Contribution n°173 (Web)
Déposée le 29 juin 2024 à 17h39
Dans le contexte actuel de changement climatique, de très faible résilience alimentaire du grand Chambery, de la qualité des terres limoneuses menacées, d'un projet alternatif agricole, la disparition de cette activité et la perte de biodiversité sont un non sens environnemental .
Des possibilités alternatives, innovantes et ambitieuses pour le développement économique existent: utilisation des bâtiments inoccupés en ZAC 1 et 2, édification sur une partie des parkings, tours de parking , et création d'une desserte en site propre pour la ligne A, à haut niveau de fréquence, pour remplacer une partie de la circulation et du stationnement automobile.
Contribution n°172 (Web)
Déposée le 29 juin 2024 à 15h09
Bonjour. J'ai été interpellé par le travail du collectif questionnant le projet d'extension.
Deux arguments me touchent qui convergent l'un vers l'autre en terme de signification.
D'une part la question est posée de l'occupation de la Zone Industrielle actuelle où il est semble-t-il indéniable que des espaces soient disponibles (argument ici d'économie quant aux derniers collectifs) ; d'autre part, se questionner quant à la biodiversité, aux ressources, à la résilience alimentaire locale, cela semble une option riche.
Comme d'autres, j'imagine un Technolac qui ne soit pas que Tech mais aussi un laboratoire du Vivant, car celui-ci, on le sait, est en grande fragilité. On a ici l'opportunité d'inventer en semant "du sens" pour vingt ans et être un territoire reconnu comme tel. Ce serait dans ce cas en soi une richesse.
Voici quelles sont les réflexions dont je vous remercie de les collecter. Ceci non loin du magnifique Lac que nous avons ici la chance de côtoyer, n'est-ce pas un enjeu ?
Bien cordialement, de Chambéry
Contribution n°171 (Web)
Déposée le 29 juin 2024 à 11h27
Je suis également contre l'artificialisation des zones naturelles qui servent de corridor écologique, ainsi que contre l'assèchement des zones humides, actions qui auraient des conséquences désastreuses sur la biodiversité. Des lois telles que la Loi Résilience et Climat, ainsi que la Loi ZAN, interdisent désormais ces pratiques destructrices. Nous devons les respecter et les faire respecter.
Je souhaite promouvoir une solution d'activité agricole, en rappelant que l'agriculture est une activité économique aussi importante que d'autres secteurs économiques. La priorité doit être donnée à l'autosuffisance alimentaire de notre territoire. Une agriculture locale et durable est essentielle pour notre avenir collectif.
En outre, je propose d'optimiser la zone actuelle (Zac 1 et Zac 2) en termes de densification, comme la construction de parkings en silos, et en améliorant les déplacements avec des aides et un site internet dédié au covoiturage, ainsi que la location de vélos à assistance électrique. Il a été démontré que la majorité des occupants des ZAC 1 et 2 ne sont pas impliqués dans des activités d'innovation technologique ou d'énergies renouvelables, contrairement à l'image de marque initialement promue par Savoie-Technolac. Ces zones sont actuellement délaissées, avec des espaces en vente, vides ou à détruire.
Je suis également déterminé à associer la population à l'avenir de notre territoire via une convention citoyenne locale. Les contributions des citoyens sont essentielles pour ancrer nos actions dans la réalité et les rendre plus convaincantes. Par exemple, nous pourrions organiser des ateliers participatifs pour recueillir les avis des habitants sur l'utilisation future des zones agricoles et naturelles, et intégrer leurs idées dans nos plans de développement.
Il est crucial d'illustrer notre démarche par des faits, des observations et des exemples spécifiques à notre territoire. Cela permettra de démontrer l'importance de protéger nos zones agricoles et naturelles, et de promouvoir un développement durable et inclusif pour Grand Chambéry.
Contribution n°170 (Web)
Déposée le 29 juin 2024 à 09h05
Contribution n°169 (Web)
Déposée le 29 juin 2024 à 08h59
Contribution n°168 (Web)
Déposée le 29 juin 2024 à 08h49
pourquoi le dossier d'enquête parcellaire n'est pas en ligne ? un oubli ?
cordialement
Contribution n°167 (Web)
Déposée le 29 juin 2024 à 00h42
Contribution n°166 (Web)
Déposée le 28 juin 2024 à 22h35
Développer une Zac3 sur un site et des dessertes déja saturées de voitures et alors que l'existant pourrait être densifié semble incohérent. La Loi ZAN ne doit elle pas nous inciter à réfléchir différemment, sans même attendre son application.
Si on développe beaucoup le nombre d'emploi, il faudra aussi créer des logements, les tensions sur le marché immobilier sont déja énormes ,les gens partent habiter loin pour travailler sur Technolac, cela ne va pas dans le bon sens.
Même sans extention, le site nécessite déja des aménagements en terme de mobilités, en particulier une voie spécifique pour les transports en commun pour leur donner un avantage et inciter les usagers à s'en saisir.
Vous l'aurez compris, je suis très défavorable à cette extention programmée il y a 30 ans et qui ne saurait être maintenue dans le contexte actuel. Pensons à nos enfants, manger sera toujours fondamental, la planète à besoin que l'on se calme pas que l'on poursuive une course à de nouvelles technologies vertes à implanter forcément chez nous...
Contribution n°165 (Web)
Déposée le 28 juin 2024 à 19h10
Je m'oppose à l'extension de la ZAC Savoie Technolac.
La ZAC actuelle comporte de nombreux bâtiment vides, à rénover ou reconstruire : il faut en priorité utiliser ces terrains déjà artificialisés plutôt qu'en bétonner de nouveaux.
La ZAC actuelle est composée d'un trop grand nombre de parkings et l'accès bouchonne toujours plus : il faut absolument améliorer la desserte en transports en communs et inciter à son utilisation afin de réduire les parkings et les bouchons. Étendre la ZAC ne ferait d'ailleurs qu'aggraver ces phénomènes si rien n'est fait pour améliorer les transports. Je me rends sur cette ZAC en bus et cela me prend 2 à 3 fois plus de temps qu'en voiture (mais j'évite de me garer dans un fossé) : c'est rédhibitoire pour des gens moins engagés !
Les terres agricoles potentielles victimes de cette ZAC 3 sont les meilleures de Savoie, plates et fertiles, et font pâlir d'envie des agriculteurs que je connais. Quel gâchis ce serait, à l'heure où la relocalisation de l'agriculture est un enjeu international, de les urbaniser !
Est-il vraiment nécessaire de construire tous ces bureaux alors que Chambéry en prévoit un paquet à la Cassine, zone bien mieux desservie par les transports en communs ?
Pour toutes ces raisons, je soutiens le projet alternatif agricole et vous appelle à abandonner ce projet obsolète et destructeur. Ce n'est pas parce-que ça fait longtemps que c'est prévu que c'est une bonne idée ! Le monde change, prenez le virage avec les citoyens et non contre !
Merci de votre attention.
Contribution n°164 (Web)
Déposée le 28 juin 2024 à 18h18
A l’heure où certains reprochent une stratégie tout tourisme qui serait portée en Savoie, il est important de noter que cela n’a jamais été le cas.
La création du parc d’activité de Savoie Technolac en est la preuve parfaite.
Au cours de toutes ces années depuis la fermeture de la base aérienne 725 en 1985, sous l’impulsion du département de la Savoie, ce parc s’est fortement développé et accueille aujourd’hui des centaines d’entreprises, une université, des centres de renommée mondiale l’INES ou le CIH, des milliers d’étudiants et des milliers de salariés !
C’est une vraie réussite que l’on doit à des entrepreneurs certes, mais aussi aux collectivités qui ont élaboré, porté cette stratégie et se sont donné les moyens de la mettre en œuvre.
Les emprises foncières concernées sont intégrées dans le projet de développement du parc depuis de nombreuses années, et sont nécessaires aujourd’hui pour accueillir le développement d’entreprises nées sur ce parc. A fortiori dans la mesure où elles s’inscrivent complètement dans des filières d’excellence de notre région.
Il peut être utile de rappeler la sensibilité de la Savoie aux enjeux écologiques et ce depuis des décennies, et les nombreuses actions menées à cet égard dans un territoire constitué à près de 94 pour cent de zones non artificialisées.
Je suis donc extrêmement favorable à l’extension de cette zone d’activité, à ce qu’elle va permettre en termes de développement d’activités, de créations d’emplois.