Contribution n°4001 (Web)
Anonyme
Déposée le 24 février 2025 à 10h22
Déposée le 24 février 2025 à 10h22
Avis défavorable pour ce projet qui ne tient aucun compte des effets très négatifs sur l'environnement, les animaux et les riverains
Contribution n°4000 (Web)
Anonyme
Déposée le 24 février 2025 à 10h22
Déposée le 24 février 2025 à 10h22
Avis défavorable pour ce projet qui ne tient aucun compte des effets très négatifs sur l'environnement, les animaux et les riverains
Contribution n°3999 (Web)
Par BEYNET
Déposée le 24 février 2025 à 10h22
Déposée le 24 février 2025 à 10h22
Halte à ces fermes usine qui polluent, ne répondent pas au défi climatique
Il faut cesser de penser au profit à cours terme pour aider nos agriculteurs à nous fournir une alimentation saine qui respecte les animaux et leur bonne santé, les sols, la propreté de l'eau.
Il faut cesser de penser au profit à cours terme pour aider nos agriculteurs à nous fournir une alimentation saine qui respecte les animaux et leur bonne santé, les sols, la propreté de l'eau.
Contribution n°3998 (Web)
Par Dravigny Andree
Déposée le 24 février 2025 à 10h19
Déposée le 24 février 2025 à 10h19
Je m oppose à ceete implantation non respectueuse
Contribution n°3997 (Web)
Anonyme
Déposée le 24 février 2025 à 10h19
Déposée le 24 février 2025 à 10h19
Les fermes-usines sont de véritables cauchemars pour les animaux d'élevage. Non à l'implantation de ces mouroirs modernes !
Contribution n°3996 (Web)
Par CHUFFART Dominique
Déposée le 24 février 2025 à 10h19
Déposée le 24 février 2025 à 10h19
Je m'oppose vivement à la nouvelle mise en scène de ce projet de ferme-usine
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Contribution n°3995 (Web)
Par moss glennice
Déposée le 24 février 2025 à 10h19
Déposée le 24 février 2025 à 10h19
Je suis contre toute agriculture intensive et Je m'oppose vivement à la nouvelle mise en scène de ce projet de ferme-usine.
Contribution n°3994 (Web)
Par THOUMELIN Armel
Déposée le 24 février 2025 à 10h19
Déposée le 24 février 2025 à 10h19
Je m'oppose fermement à ce nouveau projet de ferme-usine.
Le projet de la SAS T'Rhéa 'Terre de Chavaignac' pour une ferme d'engraissement est une grave erreur tant sur le plan environnemental que agronomique. L'engraissement des bovins pourrait être une ressource pour la région s'il était réalisé sur de petites exploitations dispersées, en favorisant un système herbager bocager. Cependant, le projet soumis à enquête publique dans les communes de Peyrilhac et Nieul est préjudiciable tant pour le bien-être animal (conditions contraires à l'éthologie, concentration propice aux maladies) que pour les riverains (nuisances sonores et olfactives, trafic intense de camions pour l'approvisionnement en aliments et paille, ainsi que pour l'évacuation des animaux et du fumier). De plus, il représente une menace environnementale catastrophique, avec ses risques de pollution et la pression exercée sur les sites naturels. Sa consommation excessive d'eau risque de perturber l'équilibre hydrique du bassin aval et de dégrader les sols ainsi que la biodiversité locale. De surcroît, les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave utilisés pour l'alimentation des animaux seront prélevés en France et en Amérique du Sud, au détriment de l'alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse. Ce projet va à l'encontre des enjeux actuels et des défis urgents auxquels fait face notre planète.
Le projet de la SAS T'Rhéa 'Terre de Chavaignac' pour une ferme d'engraissement est une grave erreur tant sur le plan environnemental que agronomique. L'engraissement des bovins pourrait être une ressource pour la région s'il était réalisé sur de petites exploitations dispersées, en favorisant un système herbager bocager. Cependant, le projet soumis à enquête publique dans les communes de Peyrilhac et Nieul est préjudiciable tant pour le bien-être animal (conditions contraires à l'éthologie, concentration propice aux maladies) que pour les riverains (nuisances sonores et olfactives, trafic intense de camions pour l'approvisionnement en aliments et paille, ainsi que pour l'évacuation des animaux et du fumier). De plus, il représente une menace environnementale catastrophique, avec ses risques de pollution et la pression exercée sur les sites naturels. Sa consommation excessive d'eau risque de perturber l'équilibre hydrique du bassin aval et de dégrader les sols ainsi que la biodiversité locale. De surcroît, les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave utilisés pour l'alimentation des animaux seront prélevés en France et en Amérique du Sud, au détriment de l'alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse. Ce projet va à l'encontre des enjeux actuels et des défis urgents auxquels fait face notre planète.
Contribution n°3993 (Web)
Anonyme
Déposée le 24 février 2025 à 10h18
Déposée le 24 février 2025 à 10h18
Les fermes-usines sont de véritables centres d'esclavage. La maltraitance animale doit être inscrite comme un délit dans notre constitution.
Contribution n°3992 (Web)
Par dugue monique
Déposée le 24 février 2025 à 10h18
Déposée le 24 février 2025 à 10h18
Ou est le monde après covid. ? Notre mode de vie impacte énormément notre santé mais nous continuons pour l'argent érigé comme Dieu, en oubliant que la prévention sur le long terme coûte moins cher
Apportez votre contribution à cette enquête publique :
Déposer une contribution