Contribution n°148 (Web)
Déposée le 2 février 2025 à 15h50
Étant propriétaire pour deux raisons de mon achat. Vu sur un terrain où je courais petit et où je promène ma chienne tous les jours depuis 8 ans.
Je suis également très remonté à la «bétonisation » extrême de ma ville.
Un promesse du maire en 2020 arguant le statue quo du seul espace non construit, qui permet une retenue d’eau, une quiétude des riverains, une vue de dizaines de résidants de la résidence sur un espace vert.
Contribution n°147 (Web)
Déposée le 2 février 2025 à 15h49
Étant propriétaire pour deux raisons de mon achat. Vu sur un terrain où je courais petit et où je promène ma chienne tous les jours depuis 8 ans.
Je suis également très remonté à la «bétonisation » extrême de ma ville.
Un promesse du maire en 2020 arguant le statue quo du seul espace non construit, qui permet une retenue d’eau, une quiétude des riverains, une vue de dizaines de résidants de la résidence sur un espace vert.
Contribution n°146 (Web)
Déposée le 2 février 2025 à 15h28
Je souhaite exprimer notre volonté de conserver le caractère pavillonnaire du quartier, en encourageant les limitations de hauteur à R+1
Contribution n°145 (Web)
Déposée le 2 février 2025 à 14h32
Je comprends que les habitants de Saussan tiennent à préserver l’âme du village et à conserver son cadre de vie agréable. Toutefois, cela ne signifie pas qu’il ne doit pas évoluer.
Moderniser un village et lui permettre de s’adapter aux besoins des habitants n’est pas incompatible avec la préservation de son identité. Au contraire, un développement réfléchi permet d’améliorer le quotidien tout en respectant l’histoire et le caractère du village.
- L’installation de commerces au centre du village est essentielle pour dynamiser la vie locale et limiter les déplacements en voiture vers Pignan ou Fabrègues. (pollution inutile). Aussi, cette centralisation profitera aux seniors, qui pourront accéder plus facilement aux services essentiels (boulangerie?, pharmacie?, épicerie?)
- En revanche! Le développement de nouvelles infrastructures doit être pensé en intégrant la question de la circulation et du stationnement. Il est important de prévoir des parkings adaptés et des voiries fluides pour éviter les congestions, assurer la sécurité des usagers.. et donc leur satisfaction.
- Le stade et les terrains de tennis actuels sont vieillissants. Le projet de remplacement du stade par une nouvelle zone sportive moderne est une initiative pertinente. (Une piste de running autour du futur stade permettrait aux nombreux coureurs du village de bénéficier d’un espace dédié à leur pratique). L’installation d’un éclairage adapté serait également un avantage pour garantir la sécurité des sportifs, notamment en soirée. Une zone moderne incitera la pratique du sport dans de bonnes conditions.
J'en profite pour aborder un autre élément essentiel pour moi. La connectivité est un élément clé du développement de Saussan. Certaines zones du village ne sont toujours pas couvertes par la fibre optique, alors que les opérateurs commencent à supprimer les connexions cuivre en 2025. Il est impératif de garantir un accès équitable et performant à la fibre pour tous les habitants afin de répondre aux besoins croissants du télétravail, des services numériques et du quotidien des foyers. (Ce n'est plus un loisir, c'est n'est pas l'avenir, c'est maintenant).
Je soutiens donc ces évolutions qui permettront à notre belle ville de Saussan de se moderniser.
Contribution n°144 (Web)
Déposée le 2 février 2025 à 14h20
Conserver le terrain de foot et les tennis est une évidence :
Sportive : proximité pour les activités scolaires et périscolaires, pas de rue à traverser, les éducateurs sportifs viennent chercher les enfants directement à la sortie de l'école, utilisations de l'espace en dehors des périodes scolaires....
Sécuritaire et sanitaire : police, médecin, mairie, bus .....à proximité
Esthétique : un bâtiment de 14 m de haut avec des parkings des véhicules va défigurer le paysage... et un bar !!! devant une école !!!
Ecologique : béton, bitume, gaz d'échappement (70 logements donc 140 voitures) plus la pollution sonore......et où sont les arbres !!!
Hydrologique : la bétonisation empêche le drainage des eaux.....
Sociale et citoyenne : le devant de l'école est un lieu de rencontre intergénérationnel pour des manifestations tout au long de l'année....
Economique : l'amélioration de l'état actuel des infrastructures se fera avec l'aide de l'Agence Nationale des Sports dans le cadre du Plan 5000 Equipements Sportifs .... Pas de nouvelles dépenses dans une situation économique générale très difficile .
89,5 % de la population active travaille hors de la commune
86,6 % des habitants prennent leurs voitures ( 81,9 travaillent et 8,7 sont étudiants )
Ils font leurs courses dans les grandes surfaces ouvertes à des heures tardives !!!
En regardant aux alentours dans les villages avoisinants , tous les petits commerces ont des difficultés et sont obligés d'avoir un autre travail ......ou de fermer !!
Le portage à domicile se généralise pour les personnes en difficultés.
Par souci de transparence et afin de pouvoir dialoguer clairement , honnêtement , et concrètement , il me semble indispensable que nous découvrions enfin ce projet fantôme "l'Arlésienne de Saussan " ....
Par ailleurs l'augmentation excessive de la population 40% en environ 5 ans mériterait un petit repos, une pause pour accueillir les nouveaux arrivants et améliorer les infrastructures routières , cyclables, scolaires .....
Contribution n°143 (Web)
Déposée le 2 février 2025 à 14h16
A propos du Coteau de Malbosc dans le PLUi-C
L’élaboration d’un Plan local d’urbanisme intercommunal - de plus Climat - constitue un temps fort de réflexion sur l’avenir de nos territoires dans le contexte du dérèglement climatique qui s’accélère.
Le devenir des secteurs non urbanisés du Coteau de Malbosc peut être un cas exemplaire de changement de paradigme dans l’aménagement d’une métropole en sortant du court-termisme de l’étalement urbain qui continue d’artificialiser des espaces naturels et des terres agricoles.
C’est pourquoi je demande que dans le PLUi-C :
- les espaces naturels constitutifs de l’OAP Parc Henri Lagattu soient classés N et non AU (à urbaniser). Un classement AU accrédite le doute que l’on peut avoir sur la pérennité du caractère non artificialisé du lieu.
- une activité agricole perdure. Cela suppose l’abandon du projet d’OAP Quartier Jean Monnet et de classer A (agricole) les parcelles prévues à l’urbanisation. Pendant des années, des pratiques d’agropastoralisme ont enchanté la population riveraine et réglé de manière efficace la tonte de la végétation du Parc de Malbosc ; les moutons étaient amenés en camions, il parait que cela coutait très cher à la mairie. Pourquoi ne pas prévoir une ferme d’élevage ovin sur les terres disponibles entre le collège François Rabelais, le lycée Jean Monnet, le lycée Léonard de Vinci, les jardins partagés de Malbosc ?
Ces propositions font partie de celles développées par le Collectif du Coteau de Malbosc (voir contribution 87) et effectivement, avec un Coteau de Malbosc nature et agricole, la métropole de Montpellier disposerait d’une vitrine urbaine de bonne adaptation au dérèglement climatique.
Et quel bonheur pour les populations qui habitent dans les denses quartiers riverains ! Un grand plus pour leur santé morale et physique !
J’espère que la Métropole de Montpellier ne ratera pas cette belle occasion !
Contribution n°142 (Web)
Déposée le 2 février 2025 à 13h36
Document joint
Contribution n°141 (Web)
Déposée le 2 février 2025 à 13h23
Ils devront assumer les dégâts matériels et humains.
Contribution n°140 (Web)
Déposée le 2 février 2025 à 13h15
Dans le cadre de cette enquête publique, concernant le PLUI de la métropole montpellieraine, je constate qu’à la suite de deux enquêtes publiques précédentes ayant vu la ville de Castelnau le lez désavouée dans ses projets d’urbanisation intensive, celle-ci a réussi à les refaire accepter par le conseil de métropole, sans autre débat.
Cela concerne plus précisément le projet de déménagement de la clinique du parc dans la zone encore agricole du Sablassou, qui n’est d’aucune utilité publique mais se fera au détriment de l’intérêt général.
En tant que citoyen de cette commune depuis 44 ans j’ai pu voir sa dégradation urbaine à l’œuvre, dans une croissance constructive intensive non maitrisée et parfaitement scandaleuse au sens urbanistique du terme, la ville étant désormais livrée aux promoteurs spéculatifs des plus médiocres, au détriment existentiel de ses habitants, y compris et surtout des nouveaux.
Mais il parait « qu’il faut bien loger tout le monde » : peut-être, mais la croissance infinie de population programmée volontairement par la métropole dans une douce naïveté politique, se fait en totale contradiction avec ses beaux discours environnementalistes et cela ne peut en aucun cas justifier des dérives comme on les voit à castelnau, où le quota d’urbanisation supplémentaire acceptable a déjà largement dépassé le tolérable .
Comme beaucoup je m’oppose donc ici encore à ce projet inutile du sablassou, d’intérêt purement privé concernant la clinique que la ville veut garder en son sein, et qui prévoit par ailleurs encore plus de bétonnages immobiliers et d’immeubles en hauteur injustifiables. Un projet qui ne fera que détruire un patrimoine naturel & agricole encore relativement préservé dans cette zone, sans parler ici des expropriations prévues.
Vous trouverez pour mémoire ci-joint une copie de tout où partie des contributions à l’enquête sur le sablassou, défavorables à plus de 90%, mais dont le maire ne tient strictement aucun compte.
Sans plus d’illusion sur le fonctionnement de nos institutions locales, je vous prie d’agréer mes salutations attristées.
Document joint
Contribution n°139 (Web)
Déposée le 2 février 2025 à 12h54
1- sur le zonage dans la zone de l'AgriParc des Bouisses
a. les voiries indiquées ne correspondent pas au cadastre, notamment n'apparaît pas le cheminement récemment ouvert sur la rue (chemin) du Mazet et d'un autre chemin reliant cette rue au départ de la rue de Celleneuve à Saint-Hilaire
b. le document de l'OAP Bouisses Grèzes n'est pas respecté: ouverture de trames vertes, bleues, etc., cheminement doux vers la Mosson
c. les voiries telles que tracées ne permettent pas un accès rapide pour les secours en cas d'incendie
==> Merci de
a. rouvrir à la circulation douce (piéton+vélo) les voies publiques figurant sur le cadastre
b. aménager la voirie existante pour faciliter la circulation des piétons, bicyclettes et voitures en mode doux, sans créer de sens uniques (incitation à la vitesse) ni d'impasses (favorables aux comportements délictueux)
2 - sur les hauteurs dans la zone de l'Agriparc des Bouisses
Sur les zones à urbaniser (AU) de l'AgriParc des Bouisses (parcelles PV 0001, 0052, 0043, 0049, 0033, 0047; PH 0221, 0215, 0217; PI 0020, 0021, 0022, 0023, 0025, 0073) les hauteurs prévues (R+3+attique = 17 m de hauteur) sont incompatibles avec l'OAP (pas plus haut que la canopée) et avec les préconisations du document élaboré lors de la concertation avec le groupe citoyen sur l'Agriparc qui a réuni 300 personnes et qui préconise de ne pas dépasser R+2. Toutes les parcelles urbanisées mitoyennes sont limitées à R+1.
Construire des bâtiments de 17 m de hauteur
priverait de lumière les riverains notamment rue des Grèzes, rue René Grousset, rue de Celleneuve à Saint-hilaire, rue du chemin salinier, rue de la Belle, ...
créerait des nuisances de voisinage (vue plongeante)
génèrerait des difficultés de circulation
défigurerait le visuel pour tous les riverains et visiteurs du quartier
==> Merci de limiter à R+2 les constructions dans la zone de l'Agriparc