Contribution n°86 (Web)
Déposée le 31 janvier 2025 à 15h42
Je souhaite porter à votre attention une incohérence de zonage affectant le Chemin des Traverses à Montpellier. Plusieurs habitations, légalement construites dans les années 1960 sous couvert de permis de construire, se retrouvent aujourd’hui classées en zone N, ce qui ne correspond pas à la réalité du terrain.
Les parcelles concernées (PO 31, 32, 304, 305, 306, 307, 34, 35, 36 et 37) sont occupées par des logements conformes aux règles d’urbanisme en vigueur lors de leur construction. Or, leur classement actuel en zone naturelle pourrait engendrer des restrictions inadaptées pour les propriétaires et résidents.
Par ailleurs, la délimitation de la zone d’habitat UC 4-1, R+1 aurait dû être positionnée de l’autre côté du Chemin des Traverses, afin de mieux refléter l’état existant et d’assurer la cohérence du document d’urbanisme avec le bâti réel.
De plus, l’emplacement réservé 1MR133 vient confirmer cette incohérence. Celui-ci prévoit en effet la création d’une voirie entre la rue de Bionne, l’impasse des Grèzes et la rue des Passiflores, ce qui limite encore davantage la justification du classement en zone N sur ce secteur.
Aussi, je vous serais reconnaissant de bien vouloir prendre en compte cette remarque et d’envisager une révision du zonage afin de régulariser cette situation.
Cordialement
Documents joints
Contribution n°85 (Web)
Déposée le 31 janvier 2025 à 15h42
Concernant le PLUI sur la Ville de Cournonterral, nous nous permettons d’attirer votre attention sur la zone sud située entre le chemin de l’Amour et la M5.
En effet, aujourd’hui une pente naturelle existe sur le village de Cournonterral depuis le nord vers le sud et notamment le quartier Victor Hugo et anciens terrains de sports. Les ruissellements de surface conduisent naturellement les eaux pluviales vers ce quartier qui est donc inondable.
Afin de ne pas augmenter les diamètres des conduites d’évacuation des eaux pluviales, le ruissellement de surface a déjà été privilégié à chaque rénovation de voirie et notamment lors de la réfection de l’avenue du 8 mai 1945. Les eaux pluviales sont conduites vers le Ramassol et le chemin de l’Amour. D’ailleurs à chaque forte pluie, les avaloirs sont saturés et déversent les eaux vers les anciens terrains de sports (aujourd’hui le nouveau groupe scolaire en construction).
Les anciens terrains de sports très perméables permettaient jusqu’à présent l’absorption d’une grande partie de ces eaux de pluie. Cependant, nous constations pourtant dans notre quartier des montées des eaux à hauteur de 15 cm dans la rue des Asphodèles notamment. (Photos et vidéos).
Par ailleurs, un projet immobilier d’ampleur (150 logements - promoteur Nexity) va voir le jour dans les prochaines années qui va obligatoirement aggraver le problème de la montée des eaux de pluie dans ce quartier sud.
Le lotissement des Asphodèles, situé derrière la salle polyvalente Victor Hugo, qui était un lotissement privé à sa construction en 1996 a été rétrocédé à la commune en 2006. A sa construction, un rempart face aux montées des eaux, a été édifié par une butte de terre végétalisée qui borde ce lotissement.
Lors d’un récent bornage « dit à l’amiable », demandé par la commune de Cournonterral, cette butte de terre n’a pas été prise en compte et risque d’être supprimée lorsque de nouvelles constructions verront le jour, ce qui rendra encore plus vulnérable notre lotissement.
Nous contestons formellement ce bornage. Le rapport rendu par le géomètre comporte d’énormes inexactitudes.
Monsieur le Commissaire enquêteur, comme le montre l’actualité quasi quotidienne, les constructions intensives, qui plus est dans des zones inondables, entrainent des évènements dramatiques pour les populations.
L’étude hydraulique éditée par la Métropole de Montpellier évoque bien ces phénomènes de ruissellements mais sous-estime leur ampleur dans les années à venir. Pour la construction du nouveau Groupe Scolaire, cette étude a demandé notamment une construction sur pilotis pour une transparence hydraulique. Il est évident que cela ne sera pas suffisant. Les enfants auront les pieds dans l’eau !
Avec plusieurs habitants du quartier, nous avons regretté les difficultés rencontrées pour obtenir de la part de la municipalité, la communication de l’étude hydraulique concernant le groupe scolaire et le nouveau quartier.
Cette étude hydraulique nous apprend que le groupe scolaire en cours de construction est en zone inondable, il en va de même pour le reste du quartier.
L’imperméabilisation successive de grandes parcelles autour de notre quartier nous interpelle :
- Imperméabilisation de la zone du lycée,
- Imperméabilisation de la zone du Groupe scolaire en zone inondable,
Nous sommes étonnés que des constructions de maisons puissent être autorisées sur la Partie située à l’arrière de la salle polyvalente Victor Hugo !
Seule la butte de terre est censée nous protéger d’inondations par ruissellement. Les engagements verbaux de Nexity (aménageur), de maintenir cette butte de terre végétalisée sont-ils une garantie crédible pour nous protéger sur cette zone vouée à une forte densification de constructions.
Nous sommes démunis car aujourd’hui, les pouvoirs publics ne semblent pas prendre en considération la réalité des inondations dont nous avons déjà été victimes (en 2016) et qui sont vouées à s’amplifier du fait de l’urbanisation intensive et du réchauffement climatique qui nous prouve que l’on est désormais confrontés à des épisodes brutaux et imprévisibles.
Nous pointons aussi les problèmes de sécurité induits par une telle densification de surcroit à proximité du futur lycée de 1400 élèves qui induira aussi :
- Des problèmes de sécurité liés à l'augmentation de la circulation des voitures, des vélos, des piétons.
- Des problèmes de stationnement dus à un nombre insuffisant de places pour les parents qui déposeront leurs enfants à l'école. (la réglementation précise que les jeunes enfants doivent être déposés non pas en dépose minute mais accompagnés dans l'enceinte de l'établissement).
La responsabilité des pouvoirs publics sera alors fortement engagée.
Pièces jointes :
- Copie du compte rendu de la rencontre Mairie – riverains des Asphodèles du 4 octobre 2024
Document joint
Contribution n°84 (Web)
Déposée le 31 janvier 2025 à 14h20
Contribution n°83 (Web)
Déposée le 31 janvier 2025 à 14h09
Document joint
Contribution n°82 (Email)
Déposée le 31 janvier 2025 à 09h08
Bonjour
Je fais suite à ma rencontre du 29/01/25 au matin avec Me la Commissaire enquêtrice à la mairie de Montpellier.
Syndic bénévole de la copropriété Les Jardins du Soleil et Membre du Collectif Aiguerelles/Près d'Arenes je souhaiterais, comme vous me l'avez proposé, prendre un rendez-vous pour ledit Collectif. Nous avions envisagé le 12/02 avant 9h ou à 14h.
Après consultation d'autres membres du Collectif un RDV le 12/02 à 8h30 conviendrait.
Merci de me dire si cela est possible pour vous.
Bien Cordialement
Yves Pomaret
Contribution n°81 (Web)
Déposée le 31 janvier 2025 à 09h03
Je fais suite à ma rencontre du 29/01/25 au matin avec Me la Commissaire enquêtrice à la mairie de Montpellier.
Syndic bénévole de la copropriété Les Jardins du Soleil et Membre du Collectif Aiguerelles/Près d'Arenes je souhaiterais, comme vous me l'avez proposé, prendre un rendez-vous pour ledit Collectif. Nous avions envisagé le 12/02 avant 9h ou à 14h.
Après consultation d'autres membres du Collectif un RDV le 12/02 à 8h30 conviendrait.
Merci de me dire si cela est possible pour vous.
Contribution n°80 (Web)
Déposée le 31 janvier 2025 à 00h14
Les enduits de facade autorisés se limites au blanc et à l'Ocre clair. Est-il possible d'élargir la palette de couleurs possible ?
Je pense que cela ne remettrait pas en cause l'armonie visuelle du quartier si l'on autorisait d'autres couleurs aprochantes mais un peu plus foncé, tirant par exemple un peu plus sur le jaune, orange, ou rosé.
Et Cela permettrait d'etre moins eblouissant que les facades blanches ou tres clair en été.
Contribution n°79 (Web)
Déposée le 31 janvier 2025 à 00h04
Une remarque concernant la partie "Dispositions relatives au stationnement (article 12)", page 43.
Pour le secteur N1, principalement des zones résidentielles, le nombre de place de stationnement à prévoir sur le terrain est comptabilisé en 0,5 places, ce qui n'a aucun sens.
Je serais pour comptabiliser de 1 en 1, en démarrant à minimum 1 place par foyer.
La réalité est que la plupart des foyers dans ces zones ont une à deux voitures. Obligeons les a prévoir au moins une place sur leur terrain pour ne pas engorger d'avantage les trottoirs des quartiers residentiels. Car concretement ils ne pourront rien faire d'une demie place.
Merci pour le travail effectué
Contribution n°78 (Web)
Déposée le 30 janvier 2025 à 20h08
Et oui contribuer ok mais comment à quelques sujets impossible à absorber avec une table des matières des documents de présentation de 22 pages correspondant à 733 fichiers,petit calcul fait cela représente 22 jours de lecture d une personne seule à 8h/ jour ( 1 page de lecture = ~1, 5 mn). Alors d abord respectons les citoyens pour qu ils puissent avoir le temps de lire , de comprendre pour contribuer ( but ) en étendant l'enquête publique à 3 mois !
Je reviendrais exposer les motifs de désaccord de l urbanisation proposé avec ce Plui sur notre territoire de Lattes.
Contribution n°77 (Web)
Déposée le 30 janvier 2025 à 19h32