Contribution n°27 (Web)
Déposée le 16 janvier 2025 à 09h50
En tant que promeneur, visiteur, touriste, il n'y a aucun plaisir à piétiner sur les sentiers, à faire la queue pour prendre une photo.
Et la biodiversité doit primer. Arrêtons de scier la branche sur laquelle nous sommes assis.
Une réserve naturelle n'est pas un parc zoologique.
Merci par avance pour la préservation de cette zone exceptionnelle.
Contribution n°26 (Web)
Déposée le 16 janvier 2025 à 09h25
Que Scandola soit un porte voix encore plus fort pour une prise de conscience collective favorisant un écotourisme responsable et durable loin de cette approche économico financière de court terme...
Contribution n°25 (Web)
Déposée le 16 janvier 2025 à 05h16
Contribution n°24 (Web)
Déposée le 15 janvier 2025 à 22h54
Madame, messieurs les membres de la commission d'enquête.
Il est parfois difficile de trouver les mots pour expliquer une évidence.
Certaines personnes, bien sûr, ont besoin de maintenir, voire de développer leur activité commerciale.
Difficile de ne pas céder à l'envie de sarcasme : détruisons la vie, puisqu'il faut bien que nous vivions.
Mais l'absurdité est encore plus frappante, quand il s'agit de détruire la vie d'un site que l'on exploite commercialement parce qu'il est justement prisé pour l'exceptionnelle biodiversité qu'il abrite. C'est, à petite échelle, à l'image de l'humanité toute entière, qui scie la branche sur laquelle elle est assise.
Donc, non, pour la millième fois, nous ne pouvons pas nous permettre de détruire la vie sauvage, fruit de millions d'années d'évolution qui ont tissé ces myriades d'intéractions entremêlées qui font qu'un écosystème fonctionne, et qui peuvent cesser subitement de fonctionner lorsque l'on supprime une partie de ces intéraction, a fortiori lorsqu'il s'agit d'une clé de voute comme le balbuzard pêcheur.
L'année 2024 a vu disparaitre le Courlis à bec grêle, victime de la disparition de son habitat.
Les vertebrés et les insectes sont en train de subir une réduction massive de leur nombre.
La perte de biodiversité est l'une des crises majeures que rencontre notre planète. Ses conséquences sont loin d'être imaginables. L'humanité n'existe et ne prospère que parce qu'elle vit au milieu de la biodiversité. Son agriculture, sa pêche, et donc son alimentation, mais aussi son accès à l'eau potable ne peuvent être durables que grâce à la vie qui nous entoure, qui imprègne chaque millimètre cube du sol, des rivières, et de la mer.
Ainsi, madame la présidente de la commission d'enquête, madame et messieurs les membres de la commission d'enquête, je ne peux pas imaginer que vous ne défendiez pas avec la plus grande détermination le projet de décret de protection de la tranquilité du balbuzard pêcheur par la réduction de la fréquentation dans la réserve de Scandola.
Il faut accepter, et promulguer, ce nouveau décret.
Contribution n°23 (Web)
Déposée le 15 janvier 2025 à 22h30
- préserver les espèces et les populations pour un équilibre durable à retrouver
- permettre aux populations locales de vivre de leur ressources naturelles et de développer des structures à échelle humaine.
Je connais cet endroit depuis les années 70 et vu son évolution, avec beaucoup trop structures privées purement mercantiles alors qu'une organisation publique est possible pour sensibiliser le grand public et les enfants particulièrement.
Contribution n°22 (Web)
Déposée le 15 janvier 2025 à 22h25
Contribution n°21 (Web)
Déposée le 15 janvier 2025 à 21h20
Contribution n°20 (Web)
Déposée le 16 janvier 2025 à 14h16
Il est plus que nécessaire de réactualiser la règlementation afin de ; PRÉSERVER UNE RÉSERVE NATURELLE (UN BIEN COMMUN) et de permettre à certains locaux de développer des structures à échelle humaine et raisonnable pour y vivre raisonnablement.
Je connais cet endroit depuis les années 70 et vu son évolution, avec beaucoup trop structures privées purement mercantiles et beaucoup moins celles du pouvoir public.
UN SAGE ET RAISONNABLE ÉQUILIBRE À TROUVER
Contribution n°19 (Web)
Déposée le 15 janvier 2025 à 20h26
Lorsque l’activité humaine, à fortiori l’activité de loisir, interfère avec la vie animale, donnons désormais la priorité aux animaux.
Contribution n°18 (Web)
Déposée le 15 janvier 2025 à 20h03
La surfréquentation touristique était une évidence depuis de longues années, l'atteinte à l'environnement patente ; les autorités ne pouvaient plus se voiler la face !
En espérant que les mesures de limitation proposées puissent servir de modèle à de nombreux autres sites de Corse, une île qui mérite mieux que la rapacité de certains qui n'ont pour objectif que de s'enrichir, au détriment des corses et de leur environnement.
Entièrement d'accord avec ce projet.