Les contributions

Contribution n°1235 (Web)

Par DEFFONTAINES Annaïck
Déposée le 22 février 2025 à 10h51
Je m'oppose vivement à la nouvelle mise en scène de ce projet de ferme-usine



Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 [...]
Je m'oppose vivement à la nouvelle mise en scène de ce projet de ferme-usine



Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.



Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.



Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.

Contribution n°1234 (Web)

Par jean-paul
Déposée le 22 février 2025 à 10h50
Nos fermes ne sont pas des usines .Laisser se développer ces usines c'est condamner les fermes paysannes .

Contribution n°1233 (Web)

Par Colin Floriane
Déposée le 22 février 2025 à 10h50
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique [...]
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.

Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.

Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires

Contribution n°1232 (Web)

Par Blandine Coutard
Déposée le 22 février 2025 à 10h50
Je m'oppose vivement à la nouvelle mise en scène de ce projet de ferme-usine

Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes [...]
Je m'oppose vivement à la nouvelle mise en scène de ce projet de ferme-usine

Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.

Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.

Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires

Contribution n°1231 (Web)

Par Henri
Déposée le 22 février 2025 à 10h50
De nos jours, il n'est pas logique de continuer à penser l'élevage comme une industrie. Pour le bien-être des animaux et la qualité [...]
De nos jours, il n'est pas logique de continuer à penser l'élevage comme une industrie. Pour le bien-être des animaux et la qualité de ce que consomment les gens, nous devons arrêter de mettre en place des usines à viande et lait. Revenons à des entreprises modestes, voir familiales, qui profiteront à un plus grand nombre d'agriculteurs avec des produits de meilleure qualité.

Contribution n°1230 (Web)

Anonyme
Déposée le 22 février 2025 à 10h50
Je m’oppose fermement au projet de ferme-usine porté par la SAS T’Rhéa en Limousin. Ce modèle industriel va à l’encontre des enjeux [...]
Je m’oppose fermement au projet de ferme-usine porté par la SAS T’Rhéa en Limousin. Ce modèle industriel va à l’encontre des enjeux environnementaux, du bien-être animal et de l’intérêt des habitants.

L’impact écologique est majeur. La consommation excessive d’eau met en péril les ressources locales, tandis que les rejets de déjections saturent les sols en nitrates et menacent la qualité des eaux. L’importation d’aliments pour le bétail alourdit encore l’empreinte carbone du projet, en favorisant des cultures destructrices et une logistique énergivore.

Les conditions d’élevage sont tout aussi préoccupantes. La surpopulation et le manque d’espaces adaptés exposent les animaux à un stress constant et augmentent les risques sanitaires. Les bâtiments inadaptés aux vagues de chaleur ne permettent pas un élevage respectueux du bien-être animal.

Pour les riverains, les nuisances seront constantes : odeurs insoutenables, trafic routier intensifié et dégradation du cadre de vie. Ce modèle ne bénéficie pas aux éleveurs locaux, dont l’avenir repose sur un élevage extensif, respectueux du territoire et du bocage.

Ce projet, massivement rejeté par la population et les conseils municipaux, ne peut être validé sans ignorer les recommandations environnementales et le refus exprimé lors de la précédente enquête. Il est impératif d’encourager une agriculture durable et territoriale plutôt qu’un modèle dépassé qui favorise l’industrialisation de l’élevage au détriment de l’intérêt commun.

Je demande donc son rejet ferme et définitif !

Contribution n°1229 (Web)

Par COUPEAU Didier
Déposée le 22 février 2025 à 10h50
Je m'oppose à tout développement de l'agriculture et de l'élevage qui ne serait pas conforme aux exigences de la santé humaine et [...]
Je m'oppose à tout développement de l'agriculture et de l'élevage qui ne serait pas conforme aux exigences de la santé humaine et animale.

Contribution n°1228 (Web)

Par APPERE, Jean-Yves
Déposée le 22 février 2025 à 10h50
Stop à ce centre d'engraissement qui ne respecte ni les critères environnementaux ni les critères alimentaires.

Contribution n°1227 (Web)

Anonyme
Déposée le 22 février 2025 à 10h50
Je m'oppose vivement à la nouvelle mise en scène de ce projet de ferme-usine.

Contribution n°1226 (Web)

Par Aurelie Simon
Déposée le 22 février 2025 à 10h50
Ces modèles d’élevage sont d’un autre temps. Motivés uniquement par le profit à court terme d’investisseurs rapaces, ils mettent [...]
Ces modèles d’élevage sont d’un autre temps. Motivés uniquement par le profit à court terme d’investisseurs rapaces, ils mettent en danger notre environnement. Dans le monde actuel, il est du devoir politique d’impulser une vraie vision d’une agriculture durable, respectueuse des animaux , de l’environnement et des humains. Pourquoi sinon être homme ou femme politique?. Si vous ne servez pas les intérêts de quelques uns ou pire vos propres intérêts, si vous avez à cœur le bien public, alors ces projets d’´elevage scélérats doivent être bloqués partout.

Apportez votre contribution à cette enquête publique : Déposer une contribution

Apportez votre contribution

Déposer un avis sur le registre dématérialisé de cette enquête publique est simple, sécurisé et si vous le souhaitez anonyme.

Déposez votre contribution aujourd'hui avant 10h00 .

Déposer une contribution