Les contributions

Contribution n°9 (Web)

Par patrice
Déposée le 29 juin 2024 à 18h19
Cette révision est purement et simplement un scandale qui va constituer un précédent qui sera bien-sûr renouvelé et multiplié sans [...]
Cette révision est purement et simplement un scandale qui va constituer un précédent qui sera bien-sûr renouvelé et multiplié sans aucun scrupule aux travaux qui suivront dans les autres massifs de Belledonne ou de Charteuse faisant fît du respect des règles en vigueur qui sont là pour la protection de la nature et de ce bien commun déjà si mal mené : L'EAU +++
Comment l'état et différents instances de protection de la nature peuvent-ils accepter qu'on déroge à la règle et aux normes ?. N'est-ce pas contraire au devoir de l'état ?
Co-président de l'association LE GRAND TETRAS ne m'oppose à cette soit disant "'Utilité publique" qui n'est là que pour servir les intérêts de TELT pour un chantier qui est dénoncé par de nombreuses associations de protection de la nature, comme catastrophique avec des dégâts irréversibles pour les sources, la végétation et les humains (Cf les avis de l'enquête publique de 2002.)

Contribution n°8 (Web)

Par billat claudia
Déposée le 27 juin 2024 à 14h37
Bonjour,
Je trouve que c'est un assassinat des populations locales concernées que de modifier l'arrêté actuel d'utilité publique des [...]
Bonjour,
Je trouve que c'est un assassinat des populations locales concernées que de modifier l'arrêté actuel d'utilité publique des sources en question
cordialement, Claudia Billat

Contribution n°7 (Web)

Par de saivre anne marie
Déposée le 26 juin 2024 à 17h10
Monsieur le Commissaire Enquêteur,
Je vous prie de trouver ici ma contribution à cette enquête publique.

Cette enquête concerne [...]
Monsieur le Commissaire Enquêteur,
Je vous prie de trouver ici ma contribution à cette enquête publique.

Cette enquête concerne 10 captages en AEP ( alimentation en eau potable) sur 4 communes, Avrieux, Bramans, Orelle et Saint -André, dont la Préfecture de Savoie voudrait voir modifier les DUP.
Ces captages, qu'ils soient immédiats, rapprochés ou éloignés se trouvent à l'aplomb du tracé du futur tunnel de base du LT ( Lyon Turin), ce qui, au regard des lois sur l'eau, interdit tous forage, excavation construction, percement, creusement.

Il s'agit bien là d'une épine dans le pied des promoteurs du LT.
La volonté de modifier les DUP de ces captages ne trompe personne sur sa finalité : faire rentrer le tunnel de base dans le cadre des lois sur l'eau.
Pour faire passer cette modification, le procédé est simpliste ! Considérer l'eau potable de façon très restrictive, sous son seul aspect qualitatif, tout en ignorant la problématique quantitative de l'eau.
On comprend aisément, sans avoir fait d'études poussées en hydrogéologie, que le creusement d'un tunnel à plus de 500 m de profondeur, quelques soient les procédés utilisés
( explosifs, tunneliers, ciments, résines , hydrocarbures etc....) potentiellement polluants pour l'eau, ne peut pas impacter la qualité de l'eau des nappes situées beaucoup plus haut ( à 100m de profondeur par exemple).
On peut d'ailleurs remarquer que les conclusions de hydrogéologues " l'eau ne remonte pas toute seule " auraient tendance à faire croire qu'ils prennent le public pour des imbéciles.

Mais l'eau potable ne doit pas être seulement de qualité, elle doit aussi être en quantité; et, là, le problème est majeur !

L'eau va toujours dans le sens de son drainage, excusez moi de le rappeller, c'est une évidence.
Elle ruisselle le long des failles et fissures des roches, traverse des terrains plus perméables, elle est "aspirée" par la gravité.
Les tunnels aspirent l'eau et la drainent, quelque soit la profondeur des ouvrages souterrains.
Les 4 descenderies creusées sur le tracé du LT (3 en France : St Martin la Porte, La Praz , Villarodin -Bourget; 1 en Italie : Chiomonte) sont pompées 24h/24 pour en évacuer l'eau qui s'y engouffre , eau qui doit être décantée pour refroidir avant d'être rejetée dans la rivière.
Les promoteurs ne communiquent pas beaucoup là dessus, il est impossible d'obtenir un chiffrage du volume des eaux d'exhaure rejeté à la rivière.
LE BRGM ( Bureau d'études géologiques et minières) dans une étude de 2021 estime que" 75% des mesures faites par TELT ont une exploitabilité limitée, les méthodes de prélèvement ne sont pas adaptées, entrainant une "incertitude importante" ( pages 4 , 51-53).

Plusieurs communes ont déjà vu leurs sources taries, particulièrement Villarodin -Bourget, lors du creusement de la descenderie; le promoteur a "compensé " cette perte en allant chercher l'eau au col de la Masse avec un aqueduc ; eau qui arrive au village très peu minéralisée puisque qu'elle est descendue de la montagne dans un tube dans un tube et n'a pas transité dans les roches où elle se serait chargée en minéraux.
On peut aussi lire dans le dossier de l'enquête que pour le forage de TELT F72 bis, près du captage du camp de la côte à St André, le niveau de la nappe a baissé de 40 mètre entre 2002 et 2022, depuis le creusement de la descenderie de la Praz.

L'UE a commandé en 2006 le rapport COWI " analyses des études faites par LTF ( l'ancêtre de TELT) sur les impacts prévisibles du projet LT dans sa section internationale" ;
il y est écrit que le creusement du tunnel de base va drainer entre 60 et 125 millions de m3 par an, pas seulement pendant les travaux, mais éternellement...... jusqu'à ce que le ressource en eau soit définitivement et irrémédiablement tarie????

Le changement climatique, le recul des glaciers aggravent la situation hydrogéologique du gigantesque réservoir d'eau que sont les Alpes, personne ne peut le nier.
Il faut la préserver au maximum et non pas s'acharner dessus.
L'intérêt public premier est l'accès à l'eau potable.

La diminution de la quantité d'eau affecte sa qualité, puisque les polluants s'y trouvent moins dilués, c'est aussi une évidence; qui semble échapper aux experts dont l'avis est publié dans cette enquête.

La conclusion des hydrogéologues experts, qui "autorisent" les excavations 100 mètres en dessous des nappes de stockage de l'eau potable, et donc le percement du tunnel de base sur son tracé actuel, est, à mon avis , le résultat d'une étude absolument incomplète, biaisée, puisqu'elle ne tient absolument pas compte du risque majeur de la perte en eau, irréversible, que le promoteur persiste à nier.

Je suis donc fondamentalement opposée à la modification des DUP.

Contribution n°6 (Web)

Anonyme
Déposée le 24 juin 2024 à 17h31
Monsieur le Préfet,

Les DUP concernant les secteurs des captages des sources ont été prises par les services de l'État afin de protéger [...]
Monsieur le Préfet,

Les DUP concernant les secteurs des captages des sources ont été prises par les services de l'État afin de protéger la qualité mais aussi le débit de ces sources. Or, dans la présente consultation, nous lisons que "les prescriptions précitées pourraient aller à l’encontre de l’intérêt général du projet de liaison ferroviaire". Il n'est donc plus question de savoir si ces DUP protègent l'intérêt général lié à l'approvisionnement en eau mais d'évaluer leur capacité à nuire à l'intérêt "général" du tunnel. Je dois avouer que cette approche est très choquante. L'intérêt du tunnel primerait donc sur l'intérêt général d'alimentation en eau ? Il n'est pas nécessaire d'avoir fait de grandes études hydrogéologiques pour comprendre que les galeries de TELT qui se situent bien en dessous des points de captage ne nuiront certainement pas à la qualité des sources concernées. Par contre, au vu de la complexité des réseaux hydrologiques sous-terrains, une pollution au niveau du tunnel pourrait certainement affecter des sources ou des nappes phréatiques en aval de la galerie. Cette question a-t-elle été prises en compte ? Par ailleurs, qu'en sera-t-il du débit ? Il n'est pas non plus nécessaire d'avoir fait de hautes études pour savoir que toutes les fissures plus ou moins larges inévitablement provoquées par le creusement du tunnel vont forcément drainer les eaux d'infiltration, risquant ainsi de modifier les réseaux sous-terrains et de tarir certaines sources. Pour étayer cette évidence, je joins un document que vous ne pouvez ignorer. Cette étude réalisée par l'État et le département en 1977 pour évaluer les conséquences du creusement d'une galerie EDF sous Belledonne en 1974 montre que quasiment toutes les sources situées plusieurs centaines de mètres au dessus de la galerie ont soit été taries, soit ont vu leur débit réduit. Monsieur le Préfet, l'eau est un bien trop précieux pour prendre le risque de l'altérer. Le principe de précaution le plus large doit s'appliquer. Je suis donc tout à fait opposé à réviser ces DUP. Ce serait une décision qui risquerait d'avoir de lourdes conséquences et dont vous porteriez la responsabilité..

Document joint


Contribution n°5 (Web)

Par Duplan André
Déposée le 23 juin 2024 à 19h21
Ce dossier d'enquête n'aborde la problématique que sous l'angle de la contamination des captages par les travaux d'excavation du [...]
Ce dossier d'enquête n'aborde la problématique que sous l'angle de la contamination des captages par les travaux d'excavation du tunnel de base, pour préconiser leur autorisation au prétexte qu'il n'y aurait pas de risque avéré.

Il est incomplet car il ignore les menaces bien plus graves car irréversibles, sur la baisse des débits et le tarissement potentiels des captages du fait des drainages des galeries creusées sous leurs périmètres immédiats et rapprochés. L'expérience démontre déjà que ces menaces sont bien réelles et déjà constatées par la réalisation des descenderies de Villarodin-Bourget et de La Praz, et de la galerie de reconnaissance entre St Martin-la-Porte et la Praz.

On ne peut prendre pour seul critère l'analyse que les travaux d'excavation n'affecteraient pas la qualité de l'eau des captages pour les autoriser. Il est essentiel de considérer le fait que ces ouvrages puissent mettre en péril la disponibilité de la ressource en eau elle-même dans le temps long avant de prendre toute décision.
il convient d'analyser aussi dans quelle mesure la perte durable de débit d'un captage pourrait affecter sa potabilité.

D'ailleurs, le rapport COWI publié en avril 2006, commandé par l’UE '"Analyse des études faites par LTF (aujourd'hui TELT) sur le projet Lyon - Turin (section internationale)" estimait (en P 47) les drainages du tunnel de base dans une fourchette de 60 à 125 millions de m³ d’eau /an soit l’équivalent de la consommation d’une agglomération de 1 million d’habitants. Une perte de ressource irréversible dans les zones drainées.

S'agissant d'une ressource absolument vitale, dont la disponibilité est également tributaire du changement climatique pouvant provoquer sa rareté (fonte des glaciers, moindre enneigement, périodes de sécheresses plus fréquentes et marquées) , on ne doit pas jouer à la roulette russe avec ce bien commun essentiel , dont j'estime la préservation d'un intérêt général supérieur au projet d'une deuxième liaison ferroviaire Lyon-Turin.

Ainsi donc le principe de précaution ( inscrit dans la charte de l'environnement §5 et intégré dans la constitution) doit prévaloir en l'absence de certitudes et de connaissances scientifiques suffisantes pour prévenir les dommages potentiels : soit en abandonnant le projet puisqu'il existe une solution alternative en utilisant de façon optimale la ligne ferroviaire existante, soit en modifiant le tracé de l'ouvrage pour éviter les périmètres de protection immédiats et rapprochés des captages.

J'estime en conséquence que la révision des arrêtés telle que préconisé par le dossier d'enquête est déraisonnable et émets un avis extrêmement défavorable.

Contribution n°4 (Web)

Par MENUEL Elizabeth
Déposée le 23 juin 2024 à 16h10
Bonjour,
En découvrant le dossier, je me demande au vu des schémas de présentation si le projet du TELT a bien été étudié en amont [...]
Bonjour,
En découvrant le dossier, je me demande au vu des schémas de présentation si le projet du TELT a bien été étudié en amont ou bien si l'on a affaire à des apprentis "sourciers" car les tunnels projetés vont drainer la montagne sur la totalité du tracé du fait de leurs diamètres d'une part et de leur pente d'autre part, ajouté à cela la nature des roches traversées.
Je me permets une telle remarque car on sait de "source" sûre que déjà des sources sont en voie de tarissement sur des communes "infectées" et "infestées" par les travaux de creusement du TELT. Pensez-vous, Monsieur Le Préfet que l'argent de TELT pourra compenser l'irréversibilité d'une telle atteinte à l'environnement des Mauriennaises et Mauriennais ?
Par quel tour de magie des hydrogéologues peuvent-ils valider la théorie que le tracé du TELT n'affectera pas les captages des communes pour lesquels il devient impératif de modifier les règles pourtant établies antérieurement dans le strict intérêt de la santé des populations des dites communes. N'avez-vous pas Monsieur Le Préfet, la responsabilité tout autant que Messieurs les Maires d'Orelle, Saint-André, Avrieux et Bramans-Val Cenis de la fourniture d'eau potable en quantité et qualité irréprochable ?
Dans un avenir proche, devrons-nous être alimentés en eau par camions-citernes et palettes de bouteilles en plastique ? N'est-ce pas ce monde toujours plus insensé que vous nous préparez ?
J'ose, Monsieur le Préfet, appeler cela, un crime avec préméditation ou autrement dit assassinat, contre les populations et l'environnement lequel n'est pas uniquement celui de notre humanité mais concerne, veuillez le comprendre, celui de toutes les espèces tant animales que végétales !
Aussi, comment peut-on "organiser" une consultation publique aussi cruciale à une telle période de l'année sachant qu'il y a des citoyens partis en vacances, que nous sommes en période d'examens, ce pour les étudiants et leurs professeurs, et sur une durée aussi courte sans arrière-pensée avec l'idée de, permettez l'expression, mieux faire passer la pilule ?
En conclusion, je suis opposée à toute modification des arrêtés des DPU des captages concernés et considère que TELT devrait être poursuivi pour atteinte à la santé et la vie d'autrui.
J'espère que malgré ces fâcheuses circonstances temporelles, les Mauriennaises et Mauriennais seront nombreux à défendre leur patrimoine naturel.
Citoyennement,
Elizabeth MENUEL

Contribution n°3 (Web)

Par MENUEL Gérard
Déposée le 23 juin 2024 à 12h38
Bonjour,
Je souhaiterais apporter ma modeste contribution en posant quelques questions simples :
pourquoi vouloir modifier des arrêtés [...]
Bonjour,
Je souhaiterais apporter ma modeste contribution en posant quelques questions simples :
pourquoi vouloir modifier des arrêtés préfectoraux de protection des captages d'eau potable dans les quatre communes situées au dessus du projet du futur tunnel ferroviaire TELT et dont les-dits captages se trouvent précisément à l'aplomb du tracé du TELT ? L'opération ne vise-t-elle pas mettre en conformité le TELT en autorisant son passage à l'aplomb des captages alors qu'il est rigoureusement interdit de creuser dans le périmètre avec le risque de drainage que cela peut entraîner ? Si on accepte cela, c'est encore une nouvelle atteinte à l'intégrité de la ressource en eau qui viendrait s'ajouter à toutes les nuisances déjà subies par la population de Maurienne. On constate que des sources ont déjà perdu toute ou partie de leur débit dans les secteurs des chantiers du TELT. On sait que la qualité des eaux captées est généralement très liée au débit des sources. Il serait indispensable que ce chantier soit suspendu voire arrêté car toutes les précautions en matière de santé publique ne sont pas respectées.
Attend-t-on que les dommages soient irréversibles. Ou est la gestion des biens communs en bon père de famille ?
Voilà mes réflexions Monsieur le Préfet.
Gérard MENUEL

Contribution n°2 (Web)

Par SAVOYE Gérard
Déposée le 22 juin 2024 à 15h22
Je dépose un avis très négatif sur le projet de révision des arrêtés préfectoraux actuellement en vigueur pour les captages d'eau [...]
Je dépose un avis très négatif sur le projet de révision des arrêtés préfectoraux actuellement en vigueur pour les captages d'eau de source des communes de VAL CENIS, AVRIEUX, ORELLE et SAINT ANDRE. C’est un non-sens, alors que l’eau de source est déjà fortement impactée par les bouleversements climatiques qui devraient d’ailleurs s’amplifier dans les années à venir.
Les prescriptions associées aux activités actuellement interdites dans les divers PPI et PPR (interdiction de construction, d’excavation, de tir de mines et d’emploi d’explosifs, de dépôts, de stockage et de transport de substances polluantes, …) ne doivent aucunement être réduites par les travaux de percement du tunnel Lyon-Turin.
Dans tout projet de cette envergure la question de la protection du puisement des eaux de source des communes limitrophes aurait dû être étudiée amont du projet du tunnel transalpin. Si ces études n’avaient pas occulté les périmètres de protection, le tracé du tunnel transalpin aurait pris en compte ces contraintes et le tracé modifié en conséquence.
Ce n’est pas quand on s’aperçoit - trop tard - que pour être conformité on doit réduire les zones de protection des captages des sources.
Pourquoi faire confiance à ces études, forcément orientées, alors que lors du percement des excavations de reconnaissance, la commune AVRIEUX-LE BOUGET s’est retrouvée du jour au lendemain face à un tarissement de source. Si l’eau ne remonte pas, comme précisée ironiquement dans le dossier d’étude, par simple gravité, l’eau des sources s’écoulera alors dans les cavités nouvelles excavation. Et cela est une réalité ! C’est un simple phénomène physique.
Avec un futur tunnel transalpin situé à une cote altimétrique beaucoup plus basse que l’altitude des sources et contrairement à ce qu’affirment les études, par simple gravité, une partie ou la totalité de ces sources vitales pour les communes va se retrouver drainer par cette future excavation.
Comment les services de l’Etat et sous quelles pressions sont-ils amener à prendre une telle décision. L’eau est vitale pour les populations de ces villages.

Je rappelle que l’eau est un bien commun. La récente conférence de l’ONU sur l’eau n’est pas une chimère. La conférence rappelle que « l’eau est une ressource naturelle vitale, épuisée, polluée et mal gérée ». Le Secrétaire général de l'ONU, António GUTERRES, a souligné que « l'eau est un droit humain et qu'elle est à la base de tout effort de développement tendant à façonner un avenir meilleur ».
Dans les Alpes nous connaissons un réchauffement climatique plus important qu’ailleurs avec la disparition annoncée de nos glaciers pourvoyeurs de nos sources. Alors ne gaspillons pas nos ressources actuelles en eaux et préservons leurs périmètres de captage comme ils ont été précédemment arrêtés !

Pour ces motifs, je dépose un avis négatif à l’enquête publique ainsi qu'au projet de réduction des périmètres de captage des eaux de source.

Contribution n°1 (Web)

Anonyme
Déposée le 20 juin 2024 à 20h42
Bonjour,
Je suis opposé à la révision des arrêtés préfectoraux modifiant la DUP concernant les captages d'eau à proximité du chantier [...]
Bonjour,
Je suis opposé à la révision des arrêtés préfectoraux modifiant la DUP concernant les captages d'eau à proximité du chantier du tunnel Lyon turin.
Un impact sur ces captages dans les années à venir serait un désastre écologique irrémédiable pour les générations actuelles et futures .
Cordialement

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