Contribution n°4199 (Web)
Déposée le 24 février 2025 à 12h47
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Cordialement,
Contribution n°4198 (Web)
Déposée le 24 février 2025 à 12h45
Contribution n°4197 (Web)
Déposée le 24 février 2025 à 12h43
Nuisances olfactives et sonores, maltraitance animal ,atteinte au bien-être animal , viande forcément bas de gamme , environnement à dimension industrielle hautement pollué et polluant, Dame nature vraiment menacée .
BREF....... tous les ingrédients sont réunis pour ressembler hélas, AUX FERMES- USINES nombreuses aux USA.
Contribution n°4196 (Web)
Déposée le 24 février 2025 à 12h41
Le commissaire-enquêteur en avait tiré les conséquences et avait rejeté le projet. Las !, la société T'Rhéa et la préfecture ont décidé de repartir à l'assaut, après des ajustements mineurs qui ne suppriment pas les nuisances pour l'environnement, les animaux et les riverains.
Consommation d'eau, concentration des déjections polluantes, pression sur les milieux naturels, conditions intolérables pour les animaux (notamment des bâtiments inadaptés aux chaleurs estivales), nuisances sonores et olfactives pour les riverains, acheminement en masse d'aliments issus de cultures industrielles, Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
En outre, cette usine à viande s’inscrit dans une logique ouvertement industrielle puisque la viande bas de gamme sera principalement commercialisée en Italie et en Grèce. Une diversité de petits élevages-engraisseurs herbagers dispersés sur un territoire bocager offrirait un débouché local défendable pour les éleveurs de la région, mais ce site industriel et concentrationnaire ne peut certainement pas invoquer l'utilité économique pour justifier nuisances et dégradations.
Je m'oppose vivement à ce projet de ferme-usine. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Contribution n°4195 (Web)
Déposée le 24 février 2025 à 12h41
Contribution n°4194 (Web)
Déposée le 24 février 2025 à 12h36
Contribution n°4193 (Web)
Déposée le 24 février 2025 à 12h35
Contribution n°4192 (Web)
Déposée le 24 février 2025 à 12h34
Si le peuple dit non c'est non.
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Contribution n°4191 (Web)
Déposée le 24 février 2025 à 12h33
Je suis absolument contre l'agrandissement de la ferme usine sur les communes de Peyrilhac et Nieul pour les raisons suivantes:
-bien-être animal bafoué
-dejections polluantes
-consommation d'eau excessive.
Contribution n°4190 (Web)
Déposée le 24 février 2025 à 12h32
Je suis absolument contre l'agrandissement de la ferme usine sur les communes de Peyrilhac et Nieul pour les raisons suivantes:
-bien-être animal bafoué
-dejections polluantes
-consommation d'eau excessive.