Contribution n°163 (Web)
Déposée le 17 février 2025 à 17h50
Contribution n°162 (Web)
Déposée le 17 février 2025 à 17h42
Contribution n°161 (Web)
Déposée le 17 février 2025 à 17h21
Contre le projet d'élevage intensif sur les communes Peyrilhac Nieul.
Respectez nos agriculteurs SVP et L'environnement.
Contribution n°160 (Web)
Déposée le 17 février 2025 à 17h04
Je préfère acheter ma viande localement.
Je ne soutiens pas le projet de ce groupe industriel dédié à la vente à l'export.
Je suis pour les vaches qui pâturent, ce sont des herbivores, je ne cautionne pas le système d'élevage en bâtiment.
Contribution n°159 (Web)
Déposée le 17 février 2025 à 16h52
Ayant une résidence secondaire à Peyrilhac je me sens très concernée par l'impact sur notre commune du projet Terres de Chavaignac.
J'interviens d'abord à propos de la réponse de T'RHEA à la recommandation N°6 qui demande quelles sont les MODALITES RETENUES pour le SUIVI de la qualité de l'eau dans les cours d'eau, sur le site (incluant la zone d'infiltration), dans les zones d'épandage et concernant les eaux souterraines.
Dans sa réponse, T'RHEA fait remarquer qu'il n'est pas obligatoire de mettre en place un dispositif de suivi de la qualité des eaux dans le contexte du projet et d’autre part qu’un tel suivi rencontre des obstacles techniques et économiques.
T'RHEA écrit que le suivi ne permettrait pas d'attribuer avec certitude à T'RHEA la cause des impacts négatifs sur la qualité des eaux et donc qu'un suivi serait trompeur quant au responsable de problèmes de qualité de l'eau.
Or on peut objecter que les analyses chimiques, biologiques, ADN etc. permettent dans la plupart des cas d'identifier ou exclure l'origine et la nature des pollutions (exemple : détection de présence d'antibiotiques, de vermifuge etc.). La crainte d'être accusé à tort ne justifierait pas d’éliminer un suivi de la qualité des eaux.
En ce qui concerne l'eau venant des toitures et des espaces de circulation non bétonnés, eau qui sera envoyée sur la zone d'infiltration, T'RHEA annonce un effet favorable sur la zone humide grâce à l'infiltration de cette eau. Or intervenir dans le fonctionnement naturel de la zone humide n'est pas une chose favorable puisque cela enlève à la zone humide une part de son caractère naturel. Qui plus est, cette eau peut avoir été polluée, surtout dans les espaces de circulation.
En ce qui concerne la qualité des eaux souterraines, T'RHEA détaille les techniques de surveillance. Cependant les verbes utilisés sont au conditionnel et il n'y a pas d'engagement à mettre en place cette surveillance.
En fait, dans la réponse de T’RHEA à la recommandation N°6, AUCUNE modalité n’est retenue pour le suivi de la qualité de l'eau : ni dans les cours d'eau, ni sur le site (incluant la zone d'infiltration), ni dans les zones d'épandage, ni concernant les eaux souterraines.
Il me semble évident que, sans dispositif de suivi on ne verra pas (ou on verra bien trop tard!) la dégradation de la qualité des eaux, si elle a lieu, que ce soit en fonctionnement normal ou en fonctionnement accidentel.
Ce manque de précaution constitue, pour l’environnement, un risque qu’il ne faut absolument pas prendre.
J’interviens aussi à cause de la réponse à la recommandation N°3 relative au plan d’épandage et au transfert des baux ruraux.
Cette réponse indique dans quelles conditions Monsieur THOMAS peut transférer ses baux ruraux à une société d’exploitation agricole. Une lettre à T’RHEA des avocats Chagnaud Chabaud &associés est jointe ; elle mentionne la CREATION d’une société d’exploitation agricole. Si ce n’est pas T’RHEA (société de commerce de viande en gros) qui réalise le projet « Terres de Chavaignac » que deviennent les engagements de tous types pris par T’RHEA dans le cadre de l’étude d’impact ?
Je vous remercie de prendre en considération mes observations. Avec mes sincères salutations.
Contribution n°158 (Web)
Déposée le 17 février 2025 à 16h40
NON NON NON
Vive les petites exploitations !!
Contribution n°157 (Web)
Déposée le 17 février 2025 à 16h37
Les nuisances olfactives sont déjà présente et seront encore plus insupportables, avec des odeurs persistantes liées à l’élevage intensif et à l’épandage du fumier. La consommation d’eau sera énorme alors que nous subissons déjà des périodes de sécheresse préoccupantes. L’impact sur la biodiversité sera également dramatique : pollution des sols et des cours d’eau, destruction des habitats naturels, perturbation de la faune locale.
Enfin, la gestion du fumier pose problème, son stockage et son épandage risquent de polluer les nappes phréatiques et de dégrader la qualité de l’eau.
Ce projet n’est ni viable ni raisonnable pour notre territoire. Il doit être stoppé avant d’avoir des conséquences irréversibles sur notre cadre de vie et notre environnement.
Contribution n°156 (Email)
Déposée le 17 février 2025 à 16h00
Mesdames, messieurs,
Concernant le projet de la société T'Rhéa,
je suis contre la ferme-usine :
pour de nombreuses raisons déjà citées* comme inepties écologiques,
agricoles, animales, touristiques... j'ajoute ces raisons :
-le nombre phénoménal de véhicules qui vont circuler dans le sud de la
Haute-Vienne avec la pollution carbone induite -réchauffement planète-
les dommages aux chaussées, le bruit et le stress des animaux
transportés ici et là...
-transport et stockage d’ammonitrates, qui ont montré leur capacité à
faire "boum" à Toulouse, à Beyrouth et qui sont des engrais chimiques...
-les élevages intensifs de volailles sont déjà une plaie avec leurs
risques de contaminations ...
je repense à la crise de la vache folle ...
C'est à donner envie de devenir végétarien, pourtant une vraie viande de
vache limousine sait être délicieuse quand la bête a eu le temps de
brouter paisiblement avec ses copines et le taureau.
Bref l’appât du gain fait vraiment perdre la tête !
*sur ce site
> https://www.registre-dematerialise.fr/5954/contributions
je ne sais pas si ma contribution est passée
Salutations
Edwina
Contribution n°155 (Web)
Déposée le 17 février 2025 à 16h01
Contribution n°154 (Web)
Déposée le 17 février 2025 à 15h55