Contribution n°949 (Web)
Anonyme
Déposée le 10 avril 2025 à 13h43
Déposée le 10 avril 2025 à 13h43
Projet d'un autre temps
Ce n'est pas le type de tourisme que l'on peut souhaiter pour le vercors
Ce n'est pas le type de tourisme que l'on peut souhaiter pour le vercors
Contribution n°948 (Web)
Anonyme
Déposée le 10 avril 2025 à 13h34
Déposée le 10 avril 2025 à 13h34
En tant qu'urbaniste de formation, et habitante du Vercors, je pense que ce projet est néfaste, pour les habitants, la faune et la flore locale.
Le tourisme annoncé n'a plu sa place dans les dynamiques actuelles de préservation des ressources et les couts de ce projet devraient permettre de favoriser la biodiversité plutôt que de continuer à sa destruction, en enrichissant encore les plus riches.
Le tourisme annoncé n'a plu sa place dans les dynamiques actuelles de préservation des ressources et les couts de ce projet devraient permettre de favoriser la biodiversité plutôt que de continuer à sa destruction, en enrichissant encore les plus riches.
Contribution n°947 (Web)
Par JeanN
Déposée le 10 avril 2025 à 12h52
Déposée le 10 avril 2025 à 12h52
Une nature environnante déjà aux aboies, un manque d'eau réccurent avec une eau du robinet au goût de chlore prononcé au cœur des Alpes, cherchez l'erreur !
Une station déjà ultra bétonnée avec des parkings surchargés.
Un projet pour la bétonner encore plus et réduire les parkings existants...
Une aberration en somme, et point n'ai besoin d'en faire une thèse.
Une opportunité de placement financier c'est louable, par contre, un jackpot potentiel comme le dit lui-même le principal investisseur ... Difficile de voir ici d' ultérieurs bénéfices pour la station.
Avis défavorable.
Une station déjà ultra bétonnée avec des parkings surchargés.
Un projet pour la bétonner encore plus et réduire les parkings existants...
Une aberration en somme, et point n'ai besoin d'en faire une thèse.
Une opportunité de placement financier c'est louable, par contre, un jackpot potentiel comme le dit lui-même le principal investisseur ... Difficile de voir ici d' ultérieurs bénéfices pour la station.
Avis défavorable.
Contribution n°946 (Web)
Anonyme
Déposée le 10 avril 2025 à 11h54
Déposée le 10 avril 2025 à 11h54
Ce projet devrait s'inscrire dans une vision plus globale: que faire des stations de basse-altitude? Si la neige perdure à manquer, et on en prend le chemin, nous aurons de plus en plus d'éléphants... blancs (ces monuments sportifs qui dépérissent pour avoir vu trop grand). Est que ca vaut en risque?
Contribution n°945 (Web)
Anonyme
Déposée le 10 avril 2025 à 11h36
Déposée le 10 avril 2025 à 11h36
Le projet d’UTNS de la côte 2000 est présenté comme « venant renforcer le parc de lits touristiques via la création de nouveaux lits marchands intégrant des services et des loisirs indoor permettant de développer une offre nouvelle et adaptée à la demande 4 saisons »
Un des objectifs affichés est de « diversifier les lits touristiques sur une offre nouvelle, composite et axée sur différents profils de clientèle » P 130
Or, de nombreux éléments présentés dans le dossier ouvert à concertation du public permettent de dire que ce projet n’a rien de novateur, n’est pas adapté à l’identité de Villard de Lans et du plateau des quatre montagnes (tourisme familial en lien avec la nature) et ne correspond ni aux besoins de la population, ni aux enjeux actuels liés à la aux transitions.
La clientèle visée par cette nouvelle offre de tourisme répondant aux standards 4 étoiles est une clientèle étrangère friande de ce type d’offre (Point 2.2.3.9) ainsi qu’un public d’affaires (lors de séminaires de grands rassemblements et salons). En clair une clientèle aisée qui réservera des séjours « tout compris » dans cette résidence de luxe, et n’apportera rien au commerce local. Tout sera fait pour qu’elle reste « captive » de l’opérateur hôtelier qui va gérer les site. C’est une pâle copie de ce qui se fait dans d’autres stations des Alpes telles qu’Avoriaz ou les Deux Alpes.
Présentée comme un point fort du projet permettant de développer une offre nouvelle adaptée à la demande 4 saison, la réalisation du pôle d’activités indoor n’interviendra que dans un second temps puisque conditionnée par la construction de la nouvelle télécabine du Pré des Prés et la démolition préalable du bâtiment actuellement utilisé par la SEVLC, l’ESF et L’OMT. En réalité, la construction de ce pôle indoor n’est pas certaine, d’autant que rien ne permet d’assurer que la nouvelle DSP qui interviendra en 2026 sera attribuée à la SEVLC.
Aux questions relatives au bien fondé de ce projet, s’ajoutent toutes celles concernant son impact sur l’environnement et les nuisances liées au chantier annoncé durer 30 mois.
De nombreuses questions soulevées par la MRAE dans son rapport demeurent en suspens dans le nouveau projet redimensionné à 700 lits qui nous est présenté.
- Gestion optimisée du chantier « local » = rien ne garantit que ce sont des entreprises locales qui obtiendront les lots qui feront l’objet d’appel d’offre. Dans le dossier on parle « d’entreprises locales ou régionales » ce qui n’est pas ma même chose en terme de rotation de camions, et de création d’emplois locaux liés à la construction
- La centrale à béton prévue sur site ne pourra fonctionner sans approvisionnement par voie routière, il y aura donc une ronde de camions importante
- La réutilisation des matériaux issus des extractions sera selon le dossier « réalisée dans le domaine alpin, dans la mesure du possible, en fonction de leur qualité » Là aussi rien ne garantit qu’il ne faudra pas des camions pour les évacuer ailleurs que sur les pistes (qui vont être défigurées par tous ces gravats l’été). En outre, qu’en sera-t-il de l’enrobé du P1 ? Etalé sur les pistes lui aussi ?
- Dans le dossier on parle de transports collectifs gare/aéroport / Villard de Lans, mais est-ce bien le moyen de transport privilégié par la clientèle de luxe visée ? on peut en douter fortement !
- La question de la ressource en eau, pour VdL mais aussi pour les communes situées en aval dans la plaine, reste entière, en dépit des discours rassurants de spécialistes missionnés par la commune. Dans la modélisation des besoins actuels et projetés, effectuée par le maire en réunion publique le 13 juin dernier, le poste sports et loisirs ( augmentation besoins pour la neige et les piscines de l’UTNS) passe de 343 900 m3/an aujourd’hui à 528 350 m3 par an en 2050 , soit une augmentation de près de 54 % !
Tout cela pour produire une neige artificielle pour le ski alpin sans être sûrs du résultat si les températures en montagne augmentent comme annoncé par les projections climatiques actuelles.
- S’agissant de l’assainissement, il est indiqué dans le projet (p.191) que « le réseau d’assainissement supporte les eaux usées du projet de Corrençon pris seul mais que lorsque VdL est pris seul ou ajouté, le réseau d’assainissement présente des débordements au niveau de la Balmette » puis p.192 « que ces deux projets aggravent la surcharge hydraulique à laquelle la station d’épuration est soumise en cas de pluie » et « doivent être renouvelés ou renforcés dans le secteur de la Balmette ». Est ce que les 44850 euros chiffrés dans le projet pour la partie assainissement, et à la charge des contribuables, seront suffisants ? On peut en douter…
Enfin de nombreux point relatifs aux nuisances liées au chantier annoncé pour durer 3 ans sont inquiétants : la pollution liée aux travaux et notamment aux poussières qu’ils génèreront, la gène liée aux rotations des camions sur des routes étroites (pour les locaux et pour les touristes) , les effets sur l’activité touristique lors de la première année des travaux ( pas de VTT d’été ni de télécabines pour les randonneurs, parkings P1 et P2 neutralisés en saison d’hiver et d’été … Sans parler des nuisances liées au bruit.
Dernier point : les créations d’emploi annoncées sont très majorées.
200 emplois annoncés en phase travaux : pour quelles entreprises locales ?
15 postes annoncés pour le pôle indoor qui peut très bien ne jamais voir le jour si la nouvelle télécabine du Pré des Preys n’est pas construite.
Au final : un projet inadapté aux besoins du territoire et aux aspirations des habitants autres que ceux vivant directement du ski alpin, ni à celles des touristes qui viennent depuis des années chercher le bien être en famille. Et beaucoup d’affirmations non étayées.
Je suis totalement contre ce projet
J'habite Villard de Lans à l'année
Un des objectifs affichés est de « diversifier les lits touristiques sur une offre nouvelle, composite et axée sur différents profils de clientèle » P 130
Or, de nombreux éléments présentés dans le dossier ouvert à concertation du public permettent de dire que ce projet n’a rien de novateur, n’est pas adapté à l’identité de Villard de Lans et du plateau des quatre montagnes (tourisme familial en lien avec la nature) et ne correspond ni aux besoins de la population, ni aux enjeux actuels liés à la aux transitions.
La clientèle visée par cette nouvelle offre de tourisme répondant aux standards 4 étoiles est une clientèle étrangère friande de ce type d’offre (Point 2.2.3.9) ainsi qu’un public d’affaires (lors de séminaires de grands rassemblements et salons). En clair une clientèle aisée qui réservera des séjours « tout compris » dans cette résidence de luxe, et n’apportera rien au commerce local. Tout sera fait pour qu’elle reste « captive » de l’opérateur hôtelier qui va gérer les site. C’est une pâle copie de ce qui se fait dans d’autres stations des Alpes telles qu’Avoriaz ou les Deux Alpes.
Présentée comme un point fort du projet permettant de développer une offre nouvelle adaptée à la demande 4 saison, la réalisation du pôle d’activités indoor n’interviendra que dans un second temps puisque conditionnée par la construction de la nouvelle télécabine du Pré des Prés et la démolition préalable du bâtiment actuellement utilisé par la SEVLC, l’ESF et L’OMT. En réalité, la construction de ce pôle indoor n’est pas certaine, d’autant que rien ne permet d’assurer que la nouvelle DSP qui interviendra en 2026 sera attribuée à la SEVLC.
Aux questions relatives au bien fondé de ce projet, s’ajoutent toutes celles concernant son impact sur l’environnement et les nuisances liées au chantier annoncé durer 30 mois.
De nombreuses questions soulevées par la MRAE dans son rapport demeurent en suspens dans le nouveau projet redimensionné à 700 lits qui nous est présenté.
- Gestion optimisée du chantier « local » = rien ne garantit que ce sont des entreprises locales qui obtiendront les lots qui feront l’objet d’appel d’offre. Dans le dossier on parle « d’entreprises locales ou régionales » ce qui n’est pas ma même chose en terme de rotation de camions, et de création d’emplois locaux liés à la construction
- La centrale à béton prévue sur site ne pourra fonctionner sans approvisionnement par voie routière, il y aura donc une ronde de camions importante
- La réutilisation des matériaux issus des extractions sera selon le dossier « réalisée dans le domaine alpin, dans la mesure du possible, en fonction de leur qualité » Là aussi rien ne garantit qu’il ne faudra pas des camions pour les évacuer ailleurs que sur les pistes (qui vont être défigurées par tous ces gravats l’été). En outre, qu’en sera-t-il de l’enrobé du P1 ? Etalé sur les pistes lui aussi ?
- Dans le dossier on parle de transports collectifs gare/aéroport / Villard de Lans, mais est-ce bien le moyen de transport privilégié par la clientèle de luxe visée ? on peut en douter fortement !
- La question de la ressource en eau, pour VdL mais aussi pour les communes situées en aval dans la plaine, reste entière, en dépit des discours rassurants de spécialistes missionnés par la commune. Dans la modélisation des besoins actuels et projetés, effectuée par le maire en réunion publique le 13 juin dernier, le poste sports et loisirs ( augmentation besoins pour la neige et les piscines de l’UTNS) passe de 343 900 m3/an aujourd’hui à 528 350 m3 par an en 2050 , soit une augmentation de près de 54 % !
Tout cela pour produire une neige artificielle pour le ski alpin sans être sûrs du résultat si les températures en montagne augmentent comme annoncé par les projections climatiques actuelles.
- S’agissant de l’assainissement, il est indiqué dans le projet (p.191) que « le réseau d’assainissement supporte les eaux usées du projet de Corrençon pris seul mais que lorsque VdL est pris seul ou ajouté, le réseau d’assainissement présente des débordements au niveau de la Balmette » puis p.192 « que ces deux projets aggravent la surcharge hydraulique à laquelle la station d’épuration est soumise en cas de pluie » et « doivent être renouvelés ou renforcés dans le secteur de la Balmette ». Est ce que les 44850 euros chiffrés dans le projet pour la partie assainissement, et à la charge des contribuables, seront suffisants ? On peut en douter…
Enfin de nombreux point relatifs aux nuisances liées au chantier annoncé pour durer 3 ans sont inquiétants : la pollution liée aux travaux et notamment aux poussières qu’ils génèreront, la gène liée aux rotations des camions sur des routes étroites (pour les locaux et pour les touristes) , les effets sur l’activité touristique lors de la première année des travaux ( pas de VTT d’été ni de télécabines pour les randonneurs, parkings P1 et P2 neutralisés en saison d’hiver et d’été … Sans parler des nuisances liées au bruit.
Dernier point : les créations d’emploi annoncées sont très majorées.
200 emplois annoncés en phase travaux : pour quelles entreprises locales ?
15 postes annoncés pour le pôle indoor qui peut très bien ne jamais voir le jour si la nouvelle télécabine du Pré des Preys n’est pas construite.
Au final : un projet inadapté aux besoins du territoire et aux aspirations des habitants autres que ceux vivant directement du ski alpin, ni à celles des touristes qui viennent depuis des années chercher le bien être en famille. Et beaucoup d’affirmations non étayées.
Je suis totalement contre ce projet
J'habite Villard de Lans à l'année
Contribution n°944 (Web)
Par ZURCZAK Cecile
Déposée le 10 avril 2025 à 11h11
Déposée le 10 avril 2025 à 11h11
Je dis NON , Je suis contre le projet UTNS; projet démesuré pour notre village et qui va engendrer beaucoup de dépenses pour la commune et la CCMV. Nous n'avons pas besoin d'un hôtel 4 étoiles. Ou sont passé tous les hôtels villardiens ? Transformés en locations saisonnières.... On a déjà tout, juste a y entretenir.
Contribution n°943 (Web)
Par Gilles
Déposée le 10 avril 2025 à 10h41
Déposée le 10 avril 2025 à 10h41
Belle opportunité pour Villard de Lans de diversification touristique et économique
Contribution n°942 (Web)
Par Patrick
Déposée le 10 avril 2025 à 10h23
Déposée le 10 avril 2025 à 10h23
Fondamentalement contre ce projet qui n'a qu'un objectif financier au détriment de notre environnement magnifique et de notre bien être à vivre dans une commune qui a su et doit garder son authenticité et tout son charme. Nous ne sommes plus dans la démesure destructrice des années 70 /80 de nos montagnes. Préservons !!!
Contribution n°941 (Web)
Par Une Villardienne convaincue
Déposée le 10 avril 2025 à 09h35
Déposée le 10 avril 2025 à 09h35
Je suis contre ce projet. Parker est venu faire de l'immobilier et n'en a rien à faire de la station de Villard de Lans et encore moins des villardiens. Les hôtels ferment dans le village pour être revendus en appartements. C'est ce qui se passera avec ce projet de résidence hôtelière au pied des pistes. C'est déjà ce qui s'est passé avec le Balcon. Il y a d'autres repreneurs pour la station que Parker. Alors, que la mairie cesse de nous faire croire que c'est la seule issue ! Il serait bien aussi que les dirigeants des remontées mécaniques ne réfléchissent pas comme il y a cinquante ans et arrêtent de nous faire croire que le projet a été revu à la baisse puisque c'est faux.
Contribution n°940 (Web)
Par Vincent Trouche
Déposée le 10 avril 2025 à 09h15
Déposée le 10 avril 2025 à 09h15
Un projet complètement anachronique, qui n'a nul part fait ses preuves pour l'amélioration du cadre de vie des habitants de station de ski... Ajouter des lits froids, toujours des lits froids, pour, encore un peu, creuser le gouffre entre haute et basse saison. Le tout sur fond de baisse des chutes de neige. J'entends bien l'argument des retombées économiques mais je doute qu'elles profitent vraiment à d'autres que les promoteurs. Des modèles économiques dignes du plan neige pour une station qui a mieux à offrir, dommage.
(Sans parler de l'incohérence avec le territoire PNR...)
(Sans parler de l'incohérence avec le territoire PNR...)
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