Contribution n°37 (Web)
Déposée le 4 juin 2024 à 22h30
précédents sinon je crois que l on est vraiment en danger de vouloir installer des machines qui nuisent à notre environnement et notre santé !!non non et non !!!!
Contribution n°36 (Web)
Déposée le 4 juin 2024 à 22h10
En FRANCE les éoliennes sont une calamité puisque l'électricité est déjà décarbonnée avec le nucléaire et l'hydraulique. L'éolien a un taux de CO2 plus important que le nucléare.
L'éolien est mauvais pour les paysages , les territoires, la biodiversité, la santé des riverains, le gachis de matériaux et de métaux rares. Par sa dispersion il exige des montants énormes pour son raccordement au réseau électrique et fait grimper le prix de l'électricité. L'éolien perturbe le réseau électrique par son intermittence et comme il est aléatoire et qu'il est impossible de stocker l'électricité à l'échelle du réseau il faut toujours prévoir une autre source de production fiable. En France l'éolien est aussi très peu producteur puiqu'en moyenne il ne produit que 25 % de sa puissance installée.
Contribution n°35 (Web)
Déposée le 4 juin 2024 à 21h02
Contribution n°34 (Web)
Déposée le 4 juin 2024 à 16h14
Ça suffit !
Où iront nos compatriotes-touristes qui recherchent à tout prix des paysages sains et non pollués par ces aérogénérateurs. Ces touristes qui font vivre tous nos commerces.
Si le projet est accepté, tôt ou tard, nos départements vont se scléroser.
Contribution n°33 (Web)
Déposée le 4 juin 2024 à 15h15
Contribution n°32 (Web)
Déposée le 4 juin 2024 à 15h04
Pourquoi installer de nouvelles éoliennes alors que la France est exportatrice de courant grâce en grand partie à nos centrales nucléaires qui produisent une énergie pilotable décarbonée
Contribution n°31 (Web)
Déposée le 4 juin 2024 à 14h10
Contribution n°30 (Web)
Déposée le 4 juin 2024 à 14h09
Contribution n°29 (Web)
Déposée le 4 juin 2024 à 13h38
Je ne comprends pas que la société Abo Wind, s’entête à vouloir imposer son projet d’aérogénérateurs.
Après avoir reçu un avis défavorable émis par la commission d’enquête (la population et leurs instances politiques étant dans leurs presque intégralité opposées à ce projet), le refus de la préfecture, l’industriel refusant cette décision a porté un recours devant la cour administrative, et sans attendre sa décision (qui a confirmé le refus de la préfecture) a décidé de déposer une nouvelle demande.
Son nouveau projet est en contradiction totale avec ce qu’il écrivait dans son premier projet : « la ressource en vent est insuffisante à des hauteurs moindres (240m) ». De ceci je conclu que l’on ne peut pas faire confiance à cet industriel puisque maintenant son nouveau projet est constitué de 4 aérogénérateurs de 200 m.
Même ce qu’il dit pour faire passer son projet est insuffisant pour répondre à ses obligations. La Mission Régionale de l’Autorité Environnementale met en évidence des défauts similaires au premier projet, notamment en ce qui concerne les enjeux de biodiversité, précisant « La juste conciliation de l'ensemble des enjeux environnementaux n'est pas démontrée ».
Habitant le château du Plaix (XIII et XIX) sur les hauteurs de la commune de Fleuriel, un site historique dans un environnement naturel, ce projet est comme une balafre en plein cœur de notre boccage Bourbonnais. Cet environnement devient de plus en plus rare, il convient de le protéger.
Je serais directement impacté par la pollution visuelle et lumineuse. Je note que la prise de vue du point n°24 a été présenté en 2 photographies ne permettant pas de voir l’intégral du projet et de plus le point de vue choisi est en dessous d’un arbre, minimisant l’impact visuel. J’aurais, aimé un visuel depuis « La Juche » croisement de la D36 et D46 qui serait honnête.
Ce projet aura un impact non seulement sur la faune (Cf. rapport de la LPO sur ce projet) mais également sur l’ensemble des aménités de notre boccage. Regardant dimanche 2 juin 2024 les images de la course cycliste du Dauphiné diffusées sur France télévision qui, justement passait autour du lieu d’implantation prévu, je me disais que ces paysages magnifiques allaient disparaitre si ce projet aboutissait. La région d’implantation prévue n’a que ses aménités comme richesses. Les supprimer c’est nous condamner.
En ce qui concerne l’impact visuel qui est le plus flagrant, la modification de la hauteur des machines passant de 241 à 200 mètres de haut (la tour Montparnasse en plein boccage), je me permets de rappeler les écrits de l’industriel dans son premier dossier (refusé) : « On constate ici que les zones d’influence visuelle sont presque identiques malgré la différence de gabarit » et « La comparaison des modèles V136 [(200 mètres)] et V150 [(241 mètres)] avec une implantation similaire a mis en évidence qu’un gabarit majoré (la V150 en l’occurrence) étend très peu les zones de visibilité du projet ». Il n’y a donc pas de correction apportée à ce critère qui a, entre autres, conduit à un avis défavorable du premier projet.
Pour toutes ces raisons, un avis défavorable s’impose.
Maxime ROŸET
Contribution n°28 (Web)
Déposée le 4 juin 2024 à 12h37
Les communes, les habitants...
Certainement pas les investisseurs qui auront liquidé bien avant.