Contribution n°515 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h49
arrêtons les aberrations agricoles qui ne feront que détruire l'agriculture traditionnelle et appelleront à des subventions de plus en plus importantes de l’Europe. Utilisons cet argent à revitaliser le pays intelligemment
Contribution n°514 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h49
Contribution n°513 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h49
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Contribution n°512 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h49
Contribution n°511 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h49
Consommation d'eau, concentration des déjections polluantes, pression sur les milieux naturels, conditions intolérables pour les animaux (notamment des bâtiments inadaptés aux chaleurs estivales), nuisances sonores et olfactives pour les riverains, acheminement en masse d'aliments issus de cultures industrielles par un ballet de camions : tous les problèmes demeurent.
Nie cordialement
Patrick BONNEAU
Contribution n°510 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h49
Contribution n°509 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h49
Je refuse la maltraitance des animaux ,celle des riverains et voisins, celle des collègues paysans,
Ce projet fait honte à notre pays , à notre tradition et à notre gastronomie
Il fait honte aussi à la démocratie en renouvelant casi à l'identique une demande déjà rejetée
C'est donc inacceptable !
Contribution n°508 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h49
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Contribution n°507 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h48
Tous les animaux doivent pouvoir vivre en extérieur avec la surface nécessaire. Un nombre excessif d’animaux me semble impossible dans notre petit pays où nous replantons les haies dans les prés.
Non aux camps de concentration !
Contribution n°506 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h48