Contribution n°278 (Web)
Déposée le 21 février 2025 à 09h13
Non à l’accaparement des terres agricoles par des firmes nationales et internationales
Non à la main mise sur le foncier agricole qui ne permet plus l’installation de jeunes agriculteurs
Non à la dégradation de notre paysage rural
Document joint
Contribution n°277 (Web)
Déposée le 21 février 2025 à 08h14
Veuillez trouver en pièce jointe notre contribution argumentée concernant le projet de T'Rhéa
pour le centre d'engraissement sur la commune de Peyrilhac.
Document joint
Contribution n°276 (Web)
Déposée le 21 février 2025 à 08h07
Je ne suis pas dupe sur la modification du projet de la société T’Rhéa. En effet le projet a été modifié économiquement pour obtenir une enquête complémentaire. Sans cette modification elle n’aurait pu l’obtenir.
L’architecture reste la même, d’ailleurs le permis de construire et les plans d’aménagements des bâtiments restent les mêmes. L’objectif à terme reste bien le même d’avoir à minima 3100 bovins sur l’exploitation.
Les études présentées, constats d’huissier sur le bruit et les odeurs, l’inventaire faunistique et floristique suite à un seul passage au mois d’août, ne sont absolument pas suffisantes pour avoir une valeur de référence avant projet.
Le taux de mortalité sur l’exploitation actuelle d’après le rapport Boviwell est inquiétant alors qu’il n’y a que 600 bêtes sur l’exploitation. Qu’en sera-t-il quand il y aura 2120 bêtes ?
Ce projet va à l’encontre des modèles à suivre pour être résilient face au changement climatique. Importation de la quasi-totalité de la nourriture des bêtes avec une part significative venant d’autres continents. Une pression sur la ressource en eau pour un seul bassin versant en concentrant les bêtes sur un même lieu. Ce projet n’a même pas besoin de terres pour fonctionner puisqu’il ne produit rien, c’est seulement de l’engraissement pour fournir de la ‘’matière’’ aux abattoirs dont le groupe est propriétaire.
Pour avoir lu entièrement le dossier du premier projet et maintenant le dossier complémentaire, il apparait toujours aussi imprécis avec des contradictions qui demeurent. La finalité réelle de ce projet n’est pas explicitée clairement.
Il n’y a aucune maitrise du foncier. M. Thomas ne part plus à la retraite. Pour le traitement des effluents, aucune démarche n’a été effectuée pour le projet de méthaniseur. Les communes les plus concernées par le projet, ce sont exprimées contre par des votes en conseil municipal. Aucun test de perméabilité n’a été réalisé pour la zone d’infiltration. Les calculs de consommation d’eau sont erronés et sous-estimés. L’élargissement de la voirie sera supporté pour partie par les contribuables de Limoges Métropole…
Ce projet est un accaparement de l’agriculture par des financiers. C’est la disparition d’une agriculture familiale qui n’est certes pas parfaite mais qui permet la transmission des exploitations en favorisant l’installation de nouveaux agriculteurs. Avec ce type de projet il n’y aura pas de retour en arrière possible. C’est un modèle prédateur qui n’est pas là pour nourrir les gens mais seulement pour alimenter le capital dans ce qu’il a de plus destructeur.
Vous l’aurez compris je suis contre ce projet.
Contribution n°275 (Email)
Déposée le 20 février 2025 à 22h18
INFORMATION:
New email addresses are now fully operational to contact your Axens representatives. Please stop using the @axens.net addresses and replace @axens.net with @axensgroup.com.
De nouvelles adresses e-mails sont désormais pleinement opérationnelles pour joindre vos interlocuteurs Axens. Merci de ne plus utiliser les adresses en @axens.net et de remplacer @axens.net par @axensgroup.com.
AVIS DÉFAVORABLE - NON À LA crÉation d'un centre d'engraissement de bovins intitulÉ « Terres de Chavaignac ».
NON À L'ÉLEVAGE INTENSIF.
Combien de temps cela va-t-il encore durer ?
Nous savons que l'élevage intensif n'est pas un modèle durable :
* Maltraitance des animaux,
* Pollution des sols et des eaux,
* Nids à pandémie,
* Emission de gaz à effet de serre etc.
Nous, citoyens, voulons un modèle artisanal, plus éthique, plus durable et soutenable. Notre alimentation doit être plus végétalisée.
La course à la productivité n'est pas la solution et tue les acteurs qui adoptent les pratiques durables. Stop aux vues court terme.
L'INDUSTRIALISATION DU VIVANT EST UNE BARBARIE QUI NOUS MÈNE TOUT DROIT DANS LE MUR.
Evelyne Barthélemy
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Contribution n°274 (Email)
Déposée le 20 février 2025 à 20h26
Madame, Monsieur,
Par curiosité, j'ai été voir combien d'habitants vivent aujourd'hui à Peyrilhac. Selon Wikipedia, il y a 1356 habitants sur la commune. Pour le projet de la SAS T'RHEA, l'objectif est, selon l'avis d'enquête publique complémentaire, la présence simultanée de 2120 bovins.Plus de bovins que d'habitants, alors que l'on ne parle pas d'un petit hameau sans âme.Ce projet, s'il devait un jour exister, aurait des nuisances visuelles, sonores et olfactives d'un niveau intolérable pour les habitants. Les biens immobiliers à proximité perdraient toute valeurs.
Quelques créations d'emploi, et sûrement des bénéfices très intéressants pour le porteur de projet, ne peuvent en aucun cas justifier les dommages irréversibles engendrés.
Je vous demande, madame, monsieur, de prendre en compte cet avis qui est le mien, et qui, je l'espère, contribuera à empêcher ce projet de voir le jour.
Je pense que ce type de projets n'a sa place nulle part. Il en va du bien de l'humanité.
Bien cordialement,
Benjamin Molin Duffau
Yahoo Mail : Recherchez, organisez, maîtrisez
Contribution n°273 (Web)
Déposée le 20 février 2025 à 23h37
Contribution n°272 (Web)
Déposée le 20 février 2025 à 23h09
Contribution n°271 (Web)
Déposée le 20 février 2025 à 21h32
Il n’est mentionné en nulle part l’impact sur la biodiversité, le bien-être des bêtes au quotidien et lors de leur transport.
Le calcul total de la production de CO2 ne prends absolument pas en compte ni le transport des bêtes en France et à l'étranger, ni le transport du lisier dans les champs voire vers le méthaniseur lorsqu'il sera opérationnel, ni même le transport des bêtes dans les champs ainsi le nombre de vaches prévues sur l’installation
L’incidence sur pollution de l’environnement n’a pas pris en compte :
- l’odeur du fumier déposé prés des habitations,
-l’odeur due à la présence des 800, voire 2100 ou plus encore des 3000 vaches prévues impactant les habitants des maisons situées prés des stabulations,
-la pollution des tracteurs et camions transportant fumier et bêtes, détérioration des routes empruntées
- la pollution aussi des nappes phréatiques et étangs à proximité du site.
C’est la dégradation annoncée de notre cadre de vie, une moins-value de nos biens et une pollution irréversible
Erreurs
Les chiffres concernant d’eau des bovins en été et hiver est irréaliste.
Pas d’étude sur l’impact environnementale compte tenu de l’importance du projet.
Contribution n°270 (Web)
Déposée le 20 février 2025 à 21h21
La base du foncier n'est absolument pas garanti. (fin de baux à très court terme)
Dans la disposition actuel , aucune chance n'est donné à des jeunes ou nouveau installé de prétendre à exploiter ses terres au lieu que cela parte a une firme telle que la SAS T'RHEA.
Nous voulons une campagnes vivantes avec des structures agricole à taille humaine ce projet va tuer nos campagnes si belles.
Je ne soutiens pas ce projet mortifère. Je suis éleveur d'ovins dans une commune voisine.
Contribution n°269 (Web)
Déposée le 20 février 2025 à 21h19