Contribution n°641 (Web)
Par Morgiane
Déposée le 22 février 2025 à 09h57
Déposée le 22 février 2025 à 09h57
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Contribution n°640 (Web)
Anonyme
Déposée le 22 février 2025 à 09h57
Déposée le 22 février 2025 à 09h57
il faux arête avec sa on le pouvoir les consommateur de dire stop
Contribution n°639 (Web)
Par Pieroni Corinne
Déposée le 22 février 2025 à 09h57
Déposée le 22 février 2025 à 09h57
Je m'oppose vivement à la nouvelle mise en scène de ce projet de ferme-usine
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Il serait temps de revenir à un élevage raisonné et raisonnable pour la santé de tous, humains, animaux et planète. Ce projet est d'un autre temps.
Une diversité de petits élevages-engraisseurs herbagers dispersés sur un territoire bocager offrirait un débouché local défendable pour les éleveurs de la région, mais ce site industriel et concentrationnaire ne peut certainement pas invoquer l'utilité économique pour justifier nuisances et dégradations.
Viande bas de gamme, pour surtout être exportée, où est le bénéfice pour tous, à part le bénéfice financier de quelques uns ?
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Il serait temps de revenir à un élevage raisonné et raisonnable pour la santé de tous, humains, animaux et planète. Ce projet est d'un autre temps.
Une diversité de petits élevages-engraisseurs herbagers dispersés sur un territoire bocager offrirait un débouché local défendable pour les éleveurs de la région, mais ce site industriel et concentrationnaire ne peut certainement pas invoquer l'utilité économique pour justifier nuisances et dégradations.
Viande bas de gamme, pour surtout être exportée, où est le bénéfice pour tous, à part le bénéfice financier de quelques uns ?
Contribution n°638 (Web)
Anonyme
Déposée le 22 février 2025 à 09h57
Déposée le 22 février 2025 à 09h57
Les fermes-usines sont totalement contraires au bien-être animal, d'une part, et je ne pense pas que la viande de ces pauvres bêtes élevées dans ces conditions soit la meilleure des qualités pour l'homme, d'autre part ... vive les petites unités qui restent à la taille humaine compatibles, je répète, au bien être animal.
Contribution n°637 (Web)
Par Néo Anderson
Déposée le 22 février 2025 à 09h57
Déposée le 22 février 2025 à 09h57
NON à la ferme-usine ! Pollution, destruction de l’environnement, sacrifice des habitants locaux et des petits éleveurs qui ne s’en sortent déjà pas, sans oublier le martyre des animaux dont la viande ne sera même pas destinée au marché français. Tout plaide pour l’abandon de ce projet absurde !
Contribution n°636 (Web)
Par Pagès Jean
Déposée le 22 février 2025 à 09h57
Déposée le 22 février 2025 à 09h57
Je m'oppose vivement à la nouvelle mise en scène de ce projet de ferme-usine
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Contribution n°635 (Web)
Par Henri Grimault
Déposée le 22 février 2025 à 09h57
Déposée le 22 février 2025 à 09h57
Ce projet n’est pas acceptable car son surdimensionnement provoquerait des dégâts irréversibles sur le milieu naturel (pollution des eaux, pollution olfactive et suroccupation routière). Il correspond à un modèle économique dépassé qui ne saurait lutter contre une concurrence étrangère à bas coûts. Il faut fermement s’y opposer dans l’intérêt du milieu naturel, des riverains et des acteurs économiques locaux.
Contribution n°634 (Web)
Par Levillayer Axel
Déposée le 22 février 2025 à 09h57
Déposée le 22 février 2025 à 09h57
Allant régulièrement en vacances en Limousin, l'émergence d'un tel projet me paraît de nature à défigurer ce qui fait l'attrait de la région.
Les nuisances sont trop importantes.
Les nuisances sont trop importantes.
Contribution n°633 (Web)
Anonyme
Déposée le 22 février 2025 à 09h57
Déposée le 22 février 2025 à 09h57
de la viande industrielle ! quelle horreur !
Contribution n°632 (Web)
Anonyme
Déposée le 22 février 2025 à 09h57
Déposée le 22 février 2025 à 09h57
Je m’oppose fermement au projet de ferme usine, merci de considérer les animaux comme des êtres sensibles
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