Les contributions

Contribution n°48 (Web)

Par Baradat-Bujoli Thibault
Déposée le 17 janvier 2025 à 05h34

La surfréquentation met en danger l’exceptionnelle biodiversité de la réserve naturelle de Scandula.
La réglementation est juste et [...]

La surfréquentation met en danger l’exceptionnelle biodiversité de la réserve naturelle de Scandula.
La réglementation est juste et doit être appliquée.
Les promenades doivent être moins nombreuses et en silence.

Contribution n°47 (Web)

Par Franceschi Jean Bernard
Déposée le 16 janvier 2025 à 22h35

La réserve de Scandola est un lieu unique de la biodiversité de la Méditerrannée.
La Corse subit des pressions ou l'argent , le commerce, [...]

La réserve de Scandola est un lieu unique de la biodiversité de la Méditerrannée.
La Corse subit des pressions ou l'argent , le commerce, l'immobilier priment avant tout au mépris de toutes les règles. Nous avons des lieux enviés par le monde entier et nous sommes entrain de les perdre si rien n'est fait.
Les décrets actuels ne suffisent plus. La sur-fréquentation de la réserve de Scandola a pris des proportions qui sont devenues exponentielles ces dernières années.
Les populations des balbuzars pécheurs, les poissons; mérou, corb, etc déclinent d'année en année. La réserve ne doit plus subir l'invasion des bateaux qui font fuir la faune et qui détruisent le flore dont les posidonies qui sont arraché par de trop nombreux mouillages.
Il faut limiter l'accès aux quelques pécheurs et quelques bateleurs professionnels en nombre très limités.
A ces mesures, il faudra des moyens pour observer la réserve et surtout contrôler l'accès.
Les contrôleurs ont en face des personnes déterminées à continuer leur business.
Sans moyens puissants , il n'y aura pas de résultats.

Contribution n°46 (Web)

Par Jodet Lionel
Déposée le 16 janvier 2025 à 19h15

Le sur-tourisme est une plaie qui dépasse le sujet des réserves naturelles. Il est certes nécessaire de créer des réserves naturelles [...]

Le sur-tourisme est une plaie qui dépasse le sujet des réserves naturelles. Il est certes nécessaire de créer des réserves naturelles avec une réglementation très stricte et particulièrement celle de Scandola. Mais cela ne suffit pas. Il faut également encadrer le tourisme en général et notamment en Corse, via des quotas et la nécessité de réserver à l'avance son accès à tel ou tel lieux lorsqu'il est sur-fréquenté. Je suis favorable à un contrôle drastique de l'accès à cette réserve.

Contribution n°45 (Web)

Anonyme
Déposée le 16 janvier 2025 à 18h46

Très bien. La réserve est un parc d’attraction et business pour les bateliers. Ils ont abusé

Contribution n°44 (Web)

Par Demailly Serge
Déposée le 16 janvier 2025 à 17h53

La surfrequentation est cause de dégâts et d’atteintes à l’environnement qui deviennent incommensurables dans cette zone réservé. [...]

La surfrequentation est cause de dégâts et d’atteintes à l’environnement qui deviennent incommensurables dans cette zone réservé. Oui au projet de révision du décret de Scandola.

Contribution n°43 (Web)

Anonyme
Déposée le 16 janvier 2025 à 17h39

la surfréquentation est devenue problématique ces dernières années avec la multiplication des promenades en mer ajoutées aux visites [...]

la surfréquentation est devenue problématique ces dernières années avec la multiplication des promenades en mer ajoutées aux visites des particuliers; les lieux deviennent presque infréquentables en saison tant le nombre de bateaux est important; c'est dommage; quant à la protection des balbuzards elle doit être assurée même si on peut s'interroger sur le lien de causalité entre la baisse de la reproduction et la surfréquentation, d'autant que d'autres lieux de reproduction potentiels existent en corse et ne sont pas occupés et que dans certains pays (allemagne et USA) les nids de balbuzards se trouvent à proximité d'activités humaines (routes installations électriques)

Contribution n°42 (Web)

Par MERCURI Angèle
Déposée le 16 janvier 2025 à 17h36

Oui au projet de révision du décret de la réserve ! Nous devons protéger, de la surfréquentation, ce joyau à l'exceptionnelle biodiversité [...]

Oui au projet de révision du décret de la réserve ! Nous devons protéger, de la surfréquentation, ce joyau à l'exceptionnelle biodiversité !

Contribution n°41 (Web)

Par rumen jean pierre
Déposée le 16 janvier 2025 à 16h29

je pense que cette modification doit être appliquée pendant un laps de temps suffisant pour permettre un bilan afin de programmer [...]

je pense que cette modification doit être appliquée pendant un laps de temps suffisant pour permettre un bilan afin de programmer la suite.

Contribution n°40 (Web)

Anonyme
Déposée le 19 janvier 2025 à 11h30

Il faut cesser cette forme d ' "OPEN BAR" dés le moment ou nos "visiteurs " sont en possession d'un titre de transport tout est permis [...]

Il faut cesser cette forme d ' "OPEN BAR" dés le moment ou nos "visiteurs " sont en possession d'un titre de transport tout est permis ! Nous nous devons de préserver cet espace pour nos enfants.

Contribution n°39 (Web)

Par Association U LEVANTE
Déposée le 16 janvier 2025 à 15h41

Aujourd’hui, nul ne peut ignorer ou nier le problème de la surfréquentation qui met en danger l'exceptionnelle biodiversité de la [...]

Aujourd’hui, nul ne peut ignorer ou nier le problème de la surfréquentation qui met en danger l'exceptionnelle biodiversité de la réserve naturelle de Scandula. Le conseil scientifique de la réserve, le conseil national de protection de la nature, l’UNESCO, des associations, se sont mobilisés et des médias, y compris nationaux, ont relayé l'information : le problème n’est pas nouveau puisque, en avril 2020, le conseil de l’Europe n’a pas renouvelé le Diplôme Européen décerné à la réserve après avoir patienté en vain dix années. Dans son rapport bilan de 2023, l’Unesco a réitéré sa demande à l’État de finaliser le plan de gestion de la réserve dès que possible, en incluant une stratégie de tourisme durable et un ensemble de mesures pour traiter le problème de la pression touristique et réglementer le mouillage et le nombre de navires autorisés dans la partie maritime.
Sur les conseils des scientifiques d'organismes dont l'autorité et l'indépendance sont incontestables, l'État, conscient de la nécessité d'agir, souligne la surfréquentation du site et met en enquête publique un projet de révision du décret de la réserve. Si ce projet est approuvé et ensuite appliqué par le PNRC (gestionnaire délégataire via la CDC de la réserve), le classement en réserve naturelle devrait retrouver sa légitimité.
U Levante est très favorable à ce projet de décret.