Contribution n°659 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h59
Projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires !!!!!
Salutations outragées.
Colette LUCAS
Contribution n°658 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h59
On ne pas continuer à traiter les animaux de cette façon, tout ça pour des raisons d'argent.
Il faut commencer par interdire les importations de viande issues des élevages en batterie.
Contribution n°657 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h59
Contribution n°656 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h59
La technologie ne remplace pas le vivant et ne contribue que très partiellement à la résolution des dégâts engendrés par les excès de taille des usines.
L'exportation entraîne une distorsion de concurrence et ne peut pas profiter aux agriculteurs et éleveurs mais seulement aux groupes déjà trop puissants.
Contribution n°655 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h59
Contribution n°654 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h59
Contribution n°653 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h59
Je m'oppose à ce projet contraire au bien-être être animal et contraire à la protection de notre environnement.
Ce projet est signe de mal être animal et de pollution environnementale.
Contribution n°652 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h59
Il est beaucoup plus positif de favoriser l'installation ou la reprise de fermes existantes qui risquent de fermer pour départs en retraite des exploitants actuels ....ce qui favoriserait les emplois , ( une vingtaine d'exploitations) et éviterait la concentration bien trop importante de bovins sur un même secteur
Il faut éviter les transports ....il est temps de penser et aussi réagir à la protection globale du VIVANT . Merci
Contribution n°651 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h59
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Contribution n°650 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h58
Les fermes usines outre les nuissnces environementales connues favorisent la prolifération de nuisibles panthogéne pour les betails et la faunes sauvages car concentration d 'aniamux.
Les agriculteurs sont obligés de traiter et de soigner regulierment leurs betes avec des produits veterinaires dont on retrouve la trac dans les viandes mais aussi dans l'eau de nos rivieres.
Pour toutes ces raisons et bien d'autres les fermes usines c'est NON