Contribution n°10 (Web)
Contribution n°9 (Web)
Déposée le 10 février 2025 à 18h55
Contribution n°8 (Web)
Déposée le 10 février 2025 à 18h54
Merci
Contribution n°7 (Web)
Contribution n°6 (Web)
Déposée le 10 février 2025 à 18h35
Contribution n°5 (Web)
Déposée le 10 février 2025 à 18h34
Contribution n°4 (Web)
Déposée le 10 février 2025 à 18h16
Contribution n°3 (Web)
Déposée le 10 février 2025 à 18h15
Nous aurons honte quand nos enfants nous demanderont des comptes.
Contribution n°2 (Web)
Déposée le 10 février 2025 à 15h56
Globalement, les documents complémentaires apportent des éléments de réponse aux points mis en évidence dans l’enquête publique de 2024. A noter, qu’en première instance, la MRAe avait donné un avis défavorable au projet et que dans le complément, cette dernière ne se prononce pas (avis défavorable ou favorable au regard des compléments).
A noter, les points suivants mis sous la condition d’acceptation du projet :
• Le financement du projet par les organismes bancaires est subordonné à l'obtention de l'autorisation d'exploiter,
• Le compromis concernant les parcelles qui ne pourra être concrétisé que quand l'autorisation ICPE sera accordée.
A noter, les points à l’étude dans le projet :
• La gestion des effluents et valorisation du fumier actuellement en phase de développement,
• La procédure ICPE du projet de méthanisation du GAEC Cottin qui n’est pas finalisée.
A noter, les points suivants du projet revue à la baisse :
• Une réorganisation des équipes sera réalisée, avec pour conséquence le passage de 10 emplois directs à 8 ETP,
• L’absence de nouvelles constructions,
• Le nombre d'animaux présents sur le site,
• La consommation d'eau potable pour l'abreuvement des bovins, mais toujours dépendante du réseau selon les conditions climatiques.
A noter, les points suivants non abordés dans les dossiers complémentaires et étant signalés dans la première enquête publique :
• Application de la rubrique IOTA 2.1.5.0, et d’une étude sur la loi sur l’eau, au regard du rejet d’eaux pluviales et des surfaces imperméabilisées, dont le nouveau bassin de 0.94 ha,
• La relation contractuelle avec l’export / import d’animaux vers l’Italie présentée dans le dossier initiale.
À la suite à l'avis défavorable du 12 juin 2024 du commissaire enquêteur, le projet a été réajusté afin de mieux répondre aux préoccupations soulevées par les parties prenantes, ce qui traduit une volonté du pétitionnaire à prendre en considération les attentes et les interrogations de chacun.
Sur le volet de la biodiversité, un effort a été fait sur l’inventaire faune flore de 2024, mais seulement sur la période estivale (un inventaire faune/flore a été réalisé au mois d'août 2024 sur le site de Chavaignac) ; un complément d’étude pourrait mettre en évidence la présence d’autre espèces. A noter aussi la volonté de présenter le projet sur le volet de la trame verte et bleu (au passage, quid de la trame noire). Un plan concernant les aménagements paysagers prévues sur une carte mériterait d’être présenté.
A ma lecture du dossier, mon point d’incompréhension concerne le « volet bien-être animal » et « productivité ». La phrase suivante : « L'engraissement en plein air, n'est efficace que sur la période de printemps ou l'herbe est abondante et de qualité, mais n'est pas compatible avec les exigences de productivité, de bien-être animal, et de respect de l'environnement nécessaires pour une production durable et efficace » est un non-sens écologique.
Dans l’attente de lire la réponse du pétitionnaire.
RODRIGUES Matthieu
Citoyen engagé dans les projets de demain
Contribution n°1 (Web)
Déposée le 10 février 2025 à 15h11
Ce projet est contre identitaire et ne doit pas voir le jour. Les habitants ne veulent pas se retrouver au beau milieu des industries dans lesquelles des animaux sont en train de croupir.