Contribution n°236 (Web)
Par Karlina FAYE
Déposée le 3 février 2025 à 22h36
Déposée le 3 février 2025 à 22h36
Monsieur le Commissaire Enquêteur,
Habitante d'une maison situé dans l’impasse du Levant à MONTPELLIER, je souhaite exprimer ma ferme opposition à la modification des hauteurs de construction prévues dans le quartier de la Rauze dans le cadre du futur Plan Local d’Urbanisme intercommunal (PLUi) de Montpellier Méditerranée Métropole.
L’autorisation de bâtiments en R+4 et R+5 dans un secteur majoritairement composé de maisons en R+1 représenterait une rupture profonde avec l’identité pavillonnaire du quartier. Cette transformation impacterait particulièrement les habitants des impasse du Levant, impasse du couchant, impasse du Cers, impasse de l’Autan et du Clos de Centrayrargues, tous attachés à la préservation du cadre résidentiel actuel.
L’implantation de constructions de grande hauteur en face de nos maisons engendrerait des nuisances importantes :
Suppression d'espace vert (notamment un arbre remarquable juste en de chez moi)
Vis-à-vis, perte d’ensoleillement
Dévalorisation des biens immobiliers
Augmentation des nuisances sonores
Saturation des infrastructures (routes engorgées, écoles surchargées)
Renforcement du risque d’inondation dû à l’artificialisation des sols.
Face à ces impacts négatifs, je demande une révision du PLUi afin de limiter la hauteur des nouvelles constructions à R+1 dans notre secteur. Cette adaptation garantirait une cohérence avec l’existant et préserverait le caractère résidentiel du quartier.
En vous remerciant pour l’attention portée à cette requête, je vous prie d’agréer, Monsieur le Commissaire Enquêteur, mes salutations distinguées.
Habitante d'une maison situé dans l’impasse du Levant à MONTPELLIER, je souhaite exprimer ma ferme opposition à la modification des hauteurs de construction prévues dans le quartier de la Rauze dans le cadre du futur Plan Local d’Urbanisme intercommunal (PLUi) de Montpellier Méditerranée Métropole.
L’autorisation de bâtiments en R+4 et R+5 dans un secteur majoritairement composé de maisons en R+1 représenterait une rupture profonde avec l’identité pavillonnaire du quartier. Cette transformation impacterait particulièrement les habitants des impasse du Levant, impasse du couchant, impasse du Cers, impasse de l’Autan et du Clos de Centrayrargues, tous attachés à la préservation du cadre résidentiel actuel.
L’implantation de constructions de grande hauteur en face de nos maisons engendrerait des nuisances importantes :
Suppression d'espace vert (notamment un arbre remarquable juste en de chez moi)
Vis-à-vis, perte d’ensoleillement
Dévalorisation des biens immobiliers
Augmentation des nuisances sonores
Saturation des infrastructures (routes engorgées, écoles surchargées)
Renforcement du risque d’inondation dû à l’artificialisation des sols.
Face à ces impacts négatifs, je demande une révision du PLUi afin de limiter la hauteur des nouvelles constructions à R+1 dans notre secteur. Cette adaptation garantirait une cohérence avec l’existant et préserverait le caractère résidentiel du quartier.
En vous remerciant pour l’attention portée à cette requête, je vous prie d’agréer, Monsieur le Commissaire Enquêteur, mes salutations distinguées.
Contribution n°235 (Web)
Anonyme
Déposée le 3 février 2025 à 21h55
Déposée le 3 février 2025 à 21h55
Le PLUi offrant la possibilité d'un achat de logement à loyer modéré, de qualité ( Normes 2022) et offrant une mixité sociale notamment à Montferrier-sur-Lez est une opportunité qui permettrait à des familles monoparentales appauvries dont je fais partie, de se loger correctement.
Contribution n°234 (Web)
Par Marques Paulo
Déposée le 3 février 2025 à 20h59
Déposée le 3 février 2025 à 20h59
S’agissant de l’OAP 37-montpellier-secteur-liberte-chaptal, les principes d'aménagement et programmation sont illustrés en page 4 du document.
Suite à l’analyse de cette carte, nous pouvons faire les constats suivants :
L’OAP présentée est très différente du projet de "poumon vert" annoncé en 2020 par M. Le Maire de Montpellier lors de la campagne municipale _ voir image. Si le projet de 2020 semblait peu réaliste, on pouvait néanmoins s’attendre à maintenir l’idée d’un projet avec une part d’espace vert dominante par rapport à la part résidentielle, et non l’inverse. En effet, le quartier ne comporte aucun parc et espace vert, hormis le parc Clémenceau mais qui se situe dans un secteur voisin. En outre, la priorité pourrait plutôt être donnée à rénover le parc de logement actuel du secteur et non à l’accroitre avec de nouveaux logements (même si certainement, il s'agira d'une réhabilitation des locaux de Groupama - du neuf serait une aberration !). A noter qu’un complexe résidentiel du même type que celui prévu dans l’OAP existe déjà dans le quartier (rue Adam de Craponne - anciennement la friche à mimi) et a des difficultés à se remplir à ce jour.
L’OAP propose une piétonisation de l’intersection entre l'avenue de la liberté et la rue Adam Craponne. Or cette rue est actuellement l’unique entrée et sortie du quartier Figuerolles/Gambetta. Les récents aménagements ont enclavé le quartier. Il ne serait pas judicieux de l’enclaver davantage. Par ailleurs, la suppression de ce point d’accès entrainera d’une part, un flux de véhicules beaucoup plus important sur le boulevard Renouvier, zone non adaptée pour un tel flux, et d’autre part, un flux de véhicule plus important sur la Place du 8 mai 1945 qui connait déjà actuellement de nombreux bouchons alors que le Tram 5 n’est pas encore en circulation.
Ce quartier reste un quartier très résidentiel, et même si les cycles ont largement augmenté, ce qui est louable, notamment sur le cours Gambetta, il reste nécessaire de garder un accès au quartier pour les véhicules (résidents, artisans, commerces, livraisons, écoles, …).
Un aménagement à étudier pourrait être la réalisation d’une passerelle piétonne, à l’intersection entre l'avenue de la liberté et la rue Adam Craponne, pour permettre aux piétons de traverser l'avenue de la liberté en toute sécurité, et de ne pas supprimer l’accès aux véhicules pour les résidents et artisans.
Suite à l’analyse de cette carte, nous pouvons faire les constats suivants :
L’OAP présentée est très différente du projet de "poumon vert" annoncé en 2020 par M. Le Maire de Montpellier lors de la campagne municipale _ voir image. Si le projet de 2020 semblait peu réaliste, on pouvait néanmoins s’attendre à maintenir l’idée d’un projet avec une part d’espace vert dominante par rapport à la part résidentielle, et non l’inverse. En effet, le quartier ne comporte aucun parc et espace vert, hormis le parc Clémenceau mais qui se situe dans un secteur voisin. En outre, la priorité pourrait plutôt être donnée à rénover le parc de logement actuel du secteur et non à l’accroitre avec de nouveaux logements (même si certainement, il s'agira d'une réhabilitation des locaux de Groupama - du neuf serait une aberration !). A noter qu’un complexe résidentiel du même type que celui prévu dans l’OAP existe déjà dans le quartier (rue Adam de Craponne - anciennement la friche à mimi) et a des difficultés à se remplir à ce jour.
L’OAP propose une piétonisation de l’intersection entre l'avenue de la liberté et la rue Adam Craponne. Or cette rue est actuellement l’unique entrée et sortie du quartier Figuerolles/Gambetta. Les récents aménagements ont enclavé le quartier. Il ne serait pas judicieux de l’enclaver davantage. Par ailleurs, la suppression de ce point d’accès entrainera d’une part, un flux de véhicules beaucoup plus important sur le boulevard Renouvier, zone non adaptée pour un tel flux, et d’autre part, un flux de véhicule plus important sur la Place du 8 mai 1945 qui connait déjà actuellement de nombreux bouchons alors que le Tram 5 n’est pas encore en circulation.
Ce quartier reste un quartier très résidentiel, et même si les cycles ont largement augmenté, ce qui est louable, notamment sur le cours Gambetta, il reste nécessaire de garder un accès au quartier pour les véhicules (résidents, artisans, commerces, livraisons, écoles, …).
Un aménagement à étudier pourrait être la réalisation d’une passerelle piétonne, à l’intersection entre l'avenue de la liberté et la rue Adam Craponne, pour permettre aux piétons de traverser l'avenue de la liberté en toute sécurité, et de ne pas supprimer l’accès aux véhicules pour les résidents et artisans.
Document joint
Contribution n°233 (Web)
Par Thomas CHATELAIN
Déposée le 3 février 2025 à 20h43
Déposée le 3 février 2025 à 20h43
0 béton !
Créer certains espaces Vert accessible sans dégradation des lieux.
Ne pas oublier le rôle important des animaux aussi petits soient-ils.
Créer certains espaces Vert accessible sans dégradation des lieux.
Ne pas oublier le rôle important des animaux aussi petits soient-ils.
Contribution n°232 (Web)
Anonyme
Déposée le 3 février 2025 à 20h29
Déposée le 3 février 2025 à 20h29
je souhaite dénoncer les constructions massives envisagées autour du collège Frédéric Bazille pour un projet de Maison du Numérique qui ne fait aucun sens en utilité, un projet dispendieux sur la base d'une urbanisation abusive dans le quartier
Aussi la construction de logements classiques et sociaux sur les berges du Lez vont dans le même sens alors que cette zone devrait être remise à la nature en cas de transfert de la clinique du Parc
Aussi la construction de logements classiques et sociaux sur les berges du Lez vont dans le même sens alors que cette zone devrait être remise à la nature en cas de transfert de la clinique du Parc
Contribution n°231 (Web)
Par Christophe LANGLOIS
Déposée le 3 février 2025 à 19h38
Déposée le 3 février 2025 à 19h38
Je souhaite exprimer mon opposition au projet de construction d’immeubles de grande hauteur dans les secteurs de Boirargues et du Solis-Soriech, tel qu’envisagé dans le cadre du Plan Local d’Urbanisme Intercommunal (PLUI) Climat de Montpellier Méditerranée Métropole. Ce projet suscite de vives inquiétudes quant à ses répercussions sur notre cadre de vie et notre environnement.
1. Dévalorisation du patrimoine immobilier existant
L’édification de tours et de barres d’immeubles dans un quartier principalement composé de maisons individuelles risque d’altérer significativement le paysage urbain. Cette transformation pourrait entraîner une diminution de la valeur des propriétés actuelles, en raison de la perte d’ensoleillement, de la réduction de l’intimité et de la modification de l’esthétique du quartier. Des résidents ont déjà exprimé leurs préoccupations à ce sujet, soulignant que la construction d’une tour de 14 étages serait disproportionnée par rapport aux habitations existantes.
2. Augmentation de la densité de population et de ses conséquences
L’ajout prévu de 3 350 logements dans ces secteurs entraînera une densification importante de la population. Cette concentration sur des espaces restreints est susceptible de provoquer une hausse significative du trafic routier, du bruit et de la pollution atmosphérique. Malgré les intentions affichées de promouvoir des modes de déplacement doux et d’apaiser la circulation, les infrastructures actuelles semblent insuffisantes pour absorber un tel afflux de résidents.
3. Impact environnemental préoccupant
La construction massive envisagée menace de perturber les écosystèmes locaux, notamment en augmentant l’imperméabilisation des sols, ce qui pourrait aggraver les risques d’inondation et nuire à la biodiversité. Bien que le projet prévoit de désimperméabiliser 35% du site, cette mesure pourrait s’avérer insuffisante face à l’ampleur des constructions prévues.
4. Incohérence avec les principes de la “ville du quart d’heure”
Le projet prétend s’inscrire dans la logique de la “ville du quart d’heure”, où chaque résident dispose des services essentiels à proximité. Cependant, la concentration de nouvelles constructions sur Boirargues, Solis et Soriech, sans développement proportionné des infrastructures et services correspondants, risque de créer des déséquilibres et de nuire à la qualité de vie des habitants actuels et futurs.
En conclusion, je demande instamment une réévaluation de ce projet, en tenant compte des préoccupations des résidents et en privilégiant des solutions d’aménagement respectueuses de l’identité des quartiers, de l’environnement et de la qualité de vie de tous.
1. Dévalorisation du patrimoine immobilier existant
L’édification de tours et de barres d’immeubles dans un quartier principalement composé de maisons individuelles risque d’altérer significativement le paysage urbain. Cette transformation pourrait entraîner une diminution de la valeur des propriétés actuelles, en raison de la perte d’ensoleillement, de la réduction de l’intimité et de la modification de l’esthétique du quartier. Des résidents ont déjà exprimé leurs préoccupations à ce sujet, soulignant que la construction d’une tour de 14 étages serait disproportionnée par rapport aux habitations existantes.
2. Augmentation de la densité de population et de ses conséquences
L’ajout prévu de 3 350 logements dans ces secteurs entraînera une densification importante de la population. Cette concentration sur des espaces restreints est susceptible de provoquer une hausse significative du trafic routier, du bruit et de la pollution atmosphérique. Malgré les intentions affichées de promouvoir des modes de déplacement doux et d’apaiser la circulation, les infrastructures actuelles semblent insuffisantes pour absorber un tel afflux de résidents.
3. Impact environnemental préoccupant
La construction massive envisagée menace de perturber les écosystèmes locaux, notamment en augmentant l’imperméabilisation des sols, ce qui pourrait aggraver les risques d’inondation et nuire à la biodiversité. Bien que le projet prévoit de désimperméabiliser 35% du site, cette mesure pourrait s’avérer insuffisante face à l’ampleur des constructions prévues.
4. Incohérence avec les principes de la “ville du quart d’heure”
Le projet prétend s’inscrire dans la logique de la “ville du quart d’heure”, où chaque résident dispose des services essentiels à proximité. Cependant, la concentration de nouvelles constructions sur Boirargues, Solis et Soriech, sans développement proportionné des infrastructures et services correspondants, risque de créer des déséquilibres et de nuire à la qualité de vie des habitants actuels et futurs.
En conclusion, je demande instamment une réévaluation de ce projet, en tenant compte des préoccupations des résidents et en privilégiant des solutions d’aménagement respectueuses de l’identité des quartiers, de l’environnement et de la qualité de vie de tous.
Contribution n°230 (Web)
Par Blanes Élisabeth
Déposée le 3 février 2025 à 19h31
Déposée le 3 février 2025 à 19h31
Bonjour,
Dans ce quartier du Pont Trinquat, les maisons sont basses, R+1 et entourées de jardins, avec arbres et puits, oiseaux, écureuils. Les immeubles ne manquent pas non plus, des immeubles massifs ont été construits le long de l'avenue Germaine Tillon et le long de la ligne 4, le seul effet visible est que ces nouvelles habitations aux occupants invisibles et dont certains disent eux-mêmes qu'ils ne croisent jamais leurs voisins, le seul effet visible est la densification de la circulation automobile. La rue des Acconniers, l'avenue du Pont Trinquat, la rue Centrayrargues sont en embouteillage permanent de 8h30 à 9h30 chaque matin du lundi au vendredi et maintenant de 17h30 à 18h45 environ. La construction de nouveaux immeubles en lieu et place des maisons R+1 comme prévu dans la 1ère mouture du PLUi va rendre la circulation impossible dans ce secteur. Rien d'amélioration de la convivialité, l'anonymat qui s'installe un peu plus, un ramassage de déchets qui ne peut visiblement pas suivre, un sentiment d'insécurité car il y a trop de monde qui ne se parle pas parce qu' il n'y a pas de lieu pour se parler, ceci étant oublié dans le PLUi. Où allons-nous comme ça ? Il est hautement souhaitable d'abandonner l'idée de remplacement des R+1 par des R+4, voire R+8. Nous le demandons pour le Pont Trinquat et le Jardins du Soleil, pour le terrain Pousse Clanet. En novembre il y a eu une rectification partielle du PLUi initial, mais demeure une volonté de densifier la population. Il faut ne plus construire d'immeubles ici, le contraire serait une aberration.
Je vous remercie pour l'attention que vous porterez à cette demande.
Élisabeth Blanes, 1368 avenue du Pont Trinquat, à Montpellier
Dans ce quartier du Pont Trinquat, les maisons sont basses, R+1 et entourées de jardins, avec arbres et puits, oiseaux, écureuils. Les immeubles ne manquent pas non plus, des immeubles massifs ont été construits le long de l'avenue Germaine Tillon et le long de la ligne 4, le seul effet visible est que ces nouvelles habitations aux occupants invisibles et dont certains disent eux-mêmes qu'ils ne croisent jamais leurs voisins, le seul effet visible est la densification de la circulation automobile. La rue des Acconniers, l'avenue du Pont Trinquat, la rue Centrayrargues sont en embouteillage permanent de 8h30 à 9h30 chaque matin du lundi au vendredi et maintenant de 17h30 à 18h45 environ. La construction de nouveaux immeubles en lieu et place des maisons R+1 comme prévu dans la 1ère mouture du PLUi va rendre la circulation impossible dans ce secteur. Rien d'amélioration de la convivialité, l'anonymat qui s'installe un peu plus, un ramassage de déchets qui ne peut visiblement pas suivre, un sentiment d'insécurité car il y a trop de monde qui ne se parle pas parce qu' il n'y a pas de lieu pour se parler, ceci étant oublié dans le PLUi. Où allons-nous comme ça ? Il est hautement souhaitable d'abandonner l'idée de remplacement des R+1 par des R+4, voire R+8. Nous le demandons pour le Pont Trinquat et le Jardins du Soleil, pour le terrain Pousse Clanet. En novembre il y a eu une rectification partielle du PLUi initial, mais demeure une volonté de densifier la population. Il faut ne plus construire d'immeubles ici, le contraire serait une aberration.
Je vous remercie pour l'attention que vous porterez à cette demande.
Élisabeth Blanes, 1368 avenue du Pont Trinquat, à Montpellier
Contribution n°229 (Web)
Anonyme
Déposée le 3 février 2025 à 19h26
Déposée le 3 février 2025 à 19h26
Je ne suis pas favorable au nouveau PLUI
Contribution n°228 (Web)
Anonyme
Déposée le 3 février 2025 à 19h24
Déposée le 3 février 2025 à 19h24
Non au plui !!!!
Contribution n°227 (Web)
Anonyme
Déposée le 3 février 2025 à 18h54
Déposée le 3 février 2025 à 18h54
La municipalité propose une vision cohérente et équilibrée pour le développement de Saussan. Ce projet répond à la fois aux attentes des habitants, qui souhaitent un centre plus vivant, et aux besoins des sportifs, qui bénéficieront d’installations rénovées.
En favorisant la mixité des usages dans le centre et en relocalisant les équipements sportifs, on évite une urbanisation anarchique et on structure intelligemment l’espace public. C’est un projet bien pensé qui mérite d’être soutenu.
En favorisant la mixité des usages dans le centre et en relocalisant les équipements sportifs, on évite une urbanisation anarchique et on structure intelligemment l’espace public. C’est un projet bien pensé qui mérite d’être soutenu.
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