Contribution n°129 (Web)
Anonyme
Déposée le 1 avril 2025 à 10h00
Déposée le 1 avril 2025 à 10h00
Il faut annuler ce projet, je suis totalement contre ! Le site de l’esterel il faut le protéger, mais surtout pas le détruire
Contribution n°128 (Web)
Anonyme
Déposée le 1 avril 2025 à 09h36
Déposée le 1 avril 2025 à 09h36
Bonjour à tous,
Fortement affectée en 2015, et en 2019 notre résidence reste toujours menacée par les inondations et débordements intempestifs du Riou.
En dépit des investissements notables réalisés conjointement par La CAPL et les résidents de l'Argentière pour protéger notre habitat, la proximité du Riou et la terre argileuse qui borde son lit, représentent une menace cas de crue.
Nous souhaiterions que les berges du Riou puissent être aménagées comme celle de la Siagne : parcours de santé, promenades pédestres, piste cyclable..... qui s'étendraient du camping de l'Argentière jusqu'aux résidences des 4 saisons dans un premier temps.
Prévoir un enrochement des berges et obtenir des propriétaires un entretien des chemins de halage (embâcles).
Par ailleurs, il s'agirait de finaliser le projet de rétention des Barnières et permettre un écoulement du Riou à son embouchure en période de crues.
Nous vous remercions de votre diligence,
Bien cordialement,
Christiane et Rémy ALUNNI (Président du CS)
Fortement affectée en 2015, et en 2019 notre résidence reste toujours menacée par les inondations et débordements intempestifs du Riou.
En dépit des investissements notables réalisés conjointement par La CAPL et les résidents de l'Argentière pour protéger notre habitat, la proximité du Riou et la terre argileuse qui borde son lit, représentent une menace cas de crue.
Nous souhaiterions que les berges du Riou puissent être aménagées comme celle de la Siagne : parcours de santé, promenades pédestres, piste cyclable..... qui s'étendraient du camping de l'Argentière jusqu'aux résidences des 4 saisons dans un premier temps.
Prévoir un enrochement des berges et obtenir des propriétaires un entretien des chemins de halage (embâcles).
Par ailleurs, il s'agirait de finaliser le projet de rétention des Barnières et permettre un écoulement du Riou à son embouchure en période de crues.
Nous vous remercions de votre diligence,
Bien cordialement,
Christiane et Rémy ALUNNI (Président du CS)
Contribution n°127 (Web)
Anonyme
Déposée le 1 avril 2025 à 08h43
Déposée le 1 avril 2025 à 08h43
Je m'oppose à ce projet qui va dénaturer ce site naturel si beau et classé. Respectez la merveille de ce lieu, sa flore et sa faune que ce projet détruirait à jamais !
Contribution n°126 (Web)
Par Rachel R.
Déposée le 1 avril 2025 à 08h35
Déposée le 1 avril 2025 à 08h35
Ceci est une zone naturelle! Ce projet n'a aucun sens!
Contribution n°125 (Web)
Par Cedric d’Albaret
Déposée le 1 avril 2025 à 07h18
Déposée le 1 avril 2025 à 07h18
Bonjour, je suis contre ce projet de barrage, il faut garder cette zone naturelle et arrêter de détruire à tout va !
Contribution n°124 (Web)
Anonyme
Déposée le 31 mars 2025 à 21h49
Déposée le 31 mars 2025 à 21h49
Partie 2
Dans ce contexte, il est particulièrement troublant que l’association Anticor ait révélé l’existence d’une enquête en cours visant le maire de Mandelieu-la-Napoule, également vice-président de la Communauté d’agglomération Cannes Pays de Lérins (CACPL), maître d’ouvrage du projet, pour des soupçons de prise illégale d’intérêts, trafic d’influence et favoritisme en lien avec le propriétaire du Domaine de Barbossi.
Source : https://www.anticor.org/affaires-anticor/affaire-du-domaine-de-barbossi/
Dans un projet d’une telle ampleur, mobilisant des fonds publics et des procédures d’expropriation, toute décision pouvant être perçue comme favorisant un intérêt privé au détriment d’une solution plus efficace et objectivement plus rationnelle doit être examinée avec la plus grande rigueur.
Par ailleurs, des débroussaillements massifs, des déboisements et des nivellements de terrain ont été opérés sur les terres du Domaine de Barbossi. Ces interventions ont pu avoir un effet aggravant sur les écoulements en période de crue, contribuant indirectement à la situation de vulnérabilité actuelle de Mandelieu. Le dossier d’enquête publique ne semble pas intégrer ces altérations du régime naturel comme facteur aggravant, ni proposer de mesures correctrices à la source.
Une utilité publique discutable pour un intérêt privé réel ?
Le barrage, tel que conçu et situé, est d’une efficacité faible pour les quartiers ciblés ;
Le site de Barbossi, plus central et potentiellement plus efficace, semble avoir été écarté sur la base d’hypothèses techniques discutables ;
Le Domaine de Barbossi semble être l’un des principaux bénéficiaires directs du projet retenu ;
Une enquête est en cours sur des faits présumés de collusion entre décideurs publics et intérêts privés ;
L’alternative technique crédible, mais située sur une propriété privée d’un acteur influent, ne semble pas avoir été sérieusement étudiée.
Ce projet soulève trop d’interrogations légitimes pour être approuvé en l’état. L’intérêt général ne peut être invoqué que s’il est réel, démontré, et supérieur à toute suspicion.
En conséquence, je demande que le commissaire enquêteur :
réexamine les choix d’implantation et les alternatives techniques écartées ;
s’assure que le site de Barbossi n’a pas été éliminé pour des raisons non techniques ;
exige une étude d’impact cumulative intégrant les aménagements privés antérieurs ;
analyse avec impartialité les liens entre les bénéficiaires et les porteurs du projet ;
suspende toute décision tant que les faits évoqués dans l’enquête en cours n’ont pas été pleinement éclaircis.
Dans l’attente que ces éclaircissements soient rendus publics, j’émets un avis défavorable au projet tel que présenté.
Dans ce contexte, il est particulièrement troublant que l’association Anticor ait révélé l’existence d’une enquête en cours visant le maire de Mandelieu-la-Napoule, également vice-président de la Communauté d’agglomération Cannes Pays de Lérins (CACPL), maître d’ouvrage du projet, pour des soupçons de prise illégale d’intérêts, trafic d’influence et favoritisme en lien avec le propriétaire du Domaine de Barbossi.
Source : https://www.anticor.org/affaires-anticor/affaire-du-domaine-de-barbossi/
Dans un projet d’une telle ampleur, mobilisant des fonds publics et des procédures d’expropriation, toute décision pouvant être perçue comme favorisant un intérêt privé au détriment d’une solution plus efficace et objectivement plus rationnelle doit être examinée avec la plus grande rigueur.
Par ailleurs, des débroussaillements massifs, des déboisements et des nivellements de terrain ont été opérés sur les terres du Domaine de Barbossi. Ces interventions ont pu avoir un effet aggravant sur les écoulements en période de crue, contribuant indirectement à la situation de vulnérabilité actuelle de Mandelieu. Le dossier d’enquête publique ne semble pas intégrer ces altérations du régime naturel comme facteur aggravant, ni proposer de mesures correctrices à la source.
Une utilité publique discutable pour un intérêt privé réel ?
Le barrage, tel que conçu et situé, est d’une efficacité faible pour les quartiers ciblés ;
Le site de Barbossi, plus central et potentiellement plus efficace, semble avoir été écarté sur la base d’hypothèses techniques discutables ;
Le Domaine de Barbossi semble être l’un des principaux bénéficiaires directs du projet retenu ;
Une enquête est en cours sur des faits présumés de collusion entre décideurs publics et intérêts privés ;
L’alternative technique crédible, mais située sur une propriété privée d’un acteur influent, ne semble pas avoir été sérieusement étudiée.
Ce projet soulève trop d’interrogations légitimes pour être approuvé en l’état. L’intérêt général ne peut être invoqué que s’il est réel, démontré, et supérieur à toute suspicion.
En conséquence, je demande que le commissaire enquêteur :
réexamine les choix d’implantation et les alternatives techniques écartées ;
s’assure que le site de Barbossi n’a pas été éliminé pour des raisons non techniques ;
exige une étude d’impact cumulative intégrant les aménagements privés antérieurs ;
analyse avec impartialité les liens entre les bénéficiaires et les porteurs du projet ;
suspende toute décision tant que les faits évoqués dans l’enquête en cours n’ont pas été pleinement éclaircis.
Dans l’attente que ces éclaircissements soient rendus publics, j’émets un avis défavorable au projet tel que présenté.
Contribution n°123 (Web)
Anonyme
Déposée le 31 mars 2025 à 21h48
Déposée le 31 mars 2025 à 21h48
Partie 1
Je tiens à exprimer par la présente ma profonde inquiétude et mon opposition au projet de barrage de ralentissement dynamique des crues du Riou de l’Argentière, tel que présenté dans le cadre de l’enquête publique en cours.
Il convient de s’interroger sur l’opportunité, la justification réelle et l’emplacement précis du projet proposé, qui soulèvent plusieurs zones d’ombre préoccupantes.
Le site choisi pour la construction du barrage – les Barnières, à la limite de Tanneron et Fréjus – se situe immédiatement en amont du Domaine de Barbossi, un ensemble privé de standing comprenant golf, hôtel, centre équestre et domaines viticoles. Ce domaine bénéficierait mécaniquement de la protection principale offerte par l’ouvrage en cas de crue.
À l’inverse, les quartiers officiellement ciblés (Minelle, Bon Puits) sont situés plus loin en aval, et l’ouvrage est calibré uniquement pour une crue cinquantennale (Q50), seuil qui paraît insuffisant face aux épisodes récents (crues Q100 à Q1000). Et d’après les conclusions mêmes du dossier, les crues Q50 ne sont pas suffisamment écrêtées pour protéger ces secteurs à enjeux. L’efficacité du projet pour ces zones reste donc à démontrer.
Il est utile de rappeler que lors des études préliminaires, plusieurs sites d’implantation ont été envisagés, dont le secteur du Domaine de Barbossi. Pourtant, ce site a été rapidement disqualifié sur la base d’un scénario technique spécifique : une hypothèse d’ouvrage trois fois moins haut que celui finalement retenu aux Barnières. Cet artifice de dimensionnement réduit a logiquement conduit à une efficacité limitée… et à l’exclusion du site.
Or, une implantation sur Barbossi avec un ouvrage de même dimension que celui projeté aux Barnières aurait permis une protection bien plus efficace des secteurs aval réellement à risque, selon une logique hydraulique et géographique évidente. D’un point de vue purement technique, rien n’interdit cette implantation. La légère dépression au niveau du trou numéro 13, facilement compensable par une légère rehausse de la piste, ne saurait constituer une excuse pour écarter l’implantation d’un ouvrage hydraulique de taille équivalente à celui aujourd’hui présenté aux Barnières, avec à la clé une efficacité bien supérieure pour les zones à enjeux. Une seule difficulté — qui ne devrait pas en être une — se pose : le site est une propriété privée appartenant à une personnalité influente bien connue de la commune.
Je tiens à exprimer par la présente ma profonde inquiétude et mon opposition au projet de barrage de ralentissement dynamique des crues du Riou de l’Argentière, tel que présenté dans le cadre de l’enquête publique en cours.
Il convient de s’interroger sur l’opportunité, la justification réelle et l’emplacement précis du projet proposé, qui soulèvent plusieurs zones d’ombre préoccupantes.
Le site choisi pour la construction du barrage – les Barnières, à la limite de Tanneron et Fréjus – se situe immédiatement en amont du Domaine de Barbossi, un ensemble privé de standing comprenant golf, hôtel, centre équestre et domaines viticoles. Ce domaine bénéficierait mécaniquement de la protection principale offerte par l’ouvrage en cas de crue.
À l’inverse, les quartiers officiellement ciblés (Minelle, Bon Puits) sont situés plus loin en aval, et l’ouvrage est calibré uniquement pour une crue cinquantennale (Q50), seuil qui paraît insuffisant face aux épisodes récents (crues Q100 à Q1000). Et d’après les conclusions mêmes du dossier, les crues Q50 ne sont pas suffisamment écrêtées pour protéger ces secteurs à enjeux. L’efficacité du projet pour ces zones reste donc à démontrer.
Il est utile de rappeler que lors des études préliminaires, plusieurs sites d’implantation ont été envisagés, dont le secteur du Domaine de Barbossi. Pourtant, ce site a été rapidement disqualifié sur la base d’un scénario technique spécifique : une hypothèse d’ouvrage trois fois moins haut que celui finalement retenu aux Barnières. Cet artifice de dimensionnement réduit a logiquement conduit à une efficacité limitée… et à l’exclusion du site.
Or, une implantation sur Barbossi avec un ouvrage de même dimension que celui projeté aux Barnières aurait permis une protection bien plus efficace des secteurs aval réellement à risque, selon une logique hydraulique et géographique évidente. D’un point de vue purement technique, rien n’interdit cette implantation. La légère dépression au niveau du trou numéro 13, facilement compensable par une légère rehausse de la piste, ne saurait constituer une excuse pour écarter l’implantation d’un ouvrage hydraulique de taille équivalente à celui aujourd’hui présenté aux Barnières, avec à la clé une efficacité bien supérieure pour les zones à enjeux. Une seule difficulté — qui ne devrait pas en être une — se pose : le site est une propriété privée appartenant à une personnalité influente bien connue de la commune.
Contribution n°122 (Email)
Anonyme
Déposée le 31 mars 2025 à 14h00
Déposée le 31 mars 2025 à 14h00
Objet : STOP
Je suis profondément consternée par ce projet destructeur. La
construction de ce barrage n’est ni plus ni moins qu’un acte
irresponsable envers la biodiversité locale déjà mise à mal par le
dérèglement climatique. La perte de zones naturelles précieuses,
abritant une multitude d'espèces protégées, sera irréversible.
Alors que la France s’est engagée à préserver sa biodiversité,
comment peut-on accepter de sacrifier encore des espaces naturels
précieux au profit d’un ouvrage dont l’efficacité face aux crues
extrêmes est loin d’être démontrée ? Ce projet traduit
malheureusement une vision dépassée, court-termiste, où le béton
prime sur l’équilibre écologique. L'urgence climatique exige des
solutions fondées sur la nature, comme la restauration écologique
des cours d’eau et le maintien de leur libre écoulement, seules
capables de protéger durablement les habitants et l’environnement.
Stoppons ce projet absurde et engageons-nous vers une approche
véritablement écologique et durable !
Je suis profondément consternée par ce projet destructeur. La
construction de ce barrage n’est ni plus ni moins qu’un acte
irresponsable envers la biodiversité locale déjà mise à mal par le
dérèglement climatique. La perte de zones naturelles précieuses,
abritant une multitude d'espèces protégées, sera irréversible.
Alors que la France s’est engagée à préserver sa biodiversité,
comment peut-on accepter de sacrifier encore des espaces naturels
précieux au profit d’un ouvrage dont l’efficacité face aux crues
extrêmes est loin d’être démontrée ? Ce projet traduit
malheureusement une vision dépassée, court-termiste, où le béton
prime sur l’équilibre écologique. L'urgence climatique exige des
solutions fondées sur la nature, comme la restauration écologique
des cours d’eau et le maintien de leur libre écoulement, seules
capables de protéger durablement les habitants et l’environnement.
Stoppons ce projet absurde et engageons-nous vers une approche
véritablement écologique et durable !
Contribution n°121 (Email)
Anonyme
Déposée le 31 mars 2025 à 09h38
Déposée le 31 mars 2025 à 09h38
Objet : NON AU BARRAGE
Le manque de transparence et de concertation autour de ce projet est choquant. Nous, citoyens, avons le droit de participer aux décisions qui façonnent notre environnement. Ce barrage nous est imposé sans prise en compte sérieuse de nos préoccupations. C’est un déni démocratique inacceptable face à l'urgence écologique actuelle.
Le manque de transparence et de concertation autour de ce projet est choquant. Nous, citoyens, avons le droit de participer aux décisions qui façonnent notre environnement. Ce barrage nous est imposé sans prise en compte sérieuse de nos préoccupations. C’est un déni démocratique inacceptable face à l'urgence écologique actuelle.
Contribution n°120 (Email)
Anonyme
Déposée le 31 mars 2025 à 08h00
Déposée le 31 mars 2025 à 08h00
Objet : STOP au beton !
Ce projet est le symptôme d’un modèle épuisé : vous artificialisez les zones naturelles pour sécuriser des constructions qui n’auraient jamais dû être autorisées. Vous créez le problème, puis vous imposez la solution qui aggrave le problème. Stop à cette boucle mortifère. Le changement, ce n’est pas un barrage, c’est un autre rapport au territoire.
Ce projet est le symptôme d’un modèle épuisé : vous artificialisez les zones naturelles pour sécuriser des constructions qui n’auraient jamais dû être autorisées. Vous créez le problème, puis vous imposez la solution qui aggrave le problème. Stop à cette boucle mortifère. Le changement, ce n’est pas un barrage, c’est un autre rapport au territoire.
Apportez votre contribution à cette enquête publique :
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