Contribution n°828 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h12
Je m'oppose catégoriquement à la création de la ferme usine, pour tous les préjudices environnementaux et sanitaires qu'il sous tendent. Mais aussi pour l'affaiblissement de la filière agricole dont nous avons besoin pour nous nourrir.
Ça suffit !
Je vous conjure de faire votre travail, au service de la population qui vous a elu.
Avec mes respectueuses salutations.
Contribution n°827 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h12
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Contribution n°826 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h12
Contribution n°825 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h12
Je suis opposée à tous ces élevages concentrationnaires.
Contribution n°824 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h12
Contribution n°823 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h12
Contribution n°822 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h12
Contribution n°821 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h12
Penser que toute technologie est un progrès est une aberration car cela peut-être une régression dans ce qui devrait faire les valeurs de l'humanité et en particulier celle qui me semble la plus importante: le Respect.
Nous ne pouvons raisonnablement penser l'Avenir qu'en pensant local et biologique avec la réinstallation de petites fermes ce qui amènera de la vie et du travail dans nos campagnes qui sont actuellement désertées
Contribution n°820 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h12
mais également pour les animaux qui y seraient entassés dans de très mauvaises conditions d'élevage, nocives à la qualité de la viande attendue.
Certes la France est un beau pays pour l'élevage des bovins, à condition que cet élevage bénéficie de conditions humaines et qualitatives. Quand les éleveurs connaissent chacune de leurs bêtes et leur donnent libre accès à un pâturage de qualité, ils obtiennent une viande excellente qui fait leur renommée.
Dans ce projet inacceptable, vous proposez tout le contraire de ce qui convient aux animaux, en détruisant par ailleurs la qualité de vie des humains. Il va sans dire que ce projet ne doit en aucun cas aboutir.
Bien cordialement,
Contribution n°819 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h11