Contribution n°591 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h55
Contribution n°590 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h55
Contribution n°589 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h55
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Contribution n°588 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h55
Contribution n°587 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h55
Contribution n°586 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h54
La croyance en la nécessité de manger de la viande pour "être fort" est encore bien ancrée. La croyance est plus forte que toutes sortes de considérations telles que la qualité ou les conditions d'élevage. Les industriels du secteur exploitent cette croyance et l'exploiteront tant qu'elle existera. Seule une chute de la demande peut inverser la tendance.
Le but des industriels est de faire du profit mais quel est le but du préfet qui abonde dans leur sens en occultant les demandes des habitants de sa région ?
Contribution n°585 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h54
NON à ces fermes usines
il faut soutenir les petits producteurs
Contribution n°584 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h54
Contribution n°583 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h54
Une production adaptée aux besoins du limousin et de notre pays est plutôt à privilégier. Cordialement. JF Carré
Contribution n°582 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h54