Contribution n°131 (Web)
Déposée le 15 février 2025 à 14h11
je suis surprise que de tels projets continuent à être envisagés. Je suis totalement défavorable à de tels projets. La question de la transition est primordiale si l'on veut faire face à l'urgence climatique. Et je vois, qu'on laisse encore des industriels monter des projets qui ont pour seul objectif de gagner plus et faire du profit ; sans s'intéresser à la qualité de la viande que nous allons manger puisque je se pose la question de la qualité de vie d'un animal ainsi "stocké" pour engraissement. L'industrialisation de nos campagnes a aussi un impact sur l'environnement, les usages de l'eau, et le paysage donc les habitants autour et leur qualité de vie.
A l'heure où il est question de réduire sa consommation de viande pour favoriser la qualité et permettre aux paysans, qui aiment leurs animaux de bien vivre de leur travail, je ne comprends pas la logique de l'implantation de fermes usines
Contribution n°130 (Web)
Déposée le 15 février 2025 à 12h38
Mal traitance animale, augmentation des antibiotiques, ….
Agriculture ne respectant pas la biodiversité.
Augmentation des pesticides… pollution de l’eau…….
Dévalorisation de l’immobilier commune de Peyrilhac
Contribution n°129 (Web)
Contribution n°128 (Web)
Contribution n°127 (Web)
Déposée le 15 février 2025 à 11h16
Contribution n°126 (Web)
Déposée le 15 février 2025 à 10h40
Je vous remercie de bien vouloir tenir compte de ma contribution totalement défavorable à ce projet de centre d'engraissement.
Je ne comprends pas que les services de l'état et des élus continuent à donner leur feu vert à des projets irrespectueux des animaux et de l'environnement.
Quelques arguments :
Pour retrouver une eau de qualité, (stopper les cultures de maïs pleines de pesticides le long des rivières, entre autres), nous avons besoin d'animaux broutant l'herbe dans les prairies : pourquoi les enfermer dans des usines ?
Nous avons besoin d'alimentation de qualité : pourquoi entasser ces animaux dans des usines où la promiscuité entraîne automatiquement des maladies, donc des traitements médicamenteux qui se retrouvent dans notre alimentation ?
Pour le bien-être animal : il est démontré que les animaux sont maltraités dans ces structures : pourquoi faire comme si on ne le savait pas ?
Vous remerciant par avance,
Agnès Baudrillart
Contribution n°125 (Web)
Déposée le 15 février 2025 à 09h31
Comment peut on penser un seul instant, abîmer cette région encore préservée en installant un site qui est un véritable fléau pour l environnement, la santé , les animaux et pour nos paysans qui tentent de maintenir un élevage digne.
Ne gâchons pas ce que nous avons à transmettre aux nouvelles générations, qui j en suis certaine se montreront plus raisonnables. Laissons-leur une chance de vivre dans un monde où tout ne sera pas toujours tourné vers le profit, et l intérêt de quelques uns. Et utilisons notre énergie à soutenir l elevage écologique et la polyculture pour le bien de tous.
Contribution n°124 (Web)
Déposée le 14 février 2025 à 21h02
Malgré la réduction du nombre d'animaux par rapport au projet initial, l'implantation de plus de 2000 bovins reste très inquiétante.
Il y a depuis plusieurs années une évolution des pratiques alimentaires dans nos sociétés, qui se traduit par une baisse de la consommation de viande. Celle-ci s'explique, notamment, par le fait que les consommateurs sont de plus en plus soucieux du bien-être animal. Or, ce centre d'engraissement ne saurait le garantir. D'ailleurs, lors de la première réunion publique de présentation du projet à laquelle j'ai assisté (horrifiée), cela n'a jamais été abordé.
Ni l'impact environnemental de ce type d'élevage, les conséquences sur la faune et la flore locales, sur les réserves d'eau qui se raréfient lors des périodes caniculaires que nous savons de plus en plus fréquentes et longues. La création d'une méga-bassine pour palier à ce manque d'eau serait, en plus de tout le reste, tout simplement catastrophique. Bref, rien ne va.
Les bénéfices financiers potentiels issus de cette activité, ne sauraient justifier toutes les nuisances que ce centre d'engraissement apportera aux habitants des communes concernées et celles alentours ; ne pourraient non plus légitimer la souffrance inéluctable de ces milliers d'animaux et de participer à ravager encore un peu plus nos paysages Limousins.
Il est donc plus que temps pour certains éleveurs de renoncer définitivement à ce type de projet complètement anachronique et écocidaire, pour enfin s'adapter à l'évolution de nos sociétés à travers des pratiques agricoles plus respectueuses. Peut-être se rendre compte enfin qu'en détruisant des écosystèmes entiers, qu'il faudrait pourtant urgemment protéger, ils contribuent directement au réchauffement climatique et toutes les conséquences dramatiques qui en résultent.
Nous vous le redisons donc : nous n'en voulons toujours pas de ce projet !
Contribution n°123 (Email)
Déposée le 14 février 2025 à 12h28
Bonjour,
merci de prendre compte des remarques et d'effectuer une enquête publique.
Je ne comprend pas comment il est possible d'envisager de tel absurdités de production agricole alors que l'audition de l'entreprise "The Shift Project" à l'assemblée nationale prouve le contraire et remet en question de tel projets.
Merci d'envisager l'avenir vers un monde meilleur pour nos enfants et l'environnement et pas le contraire.
Bien cordialement.
Mathieu
Contribution n°122 (Web)
Déposée le 14 février 2025 à 18h00
Notre terre limousine permet un élevage fermier de qualité d'herbivores bovins ou ovins qui se nourrissent sur les prairies et avec des compléments issus de l'agriculture locale.
C'est une aberration de consacrer 600ha à un élevage hors sol basé sur l'activité financière et de spéculation. Les animaux ne parcourront jamais ces 600ha qui ne se justifient que par la nécessité de surfaces d'épandages d'effluents suffisantes. Et si elles ne suffisaient pas on imagine parcourir pas moins de 30km pour les livrer plus loin! Nuisances, empreinte carbone?!
Par ailleurs ces 600ha appartiennent à différents propriétaires qui n'ont pas tous été consultés sur le projet et dont certains sont hostiles à ce type d'"élevage" et préféreraient privilégier une filière basée sur le local!
Le projet T'RHEA concerne des animaux engraissés avec des produits importés de régions plus ou moins proches mais aussi d'Amérique du Sud et qui sont destinés à l'exportation.
Enfin ce type d'élevage suppose une pression sur la ressource en eau pour l'abreuvement des animaux et pose problème quant aux pollutions des terres et des eaux de ruissellement.
Donc je dis NON à ce projet qui ne correspond en rien à ce que doit être une agriculture nourricière capable de nous mener à la souveraineté alimentaire.