré les paroles de l’exploitant actuel les tracteurs remorques et bétaillères continuent à circuler dans le village et cela à des heures tardives (plus de 21 h), d’autres part, l’engagement de remettre à l’usage de stockage les 2 premiers bâtiments de Chavaignac 1) au plus près des habitations n’est pas respecté, ils sont toujours occupés par des animaux, occasionnant d’avantage de bruits et d’odeurs, avec un effet négatif pour les plus proches riverains (environ 100m). Par évidence on ne peut pas croire à leurs promesses. Pourtant cela aurait été facile de montrer un signe de bonne volonté de la part de l’exploitant actuel. Cela présage de l’avenir…
Tous ces doutes sur la parole donnée, créent un climat délétère et nous opposent en tant que riverains à la mise en place d’un tel projet.
Des inquiétudes subsistent, dans ce nouveau projet ; il est annoncé 2120 vaches, mais les installations initialement prévues (1er projet) sont maintenues pour 3000 vaches et plus… ???
Quelle vérité se cache sous cette affirmation de réduction du nombre de vaches qui seront présentes sur le site ?
Et que penser :
Du bien-être animal.
Des risques de santé publique.
De l’impact environnemental :
De ce modèle agricole destructeur, avec une menace pour les petites exploitations locales… sans compter les nuisances sous-jacentes que l’on découvrira à la montée en production de l’exploitation.
Rien ne justifie un tel projet…
Si malgré toutes nos contributions ce projet devait aboutir ; il faut que T’Rhéa reprenne l’activité dans sa taille actuelle, avec grand maxi, 1000 à 1200 vaches sur site, (ce qui est déjà énorme) et s’engage par écrit de manière contractuelle à respecter les doléances environnementales et fonctionnelles, demandées et justifiées des riverains.
Pardon aussi de penser à notre bien-être
Documents joints
Contribution n°233 (Web)
Déposée le 20 février 2025 à 08h57
Contribution n°232 (Web)
Déposée le 20 février 2025 à 07h08
Nous voulons des agriculteurs qui élèvent leurs bêtes à l’herbe dehors , des exploitations à taille humaine , des productions qui respectent l’environnement
Contribution n°231 (Web)
Déposée le 19 février 2025 à 22h10
Contribution n°230 (Web)
Déposée le 19 février 2025 à 21h49
Je ne soutien pas ce projet
Contribution n°229 (Web)
Déposée le 19 février 2025 à 21h03
Nuissances sonores, visuelles , pollution des sols environnants et des nappes d'eau,etangs...
Non respect de l'animal à proprement dit...
Laissons plutôt Peyrihac aux vrais éleveurs Limousins!