Contribution n°679 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h00
"Rien de trop" est une maxime de sagesse grecque originaire de Delphes, elle s'applique aussi à ce projet de ferme usine démesuré.
Contribution n°678 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h00
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Contribution n°677 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h00
Les ajustements mineurs apportés par la société T'Rhéa ne suppriment pas les nuisances pour l'environnement, les animaux et les riverains.
Consommation d'eau, concentration des déjections polluantes, pression sur les milieux naturels, conditions intolérables pour les animaux (notamment des bâtiments inadaptés aux chaleurs estivales), nuisances sonores et olfactives pour les riverains, acheminement en masse d'aliments issus de cultures industrielles par un ballet de camions : tous les problèmes demeurent.
En outre, cette usine à viande s’inscrit dans une logique ouvertement industrielle puisque la viande bas de gamme sera principalement commercialisée en Italie et en Grèce. Une diversité de petits élevages-engraisseurs herbagers dispersés sur un territoire bocager offrirait un débouché local défendable pour les éleveurs de la région, mais ce site industriel et concentrationnaire ne peut certainement pas invoquer l'utilité économique pour justifier nuisances et dégradations.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. je me sens concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Contribution n°676 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h00
Je m'oppose vivement à la nouvelle mise en scène de ce projet de ferme-usine
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Je vous prie d'agréer Madame, Monsieur, l'expression de mes meilleurs sentiments
P. Farnier (Pierre-Bénite, Rhône)
Contribution n°675 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h00
Pourquoi entasser des centaines, voire des milliers de bovins , pour se faire plus d'argent? au détriment de ces animaux.............qui seront découpés, congelés puis envoyés à l'étranger ......ces industriels deviennent complètement f... de plus l'inacceptable problème du mal être animal et des énormes nuisances sur le voisinage et l'environnement , tout cela, on s'en fout!!!!
Dans quelle France risque t'on de vivre dans 20 ans ........
Il faut absolument refuser ce projet débi......
Merci de faire le nécessaire
Cdt
Contribution n°674 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h00
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Contribution n°673 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h00
Contribution n°672 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h00
Je m'oppose à ce projet contraire au bien-être animal et contraire à la protection de notre environnement.
Ce projet est signe de mal être animal et de pollution environnementale.
Contribution n°671 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h00
Contribution n°670 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h00