Contribution n°7 (Web)
Déposée le 6 novembre 2024 à 22h33
Ces projets vont à l'encontre des valeurs et projets ennoncés dans la Chartre.
Pour exemple carriere d'extraction d'argile à ciel ouvert sur la commune de Sacierges st Martin et Roussines, presque 60 hectares de prairies, haies, zones humides, bois, d'espèces protègées etc sur une durée de 30 ans sans aucunes contreparties pour ces communes et ses habitants. Un pillage de nos ressources au profit de multinationale sans aucunes retombées bénéfiques pour le territoire. C'est un non sens d'annoncer vouloir protéger notre territoires et ses richesses déjà fragilisées et accepter de tels projets que ce soit pour l'environnement, la biodiversité...mais aussi humainement . Un territoire pauvre , comment a la fois promouvoir notre territoire en parlant de la beauté , de la diversité de son paysage, de sa faune et sa flore et en même temps ne pas s'opposer à sa destruction et dévaloriser notre territoire et ne pas prendre en compte l'avis de ses habitants (pseudo avis d'enquête publique dont on ne s'occupe pas de l'avis défavorable à ces projets). c'est honteux de détruire notre territoire, ce PNR et nous faire croire qu'on s'en préoccupe , honte à vous élus qui restez passif , voir complice de cette destruction sans même une retombée bénéfique pour ses habitants . Ils doivent subir les nuisances, la dévalorisations de leurs biens, de voir le saccage de leur environnements sans qu'on se préoccupe d'eux et de l'environnement . Une fois de plus des paroles qui sont du vents , les ecrits sont beaux mais la réalité beaucoup moins.
Contribution n°6 (Web)
Déposée le 6 novembre 2024 à 10h30
Le Beau
36310 Bonneuil
Objet : Enquête publique : Parc Régionale de la Brenne – extension du périmètre
Madame, Monsieur,
Si certaines mesures et restrictions paressent assez restrictives et méritent élaboration, sur le principe de l’élargissement je reste convaincu que le label PNR est très positif pour une commune et constitut un atout pour la qualité de vie des résidents et par corolaire valorise une région. L’inclusion d’une commune dans une charte environnementale comme le PNR est aujourd’hui considérée comme un gage et notamment pour celui qui recherche un lieu pour sa retraite et/ou pour ses vacances. Ainsi je soutien l’adhésion au PNR des communes limitrophes au périmètre existant.
A la veille de la COP 16 et dans la poursuite des résolutions de la COP 15, que pouvons-nous faire à l’échelle locale pour préserver la biodiversité et son biotope ?
C’est justement de soutenir des initiatives comme le renouvellement et renforcement des statuts du PNR de la Brenne et l’extension de son périmètre vers des communes limitrophes….
Je soutiens cette initiative pour les raisons suivantes :
i) Une biodiversité encore riche et bien préservée mais néanmoins très fragile
ii) Une attractivité, notamment touristique, accrue
Une biodiversité encore riche et bien préservée mais néanmoins très fragile
Situé dans une zone humide avec de nombreux lacs et mares et où les nappes phréatiques sont régulièrement très proches de la surface, la région de la Brenne et au sud de la Brenne offre un biotope bocager et pour partie marécageux qui attire un grand nombre d’animaux et notamment oiseaux.
La Brenne, mais également au sud de la Brenne, possède un système hydraulique souterrain complexe et interconnecté qui permet l’émergence de lacs, mares et prairies humides, cependant ce système hydraulique est fragile et facilement perturbé.
Autrefois fréquent un peu partout en France, les zones humides ont progressivement disparu par le drainage des terres agricoles et surtout l’artificialisation des sols par la construction de nombreuses infrastructures importantes. La raréfaction de ce biotope en France provoque un déclin alarment de la biodiversité :
«…75 % des milieux terrestres sont altérés de façon significative et plus de 85 % des zones humides ont été détruites. 66 % des milieux marins sont détériorés. 30 % de la superficie des herbiers marins qui offrent nourriture et nurserie à la faune marine ont été détruits au cours du 20ème siècle…. »
Source : Office français de la biodiversité
Quelle est la plus grande menace pour la biodiversité ?
La perte d'habitat est la menace la plus importante pesant sur la biodiversité et elle met en péril plus de 80% de toutes les espèces.30 juil. 2021
Source : Office français de la biodiversité
La région de la Brenne (y compris les communes à proximité du présent périmètre du PNR) présente un biotope riche pour un grand nombre d’animaux des zones humides et marécageuses (échassiers, cistudes etc.).
A titre d’exemple l’étang « Les Chardons » (déclaré ZNIEF) sur la commune de Beaulieu abrite parmi d’autres espèces la cistude, des aigrettes, des hérons, une très grande colonie de hérons pique bœufs et également une très rare mangrove d’eau douce qui offre un biotope parfait pour les nids de ces oiseaux.
La région, y compris les communes voisines au PNR, est survolée et offre aussi l’opportunité de gagnage pour de nombreux oiseaux migrateurs : le plus emblématique des oiseaux migrateurs est la grue cendrée qui « visite » les prairies humides sur la commune de Chaillac, Beaulieu, Bonneuil etc. par centaines (le survol se compte en dizaines de milliers) pour chercher quelques verres, mollusques, batraciens….
Moins nombreux mais également présent sont le milan royal, la cigogne blanche et la cigogne noire.
La cigogne noire est très régulièrement présente en survol lors de la migration mais a aussi choisi cette région pour s’y installer pendant la période de nidification… trois nids sont officiellement répertoriés (voir site de la DREAL Nouvelle Aquitaine) dans un périmètre de moins de 20Km. Le retour de la cigogne noire pour la nidification semble relativement récent mais nécessite une grande protection (protection du milieu et grande quiétude).
Pour la nidification mais également lors du survol, ces oiseaux nécessitent un biotope intact ce que le PNR peut leur garantir !
Il est de même pour les nombreuses espèces de chiroptères (pas moins de 23 espèces répertoriées) qui présentent un véritable baromètre de l’état de la biodiversité. Ces chiroptères méritent également protection de leur milieu et biotope.
Les statuts du PNR permettent au mieux de préserver les prérogatives de cette biodiversité !
Une attractivité, notamment touristique, accrue
Comment accroitre l’attractivité de la région ? Le label PNR offre une garantie et attire les touristes et les retraités vers une région. Ce label leur offre une garantie que la région restera bien préservée, une biodiversité bien protégée, une faune et flore bien conservées…. Comme la région de la Brenne et alentour attirent essentiellement un « tourisme vert », celui-ci est très soucieux de tous les aspects environnementaux !
Le tourisme constitue un poumons économique important – et un soutient vital pour les commerces et corps de métiers ! Un très grand nombre de restaurations d’anciennes fermes et maisons sont l’œuvre de nouveaux propriétaires ayant choisi cette région pour sa beauté des paysages et l’authenticité de ce bocage – une garantie du maintient de ces atouts encouragera d’autres de choisir cette région !
Une protection pour la valeur du patrimoine ? Oui, l’inclusion d’une commune dans le périmètre du PNR offre un gage que la région restera préservée surtout dans une région dont la principale richesse touristique sont les paysages. Les futurs acquéreurs seront très sensibles aux garanties offertes par le label PNR.
Le label du PNR sera un atout précieux, et notamment pour les communes nouvellement incluses, pour un tourisme abondant.
Conclusion
Je soutiens très fortement l’inclusion de l’ensemble des communes limitrophes au PNR dans le périmètre du PNR et notamment Saint Benoît, Chaillac, Beaulieu et Bonneuil.
Carl Dunning-Gribble
Document joint
Contribution n°5 (Email)
Déposée le 28 octobre 2024 à 13h20
Bonjour
Veuillez trouver ci joint notre réponse à l'Avis d'enquête publique concernant le PNR
Salutation
Abadie
Documents joints
Contribution n°4 (Web)
Déposée le 24 octobre 2024 à 15h38
Document joint
Contribution n°3 (Web)
Déposée le 22 octobre 2024 à 15h55
Un taux de couverture de 20% de remplit pas les avantages d'un projet agrivoltaiques qui ne permettra pas de couvrir suffisamment les cultures pour éviter les sécheresses. Surtout que la charte ne distingue pas les différents projets (céréales, ovin, bovin...), donc les restrictions de 5MW et un taux de couverture de 20% n'a pas de sens. Chaque projet est a analyser au cas par cas et c'est déjà la mission des institutionnels et de la commission CDPENAF.
Contribution n°2 (Web)
Déposée le 22 octobre 2024 à 11h40
Point 25- Survol du parc, avions de chasse volant à trop basse altitude au-dessus des villages, notamment Bélâbre, imposer une hauteur de vol
Point 54 - Réduire impact espèces exotiques envahissantes : penser aux écrevisses
Point 125 14-4 - Aménagements des points critiques , sous quelle forme : tunnels ?
Point 149 18-3 -Guide d'implantation panneaux photovoltaïques : on n'a pas trop le choix, les modèles standardisés, pas n'importe quelle orientation, toits très pentes
Point 217 29-3 : beaucoup de bâtis anciens ne trouvent pas preneurs suit à problèmes au niveau des successions et donc se détériorent (voir rôle des notaires auprès des héritiers)
Le défi n° 5 / Dynamisation du développement territorial durable: offre d'hébergements touristiques notoirement insuffisante
Le problème des crues récurrentes n'est pas abordé
Pourquoi n'y a t il pas de commissaire enquêteur à Bélâbre ?
Contribution n°1 (Web)
Déposée le 22 octobre 2024 à 09h11
N'oublions pas non plus que l'expérience allemande démontre l'inefficacité des tirs sur le Grand Cormoran. D'autres solutions sont à chercher, comme pour la protection des massifs de nénuphars nouvellement implantés. On voit très bien les ragondins franchir les grillages sans aucune difficulté...
Quant à permettre des "tours d'étangs" sur des propriétés, ça n'est pas gagné non plus. Je me suis fait chasser sans ménagement du bord de route (Espace public donc), par le pisciculteur, parce que l'observai les oiseaux au dessus de l'étang le Gabriau. Le sens de la propriété est exacerbé ici. Ça va jusqu'à l'appropriation de la voie publique.