Contribution n°5 (Web)
Déposée le 18 avril 2025 à 20h30
Le changement de zone de cette parcelle ne me paraît pas en cohérence avec l’orientation générale, pas plus qu'avec l'orientation particulière de GBM qui, me semble t’il, prône pour l’avenir, la préservation des zones agricoles.
Quel pourcentage cette parcelle représente t’elle par rapport à le surface totale de notre Commune dont les zones agricoles se sont vues réduites à peau de chagrin depuis plusieurs décennies?
Par ailleurs, le sol très inondable qui constitue cette parcelle me semble peu propice à quelque habitation que ce soit.
La végétation qui y pousse prouve bien l’humidité présente en quasi permanence, et devrait plutôt orienter le PLU vers une zone humide.
La présence même d’une doline prouvant la fragilité du sous-sol peut laisser présager d’autres effondrements.
J’ai le souvenir, à l’endroit précis de l’implantation proposée pour le bâtiment, de malheureuses vaches stabulant dans la boue jusqu’aux jarrets.
Qu’en serait il des caravanes et autres véhicules très lourds qui risquent de s’embourber laissant derrière eux de profondes ornières?
Devrions nous imperméabiliser ici, alors que nous dé-imperméabilisons à grand budget ailleurs?
D'autre part, un tel projet n’entacherait il pas la «presque» tranquillité du chemin des fermes sur lequel la circulation est à peu près maîtrisée?
Autant d’interrogations qui m’incitent à voter CONTRE l’implantation du projet STECAL.
Cordialement,
Dorine DUNAND.
Contribution n°4 (Web)
Déposée le 17 avril 2025 à 21h15
que la commune devrait conserver en l'état ou pour de futurs maraichages , en vue d'augmenter notre indépendance alimentaire demain.
De plus, passant régulièrement à coté lors de marches pédestres, il est très souvent " gorgé "
d'eau en période de pluies. Je ne pense pas que ce sera très sain et agréable pour les futurs habitants surtout en caravanes.
Contribution n°3 (Web)
Déposée le 16 avril 2025 à 17h39
Vous serait-il possible de nous préciser l’intérêt public ou local à installer un STECAL dans cette zone actuellement classée comme « agricole » ?
Car cette dernière est fréquemment inondée, les habitations voisines ont d’ores et déjà été sujettes aux inondations et craigne qu’une artificialisation de cette zone n’accentue encore un peu plus ces problématiques qui ne devraient que s’accentuer dans le contexte actuel de dérèglement climatique.
Le changement de zonage va augmenter l’artificialisation du territoire, ce qui est en contradiction avec les engagements de zéro artificialisation nette (ZAN) à l’horizon 2050. Ce projet contrevient donc aux engagements climatiques et environnementaux en matière de lutte contre l’artificialisation.
Par ailleurs, l’implantation de ce terrain familial a-t-elle été envisagée sur un terrain d’ores et déjà considéré comme constructible ?
Un autre point d’interrogation concernant l’implantation de ce STECAL concerne des problématiques de circulation qui en découleront. En effet le chemin, actuellement étroit et en sens unique, ne permet que difficilement le croisement de 2 véhicules légers et ne permet pas de faire un demi-tour surtout avec des véhicules équipés de caravanes.
La qualité de la circulation piétonne et cycliste dans cette zone risque également d’être dégradée. Comment la sécurité routière sera-t-elle maintenue ?
Contribution n°2 (Web)
Déposée le 14 avril 2025 à 23h36
Contribution n°1 (Web)
Déposée le 27 mars 2025 à 19h21
Nos locaux actuels ne nous permettent plus d'accompagner notre croissance ni de répondre pleinement au développement de nos clients. Ce terrain représente une opportunité pour anticiper l’avenir, même si aucun projet précis n’est encore arrêté à ce jour. Plusieurs pistes d’aménagement sont actuellement à l’étude.
Notre souhait est de nous inscrire dans une continuité avec notre environnement. Le vendeur de cette parcelle, voisin de notre entreprise depuis notre installation en 1972, a convenu avec nous de servitudes encadrant l’usage du terrain. Celles-ci prévoient notamment l'absence de toute construction à moins de 10 mètres des limites de propriété, ainsi qu'une limitation en hauteur : aucune construction ne dépassera celle du bâtiment existant.
Par ailleurs, nous sollicitons une adaptation du règlement local afin d’autoriser l’implantation de clôtures d’une hauteur de 2,5 mètres, soit 50 centimètres de plus que ce que prévoit actuellement le PLU. Cette demande est motivée par des impératifs de sécurité : notre entreprise a été victime de 2 braquages à 4 mois d’intervalle il y a un an. L’élévation des clôtures constitue une mesure préventive indispensable pour garantir la protection des personnes, des biens des activités sur le site.
Cette adaptation serait mise en œuvre dans un esprit de sobriété et d’intégration soignée.
Nous remercions la commission d’enquête de l’attention portée à cette demande.